Immunité et SIDA 1. Éliminer l`intrus 1.1 A. Plasmocyte. B

Immunité et SIDA
1. Éliminer l'intrus
1.1
A. Plasmocyte.
B. Macrophage.
C. Granulocyte
neutrophile.
D. Erythrocyte.
E. Lymphocyte.
1.2
A. Lymphocyte T
auxiliaire
B. Lymphocyte B
C. Lymphocyte T
cytotoxique
D. Macrophage
E. Plasmocyte
1.3
A. Anticorps
B. Plasmocytes
C. Lymphocytes T
auxiliaires
D. Lymphocytes T
cytotoxiques
1.4
A. ganglion lymphatique
B. moelle osseuse
C. thymus
D. moelle épinière
E. rate
2. Accoler ensemble, deux à deux, les termes de chacune des deux listes suivantes qui vous
paraissent le mieux en relation :
2.1
A. Lymphocyte
T cytotoxique
B. Macrophage
C. Plasmocyte
D. Lymphocyte
T auxiliaire
1- Immunité
humorale
2- Immunité
cellulaire
3- Récepteurs
CD4
4- Présentation
des antigènes
2.2
A. Lymphocyte B
B. Lymphocyte
T4
C. Lymphocyte T
cytotoxique
D. Leucocytes
1. Immunité
cellulaire
2. Anticorps
membranaires
3. CMH ou
HLA
4. auxiliaire
2.3
A. Interleukine
B. Anticorps
C. Récepteur T
D. HLA
1. Agglutination
2. Lymphocyte T
3.
Communication
4. Soi
3. Questionnaire à choix multiple :
3.1 La phagocytose :
A. est commune à toutes les cellules
immunocompétentes.
B. est un type de réaction immunitaire spécifique.
C. participe aux réactions immunitaires spécifiques
et non spécifiques.
D. ne participe jamais aux réactions immunitaires
spécifiques.
E. est réalisée par certains globules blancs.
3.2 L'immunité à médiation humorale :
A. est appelée ainsi car elle dépend d'hormones.
B. détruit ses cibles grâce à des molécules solubles,
les anticorps.
C. détruit ses cibles grâce à des cellules tueuses.
D. est responsable du rejet des greffes.
E. est responsable de l'incompatibilité entre les
groupes sanguins différents.
3.3 L'immunité à médiation humorale :
A. a pour effecteurs des lymphocytes B.
B. a pour effecteurs des lymphocytes T.
C. a pour effecteurs des molécules solubles.
D. nécessite des anticorps et des macrophages dans
sa phase effectrice.
E. ne met en jeu aucune cellule.
3.4 L’immunité à médiation cellulaire
A. a pour effecteurs des lymphocytes B
B. a pour effecteurs des lymphocytes T
C. nécessite une coopération avec des lymphocytes
T4
D. élimine les antigènes circulants
E. est responsable de l'incompatibilité entre les
groupes sanguins différents.
3.5 Les immunoglobulines :
A. sont les récepteurs des lymphocytes T
B. sont les récepteurs des lymphocytes B
C. sont les effecteurs des réponses à médiation
cellulaire
D. sont les effecteurs des réponses à médiation
humorale
E. peuvent être des molécules solubles comme des
molécules membranaires
3.6 Lors d'une réponse cellulaire, la coopération
intercellulaire :
A. n’existe qu’entre lymphocytes
B. met en jeu des macrophages
C. nécessite des molécules solubles
D. nécessite des contacts intercellulaires
E. n’intervient pas dans la réaction immunitaire
3.7 Les anticorps :
A. sont des protéines
B. sont sécrétés par toutes les cellules
immunocompétentes
C. sont toujours des molécules solubles circulantes
D. détruisent directement les antigènes
E. permettent la fixation des macrophages par leurs
récepteurs au fragment constant.
3.8 La réponse immunitaire spécifique à
médiation cellulaire :
A. ne nécessite pas de lymphocytes T4
B. nécessite la présentation d’un antigène
C. détruit les antigènes uniquement par l'action
d'immunoglobulines
D. détruit les antigènes grâce à une interaction
entre immunoglobulines et macrophages
E. nécessite des lymphocytes T cytotoxiques
3.9 Les plasmocytes :
A. sont des cellules sécrétrices
B. ne sont pas des globules blancs
C. se forment lors de la stimulation de lymphocytes B
D. se forment lors de la stimulation de lymphocytes T
E. possèdent un réticulum endoplasmique granulaire
abondant
3.10 Les récepteurs B des lymphocytes :
A. sont présents chez tous les lymphocytes
B. sont des immunoglobulines
C. apparaissent dans le thymus
D. apparaissent dans la moelle osseuse
E. peuvent se lier à des antigènes circulants
4. Questions à complément relationnel :
Répondez par 1 si les deux propositions sont vraies et si elles ont une relation de cause à effet. Par 2 si
elles sont vraies mais n'ont pas de relation de cause à effet. Par 3 si l'une des deux seulement est fausse.
Par 4 si les deux sont fausses.
4.1 La phagocytose est un type de réaction immunitaire spécifique
car elle permet la destruction de complexes immuns
4.2 Les agglutinogènes (antigènes) définissant les groupes sanguins peuvent être reconnus par des
agglutinines spécifiques
car les agglutinines sont des anticorps.
4.3 Des bactéries A mises en présence d'une solution contenant seulement des anticorps anti-A ne sont
pas détruites
car les anticorps ne font que neutraliser les bactéries.
4.4 Une souris dont le thymus a été détruit à la naissance ne rejette pas les greffes
car les cellules productrices d'anticorps se forment dans le thymus.
4.5 Les lymphocytes B sont spécialisés dans la surveillance du milieu extracellulaire
car ils donnent naissance aux plasmocytes.
4.6 Les lymphocytes T sont spécialisés dans la surveillance des populations cellulaires
car ils détectent le soi modifié à la surface d’autres cellules
5. Vrai ou faux après étude de documents (entourez la bonne réponse)
5.1 Le tableau ci-dessous consigne plusieurs expériences réalisées
sur différents lots de Souris adultes.
Lot A Lot B Lot C Lot D
traitements aucun
irradiation (destruction des cellules souches de la
moelle osseuse) et ablation du thymus)
injection de
cellules du
thymus
injection de
cellules du
thymus et de
cellules de
moelle osseuse
injection de
cellules de
moelle osseuse
résultats globules
rouges de
Mouton
agglutinés
globules
rouges de
Mouton libres
globules rouges
de Mouton
agglutinés
globules rouges
de Mouton
libres
Par l'agglutination des globules rouges de
Mouton, ces expériences mettent en évidence une
réaction immunitaire à médiation cellulaire.
vrai faux
Cette expérimentation prouve une coopération
cellulaire entre lymphocytes T et lymphocyte B.
vrai faux
Les globules rouges de Mouton s'agglutinent car
ils sont rassemblés par des anticorps anti-globule
rouge de Mouton.
vrai faux
L'expérience démontre la destruction des globules
rouges de Mouton par les anticorps anti-globule
rouge de Mouton.
vrai faux
5.2 L'hépatite B est due à un virus qui s'introduit dans les cellules du foie. Les malades
montrent une nécrose du foie, par lyse des cellules hépatiques. On effectue l'électrophorèse des
protéines du sérum sanguin chez un individu malade et chez un individu sain (document ci-
dssous).
Par ailleurs,
une lame de
verre est
recouverte de
gélose dans
laquelle on
creuse trois
puits. Dans l'un
des puits, on
introduit du
sérum
contenant la
fraction de gammaglobulines d'un individu malade et dans les autres puits, d'une part une
solution de particules virales HBs, d'autre part une solution de particules virales HBe (document
ci-dessous).
puits 1 = gammaglobulines d'un
malade
puits 2 = solution avec particules
virales HBs
puits 3 = solution avec particules
virales HBe.
La même expérience réalisée avec les gammaglobulines d'un individu sain n'entraine aucun arc
de précipitation.
Le virus de l'hépatite B déclenche
une réaction immunitaire à
médiation humorale.
vrai faux
HBs est un antigène du virus de
l'hépatite B contrairement à HBe
vrai faux
Le sang d'un individu sain ne
contient pas d'anticorps
vrai faux
Un individu atteint l'hépatite B
produit des anticorps antiHBs et
antiHBe
vrai faux
5.3 On cherche à comprendre le mécanisme de l'infection des cellules humaines par le virus du
Syndrome d'Immuno Déficience Acquise : le VIH.
Le VIH pénètre dans certaines cellules humaines grâce à un processus maintenant élucidé et
schématisé sur le document ci-dessous.
La protéine membranaire CCR5 a été étudiée et le gène responsable de sa synthèse a été
séquencé. On lui connaît deux allèles : l'allèle A qui code pour une chaîne polypeptidique de 352
acides aminés et l'allèle B qui code pour une chaîne polypeptidique de 205 acides aminés.
On a déterminé le pourcentage d'individus séropositifs et d'individus séronégatifs pour chaque
génotype dans une population à risque. Les résultats sont indiqués dans le tableau ci-dessous.
Génotype A//A A//B B//B
% de personnes séropositives 70 70 0
% de personnes séronégatives 30 30 100
Les cellules possédant les
protéines membranaires CD4 et
CCR5 sont des cellules cibles du
VIH.
vrai faux
Seuls les lymphocytes T possèdent
ces protéines membranaires, ce
sont donc les seules cellules cibles
du VIH.
vrai faux
On peut penser que la protéine
CCR5 n'est pas nécessaire à la
reconnaissance ou à la pénétration
du VIH dans la cellule cible.
vrai faux
Les individus qui ne possèdent pas
la protéine CCR5 normale ne
risquent pas de développer le
SIDA.
vrai faux
5.4 Chaque personne possède a la surface de ses cellules un jeu de protéines HLA, dit
classique, qui lui est propre. Ce sont les protéines du soi. Les cellules d’un foetus portent pour
moitié les protéines HLA de sa mère et pour moitié celles de son père. Le foetus est entouré
d’un tissu appelé trophoblaste ; les cellules de ce tissu ne portent aucune protéine HLA
classique mais une protéine nommée HLA-G, que l’on ne trouve qu’à leur surface et qui est la
même chez tous les foetus.
Document 1
Les lymphocytes T
cytotoxiques
détruisent par
cytolyse toute
cellule reconnue
comme étrangère,
car us portent a
leur surface un
récepteur capable
d’effectuer la
reconnaissance
d’un antigène
associé a une
protéine HLA
portée par une
cellule. Ce
mécanisme est un moyen de défense spécifique à médiation cellulaire.
On met en présence de lymphocytes T cytotoxiques, d’une part des cellules infectées par un
virus (les antigènes viraux sont alors exposés a leur surface, portés par les protéines HLA) et,
d’autre part, des cellules trophoblastiques. Les cellules infectées sont lysées mais les cellules
trophoblatiques échappent à la destruction.
Document 2
Les cellules NK (=
Natural Killer) ne
savent pas distinguer
le soi du non-soi;
elles sont
spécialisées dans la
destruction des
cellules qui ne
présentent pas de
protéine HLA
classique a leur
surface. Ces cellules
NK portent à leur
surface un récepteur
KIR~(= Killing
Inhibitory Receptor)
qui présente une complémentarité de forme avec la protéine HLA-G.
Les lymphocytes T de la mère,
mis en présence de cellules du
foetus ne déclenchent aucune
réaction immunitaire
vrai faux
Les cellules du trophoblaste
protègent l'embryon des LTc de la
mère grâce à leur HLA-G
vrai faux
La complémentarité HLA-G /
récepteur KIR empèche les
cellules NK de délivrer leur signal
de mort
vrai faux
La présence de HLA-G
trophoblastique permet à une
femme de jouer le rôle de mère
porteuse
vrai faux
6. Questions à cadres (Répondez aux questions dans le cadre prévu à cet effet, seule la réponse du cadre
compte. Les démonstrations, calculs et graphes seront faits au brouillon)
La défense contre les trypanosomes
Trypanosoma gambiense est un parasite unicellulaire, responsable
chez l'homme de la maladie du sommeil. Une fois dans le sang, il
déclenche une réaction immunitaire. Un des antigènes de ce
parasite a été séquencé: il présente une région constante et une
région variable, de 120 et 360 acides aminés respectivement.
Trypanosomes au milieu d'hématies
(image: Max Planck Institute)
document 1: Évolution des populations de trypanosomes dans
le sang du malade
L’infection se traduit par des vagues successives de trypanosomes. Chaque vague est constituée par une
population de trypanosomes identiques entre eux (=clones).
document 2 : Mise en présence d'antigènes et de lymphocytes.
Des fragments de membranes de T gambiense fixés sur de la gélose sont mis en présence de lymphocytes
prélevés 1 semaine après le début de l'infection dans la rate d'un individu parasité. Un petit nombre de
lymphocytes seulement s'est lié aux fragments. Les autres, éliminés par lavage, ont été cultivés, puis mis
de nouveau en présence de fragments de membranes provenant de T. gambiense isolés du sang de la
même personne la semaine suivante: certains d'entre eux se sont également fixés sur ces fragments.
document 3 : Évolution du taux d’anticorps produits par un individu parasité.
Les lettres indiquent contre quel clone
l’anticorps est dirigé.
La présence de plusieurs clones successifs est due à
Dans l'expérience de mise en présence d'antigènes et de lymphocytes, la fixation des lymphocytes sur les
antigènes des trypanosomes lors de la deuxième semaine montre que
Au bout de la deuxième semaine d'infection, les anticorps anti-A sont inefficaces contre les trypanosomes
car à
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