Il est essentiel dans ces remerciements de mettre en valeur le rôle de Monique Gauthier,
ma directrice de thèse. Notre travail commun a été fructueux, de l’écriture du premier article
jusqu’à la rédaction de la thèse (et en particulier de l’introduction), et je ne saurais lui exprimer
suffisamment ma reconnaissance pour ce que j’ai pu devenir grâce à elle.
Je souhaite remercier le groupe abeille dans son ensemble pour son amitié et son support :
Sandrine Paute pour son aide technique, Valérie Raymond-Delpech pour les nombreux apports
théoriques fait à mon travail, Cathy Armengaud pour nos travaux en commun, Michel Lambin
pour sa sagesse bienveillante et son aide pour la réalisation des photos de ce travail, Maria-
Gabriela de Brito-Sanchez pour la gaité introduite dans notre bureau, Steeve Thany notre
courageux moléculariste, Vincent Garry le dernier rempart des abeilles face au fipronil, le
vaillant pompier algérien Hicham Kacimi (nouvelle preuve de l’œcuménisme de notre équipe) et
Tristan Jaillard son pyromane collègue. De nombreux stagiaires ont eu l’occasion de travailler
avec moi : Aurélie, Jean-Baptiste, Amélie, Maude et Pierre, merci d’avoir accepté pour
quelques semaines de subir à mes côtés les dommages collatéraux de ma thèse. Bonne
continuation dans vos études respectives.
Avec beaucoup de chaleur, je souhaite remercier tout particulièrement Patrice Déglise et
Guillaume Barbara, ainsi bien sûr que Delphine et Sabrina. Outre le soutien mutuel que nous
nous sommes portés, je veux aussi rendre hommage à vos qualités scientifiques et humaines et à
votre amitié que j’ai pu apprécier tout au long de ces années.
Je poursuis mes remerciements avec le reste du groupe abeille ; merci donc à Jean-Marc
Devaud, Jean-Christophe Sandoz, Nina Deisig, Edith Roussel et Isabelle Massou. A Marco
Schubert, Fernando « Mordi » Guerrieri, Fabienne Dupuy, Vanina Vergoz, Julie Bénard et
Yukihisha Matsumoto, je souhaite bon courage et bonne continuation, avec des remerciements
spéciaux pour tous les souvenirs ramenés du colloque de Nyborg. De façon un peu plus formelle,
je remercie également Yuki pour m’avoir fourni le L-NAME et le D-NAME que j’ai utilisé dans
ce travail.
Enfin, je n’oublie pas parmi mes collègues tous ceux qui travaillent sur des
« honigbienen » plutôt que sur l’abeille. Je remercie donc Joachim Erber pour m’avoir accueilli
dans son laboratoire durant six semaines et Ricarda Scheiner pour ses conseils sur les
expériences de sensibilité au sucre. Il me faut aussi remercier Bernd Grünewald pour sa
collaboration avec notre équipe. Enfin, Stephan Shuishi Haupt, je ne sais comment te remercier
pour ton soutien sans faille durant mon séjour berlinois, et aussi pour les informations partagées
sur l’habituation.
Remerciements 4