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nourries par le désir de tout un chacun de communiquer sa passion. En particulier, je tiens à
ce que les professeurs et mes anciens collègues au sein du Groupe de recherche
interdisplinaire sur le Montréal ethnoreligieux (GRIMER), à l’UQAM, sachent que je leur
témoigne toute ma reconnaissance concernant l’occasion et l’espace qui m’ont été offerts
pour que je puisse apprendre à évoluer au sein de la recherche collective.
Je tiens à exprimer ma gratitude à chacun des membres du jury de thèse : outre mes
deux directeurs, ce sont Jean-François Côté (UQAM), François Gauthier (Université de
Fribourg) et Raphaël Liogier (Institut d’études politiques d’Aix-en-Provence). Leurs
commentaires et leurs questions alimenteront la suite de mes travaux de recherche.
Les études doctorales m’ont permis de créer des réseaux de relations interuniversitaires
avec des professeurs sans lesquels mes travaux n’auraient pas été aussi diversifiés. Je désire
souligner les rôles que les professeurs Marc des Jardins (Université Concordia) et André
Laliberté (Université d’Ottawa) ont assumés en supervisant quelques-uns de mes travaux de
recherche aux cycles supérieurs. Par ailleurs, je veux communiquer à Victor G. Hori
(Université McGill) toute mon estime pour l’appui qu’il a sans cesse réitéré à l’endroit de ma
recherche. Je remercie également Dr Ravindra Panth (Nava Nalanda Mahavihara, Rajgir,
Inde) pour son soutien lors de mon séjour en Inde. Puissent tous les professeurs et collègues
qui m’ont appuyé au cours des dernières années et qui sont présentement dispersés en
Amérique du Nord reçoivent l’assurance de ma considération.
Je reconnais l’appui financier de nombreuses institutions, lequel m’a permis de profiter
durant plusieurs années de conditions favorables à l’étude et à la recherche : le Conseil de
recherche en sciences humaines du Canada, le Fond québécois de recherche Société et
culture, l’Institut indo-canadien Shastri (je souhaite adresser un remerciement particulier à
Mahmuda Aldeen du bureau de Calgary ainsi qu’à Prachi Kaul du bureau de New Delhi)
ainsi que les bourses d’excellence de l’UQAM (par l’intermédiaire des Services à la vie
étudiante ainsi que de la Faculté des sciences humaines).
Plusieurs amis proches m’ont témoigné leur soutien et leurs encouragements durant le
long parcours de la thèse. Je souhaite mentionner, sans vouloir offenser mes amis (dont
certains sont des collègues) qui ne seront pas nommés, le soutien que plusieurs d’entre eux