les intervalles

publicité
APPROCHE DES INTERVALLES
* Chanson: « Veux-tu bien m’attendre ? » (M. Jaspar)
Il ne s'agit pas d'apprendre "toutes" les secondes, tierces, etc. mais bien la première seconde d'une gamme (Ier et IIè
degré), la première tierce d'une gamme majeure (Ier et IIIè degré) etc. car un intervalle n'a sa personnalité qu'en
"fonction" des degrés qu'il concerne!⇒ il est, à ce titre, indispensable de lire l'article de F. Bovey, extrait d'"Orphée
Apprenti" n°2 (disponible sur mon site : http://micheljaspar.be/enseignantmus.php login : metodofm ; mot de passe :
musica)
Cela convient donc davantage,
- d'une part, pour bien mémoriser, au début, le nom de chaque intervalle avec une idée auditive du type de distance que
cela représente (mais ça reste approximatif puisque seulement majeur pour 2, 3, 6&7 et seulement juste pour 4&5 et
lié au contexte de la gamme majeure montante!)
- d'autre part, pour dessiner une gamme, quelle qu'en soit la tonique, en préparation au travail d'un morceau majeur
(voir plus bas), en rappelant ainsi que la gamme d'une tonalité n'est pas une succession de tons et demi-tons comme
beaucoup le pensent et/ou l'enseignent:
mais une succession d'intervalles croissants par rapport à la tonique:
Processus de travail possible avec cette chanson:
- L'apprendre, tout simplement, pour intégrer les "mots" désignant les intervalles. On peut apprendre jusqu'à la
quinte dans un premier temps et la fin ensuite.
Attention : les intervalles se calculent de 2 façons :
- par des noms (secondes, tierces, etc.) qui font référence à des nombres ordinaux, donnant l’ordre de rangement des
notes, ce qui entraîne le fait étrange qu’une seconde + une tierce est égale à une quarte et non à une quinte, comme une
simple addition (2+3) l’aurait fait présager ! à petit jeu avec des chaises.
- et par des contenances en tons et ½ tons, qui se référent à des nombres cardinaux, qui, eux, s’additionnent, même si
2/2 n’est pas toujours égal à 1 !
1 - Une fois la chanson bien "maîtrisée", un petit jeu est possible, avec les doigts montrant les nombres désignant les
intervalles ou, plus amusant, avec des cartes à jouer, en mélangeant les phrases. Il s'agit alors de chanter tout de suite
une des phrases, sans son contexte. On remarquera de grandes difficultés pour certaines phrases (tierce, sixte, septième
surtout). Si nécessaire, pour retrouver l'un des intervalles: on fait chanter "silencieusement" ("dans sa tête") toutes les
phrases précédant la phrase recherchée, voire, dans un premier temps, si vraiment difficile: le prof chante seul les
phrases et les élèves enchaînent la phrase-cible.
- Deuxième grande étape: on supprime les paroles. Même jeu de mélange
- Exercice de reconnaissance possible ("quelle phrase est-ce que je chante ou joue?": sans les paroles évidemment)
- Même exercice de reconnaissance, mais, cette fois, sans rythme.
- On rechante tout sans rythme: on affirme juste chacun des intervalles (en imaginant, "dans sa tête" la phrase entière,
avec ou sans paroles) + même petit jeu de mélange, bien sûr beaucoup plus difficile dans cette condition. On peut
d'ailleurs proposer, à cette étape-là, l'alternative, pour atteindre l'intervalle, qui consiste à le "remplir", à passer par
chaque degré.
- Variantes: avec le nom des notes (en rythme ou sans rythme) et en changeant de tonalité, par exemple pour préparer
l'oreille et l'intonation en prélude au travail d'un morceau dans une tonalité "X".
* Introduction de la coquille :
On y observe :
- que, à partir de la tonique grave, chaque première seconde, tierce, sixte et septième, en montant, est majeure,
- que, à partir de la tonique aiguë, chaque première seconde, tierce, sixte et septième, en descendant, est
mineure,
- que, à partir de la tonique grave comme aiguë, chaque quarte, quinte et octave est juste,
à ce qui est résumé dans cette chanson :
-
que, dès lors, chaque intervalle montant possède comme renversement l’intervalle descendant, puisque le
principe du renversement d’un intervalle est que le total de l’original et de son renversement fait une octave.
* Calcul des intervalles en tons et ½ tons : je propose, pour rendre concrets ces calculs extrêmement compliqués,
des Duplo : les petits jaunes représentant les demi-tons chromatiques, les petits rouges les ½ tons diatoniques et les
longs verts les tons entiers. à Plus de détails plus tard car le procédé est toujours en cours d’élaboration.
- Possibilité d’utiliser des petites briques Duplo ou Lego pour matérialiser les tons et les demi-tons.
Petites briques = ½ ton. 2 couleurs différentes : l’une pour les 1/2t diatoniques, l’autre pour les 1/2t chromatiques.
Briques 2X plus longues exactement pour les tons.
2 2 petites briques de couleur différente constituent un ton, tandis que 2 petites briques de même couleur s’additionnent
sans pouvoir constituer un ton à on dira, dans ce cas « deux demi-tons » (diatoniques ou, plus rarement,
mais
chromatiques).
* Recensement de tous les intervalles qu’on peut rencontrer à partir des sons constituant la gamme diatonique majeure.
Lorsqu'on observe une gamme majeure (ici Do M mais cela est valable avec toutes les gammes majeures puisqu'elles
suivent le même modèle d'agencement de tons et 1/2tons)*, et que l'on recense tous les intervalles possibles, on
constate ceci:
* Il est d'ailleurs intéressant, afin de provoquer une "généralisation" de ces connaissances d'intervalles et de gammes,
de refaire le même exercice en partant d'une autre gamme majeure!
- Il y a deux sortes de secondes : 5 grandes d'1T (do/ré, ré/mi, fa/sol, sol/la, la/si) et 2 petites d'1/2T (mi/fa & si/do) ⇒
c'est bien logiquement que l'on a nommé les grandes "majeures" et les petites "mineures"
N.B.: Pour la suite, il va falloir additionner les tons et les demi-tons pour de plus grands intervalles. C’est là que les
briques duplo ou lego peuvent être très utiles. Autre suggestion: compter sur ses doigts en retenant les "tons" (entiers)
sur la main droite et les "demi-tons" sur la main gauche.
- Il y a deux sortes de tierces : 3 grandes de 2T (do/mi, fa/la, sol/si) et 4 petites d'1T1/2 (ré/fa, mi/sol, la/do) ⇒ c'est
tout aussi logiquement que les grandes se nomment également majeures et les petites mineures.
- Il y a deux sortes de quartes: 1 grande de 3T (fa/si) et 6 petites de 2T1/2 (do/fa, ré/sol, mi/la, sol/do, la/ré, si/mi). Il
eut été logique d'appeler la grande majeure et les petites mineures. MAIS: la grande ("majeure") a longtemps déplu, à
cause de sa dissonance (on l'a même longtemps surnommée "Diabolus in musica"), alors que les 6 autres sonnaient
plus "juste". C'est pourquoi on a pris l'habitude de nommer ces 6 quartes "justes" et la grande "fausse" (ou bien "quarte
triton" car elle contient 3 tons).
- Il y a deux sortes de quintes: 6 grandes de 3T1/2(do/sol, ré/la, mi/si, fa/do, sol/ré, la/mi) et 1 petite de 2T2/2*( si/fa).
Comme pour les quartes, la logique (celle d'appeler majeures les 6 de 3T1/2 et mineure celle de 2T2/2) a été
bouleversée par la "consonance" des 6 grandes, appelées dès lors "justes" et la dissonance de la petite, appelée du coup
"fausse quinte". NB: cette fausse quinte est exactement l'enharmonie de son propre renversement ⇒ 2T2/2 : 3 T !!!!!
* En ce qui concerne les demi-tons (chromatique et diatonique) et la raison pour laquelle 2/2 n'égale pas toujours 1,
voir la théorie de Castérède p. 60&61.
3 - Il y a deux sortes de sixtes : 4 grandes de 4T1/2 (do/la, ré/si, fa/ré, sol/mi) et 3 petites de 3T2/2 (mi/do, la/fa, si/sol)
⇒ la logique reprend ses droits : les grandes s'appellent majeures et les petites mineures. NB: comparez ces intervalles
à leurs renversements !!!!
- Il y a deux sortes de septièmes : 2 grandes de 5T1/2 (do/si & fa/mi) et 5 petites de 4T2/2 (ré/do, mi/ré, sol/fa, la/sol,
si/la) ⇒ les grandes sont des septièmes majeures et les petites des septièmes mineures.
- Il n'y a qu'une seule sorte d'octave, de 5T2/2, qui ne peut porter de nom plus approprié que celui de "juste" puisque
c'est l'intervalle perçu comme le plus consonant universellement.
Voici le tableau qui se constitue progressivement durant tous ces recensements.
SECONDES
Grandes
Petites
(1ton)
(1/2ton)
///// = 5
// = 2
à M (ajeures)
à m (ineures)
TIERCES
Grandes
Petites
(2tons)
(1ton1/2)
/// = 3
//// = 4
à M (ajeures)
à m (ineures)
QUARTES
Grande
Petites
(3tons)
(2tons1/2)
Une seule !
//// = 4
à M (ajeure)!? à m (ineures) !?
MAIS toutes les mineures sonnent
juste et pas la Majeure !
à fausse quarte à quartes justes
ou quarte triton
OCTAVES
Toutes ont
5tons2/2
à justes
SEPTIEMES
Grandes
Petites
(5tons1/2)
(4tons2/2)
// = 2
///// = 5
à M (ajeures)
à m (ineures)
SIXTES
Grandes
(4tons1/2)
//// = 4
à M (ajeures)
Petites
(3tons2/2)
/// = 3
à m (ineures)
QUINTES
Grandes
(3tons1/2)
Petites
(2tons2/2)
Une seule !
àM(ajeures)!?
à m (ineure) !?
MAIS toutes les Majeures sonnent
juste et pas la mineure !
à quintes justes à fausse quinte
N.B. : - remarquer les complémentarités et symétries entre chaque intervalle et son renversement : 5 secondes M d’1
ton et 5 septièmes m de 4tons 2/2, etc.
4 Le meilleur moyen de retenir la contenance de chaque intervalle naturel est de mémoriser l'intervalle "prototypique"
pour chacun d'eux, à savoir celui partant de la tonique inférieure de la gamme majeure pour les intervalles majeurs (ou
justes*) et celui partant de la tonique supérieure de la gamme majeure pour les intervalles mineurs (ou justes*), en
l'occurrence
les intervalles partant chaque fois de "do", comme montrés dans la "coquille":
* l'intervalle juste, qu'il soit calculé à partir du haut ou du bas, tombe toujours "juste" !
Ainsi, lorsqu'on entend parler d'une sixte majeure, il suffit, pour connaître sa contenance, de se rappeler que la "sixte
prototypique" est do/la montant ! Pour un intervalle mineur, on a le choix entre prendre l'intervalle prototypique
do/...... ou bien soustraire 1/2 T chromatique à l'intervalle majeur prototypique.
Diminuée
mineure
Juste
Majeure
Augmentée
seconde
tierce
quarte
quinte
sixte
septième
octave
* Reconstitution, à partir de la coquille. du fameux tableau des intervalles, qu’on a parfois dû apprendre par cœur alors
qu’il coule de source par déduction logique et que certains intervalles qui s’y trouvent sont parfaitement inexistants
dans la musique et, donc, inutiles à apprendre et à calculer !
A) intervalles « naturels » : chaque intervalle majeur et juste peut être retrouvé en partant de la tonique d’une gamme
majeure, en montant. (« les intervall’s majeurs ou just’s s’obtiennent en montant »). Prendre la gamme de do majeur
est le plus simple mais on peut, à l’occasion, constater que ça revient au même en partant de n’importe quelle gamme
majeure. Chaque intervalle mineur, quant à lui, peut s’obtenir en descendant à partir de la tonique supérieure (« les
intervall’s mineurs ou just’s s’obtienn’nt en descendant ») ou par soustraction d1/2 ton chromatique à partir de
l’intervalle majeur (utiliser les deux procédures, à un moment donné, permet de conforter la compréhension de la
chose. Ce n’est donc pas toujours inutile, même si c’est long, au début !).
B) intervalles « altérés » : intervalles qu’on ne rencontre pas dans une gamme diatonique majeure (à part la fausse
quarte et la fausse quinte). Ils sont donc le résultat de l’altération d’au moins une des deux notes les constituant par
rapport à l’armure de la tonalité (ex : do/fa# en do majeur, mais aussi la b/si bécarre en lab majeur,…).
- les intervalles diminués s’obtiennent en enlevant ½ ton chromatique de l’intervalle mineur (ou juste)
à il faut alors systématiquement « séparer » les deux demis-tons d’un ton entier pour cela. C’est là que les petites
briques lego ou duplo peuvent être précieuses pour la compréhension du phénomène. Ex :
7è mineure = 4T 2/2 diat
Par exemple : do/sib :
do/ré
ré/mi
mi/fa
fa/sol
sol/la
la/sib
à 7è diminuée = 4T 2/2 diat moins ½ ton chrom (ex : do/do# ) à on doir retirer une brique jaune, donc il
faut diviser un ton. Il reste ainsi 3/2 tons diatoniques « esseulés » à total : 3T 3/2 diat
do#/ré
ré/mi
mi/fa
fa/sol
sol/la
la/sib
5 - les intervalles augmentés s’obtiennent en ajoutant ½ ton chromatique à l’intervalle majeur (ou juste). Ex :
5te juste = 3T 1/2 diat
Par exemple : do/sol :
do/ré
ré/mi
mi/fa
fa/sol
à 5te augmentée = 3T ½ diat plus ½ ton chrom (ex : sol/sol# ou fa/fa#) à le ½ ton chrom va
« s’associer » au ½ ton diat « esseulé » pour former 1 ton à total : 4 tons.
do/ré
Seconde
ré/mi
Diminuée
mineure
à enharmonie (on ne
mi/fa#
fa#/sol#
Juste
Majeure
Augmentée
½ ton diat
1 ton
1 ton ½ chrom *
1 ton ½ diat
2 tons
(2 tons ½ chrom) ***
parle jamais de seconde
diminuée)
Tierce
2/2
tons diat **
Quarte
1 ton 2/2 diat ****
2 tons ½ diat
3 tons *****
Quinte
2 tons 2/2 diat *****
3 tons ½ diat
4 tons ****
Sixte
(2 tons 3/2 diat) ***
3 tons 2/2 diat
4 tons ½ diat
5 tons **
3 tons 3/2 diat *
4 tons 2/2 diat
5 tons ½ diat
(6 tons) ******
Septième
Octave
(4 tons 3/2 diat)*******
5 tons 2/2 diat
(7 tons) *******
Remarques :
1) en dehors de la musique atonale, où tout est possible, les intervalles altérés ne se rencontrent que dans certains
contextes bien particuliers et souvent identiques :
la 2de augmentée et son renversement la 7ème diminuée se rencontrent principalement dans le contexte de la gamme
mineure tonale, entre la sensible (VIIe degré haussé) et le VIe degré, ce qui est fréquent dans l’arpège de l’accord de
7ème diminuée précisément, accord très riche (2 tritons en son sein). Des gammes à la couleur orientalisante peuvent
aussi offrir ces intervalles, dont raffolent particulièrement certaines traditions musicales orientales (on parle parfois de
types mineurs arabe, hongrois, andalou ou hispano-oriental).
*
la 3ce diminuée se rencontre souvent dans le contexte de l’accord napolitain (sixte napolitaine) entre le IIè degré
baissé et la sensible (le plus souvent en mineur mais c’est possible aussi en majeur) ; la 6te augmentée, quant à elle, est
à la source d’un accord spécifique, appelé accord de sixte augmentée, qu’on rencontre le plus souvent dans le cadre
d’un emprunt au Ve degré (ex : lab/fa# en do majeur)
**
la 3ce augmentée et son renversement la 6te diminuée sont pratiquement inexistants dans la musique tonale. C’est
pour cela qu’ils sont mis entre parenthèses. Même si leur calcul théorique est possible, il est inutile de les utiliser dans
des exercices puisqu’on ne le rencontre jamais (sauf, comme déjà mentionné, en musique atonale, mais dans ce cas on
peut utiliser les enharmonies pour en réussir la bonne intonation).
***
la 4te diminuée et son renversement la 5te augmentée se rencontrent en mineur, entre le IIIe degré et la sensible
(VIIe haussé), ou alors avec des appogiatures ou dans le contexte d’emprunts (on en trouve deux dans Un jour, mon
Prince viendra extrait de Blanche-Neige de W. Disney).
****
la quarte augmentée, rappelons-le, est identique à la 4te triton ou fausse 4te, rencontrée en un exemplaire dans la
gamme diatonique (entre les IVe et le VIIe degrés de la gamme majeure et entre les VIe et IIe degrés de la gamme
mineure). C’est à la fois le renversement ET l’enharmonie de la 5te diminuée, elle aussi identique à la fausse 5te
rencontrée dans la gamme diatonique (entre les VIIe et le IVe degrés de la gamme majeure et entre les IIe et VIe
degrés de la gamme mineure).
*****
la 7ème augmentée est rarissime en musique tonale (appogiature) et se trouve être l’enharmonie de l’octave juste.
C’est donc très facile de la chanter en pensant à cette équivalence.
******
*******
les 8ves autres que justes sont, elles aussi, rarissimes. Inutile donc de les exercer !
6 à tout cela doit nous encourager, en tant que pédagogues, à privilégier le calcul d’un intervalle dans son contexte : à
l’occasion de sa rencontre dans une pièce et associé à son audition et/ou son interprétation. Sinon, ce n’est que du
calcul, vide de sens ! Un travail de recherche sera proposé très prochainement : chacun devra trouver des exemples
d’intervalles
spécifiques dans le répertoire.
2) En observant bien le tableau, on constatera que les intervalles altérés sont des
enharmonies d’intervalles naturels (maj, min ou justes). Seule la fausse 4te est
l’enharmonie de la fausse 5te (voir remarque plus haut)
Cela a pour conséquences :
a. que, dans un contexte difficile d’intonation (par ex, dans une pièce ou un passage
peu ou pas tonal), on peut toujours penser à l’enharmonie, d’accès mémoriel plus
aisé
b. que, en dehors de tout contexte musical (mélodique et/ou harmonique), un
intervalle altéré ne peut pas être distingué d’un intervalle naturel. Inutile donc de
faire reconnaître à l’audition une 4te diminuée ou une 6te augmentée, hors
contexte ! C’est absurde !
à VERIFIER TOUT CELA EN JOUANT ET CHANTANT LES
INTERVALLES, AFIN DE LES COMPARER ET EN LES RECALCULANT
CONSTAMMENT, AFIN QUE CELA DEVIENNE AUTOMATIQUE !
2de D
unisson
2de A
3ce m
3ce D
2de M
(3ce
A)
4te J
4te D
3ce M
5te A
enharmonie de
6te m
(6te D)
5te J
6te A
7ème m
7ème D
6te M
7
ème
A
8ve J
8ve D
7ème M
8ve A
9ème m
3) Les renversements sont, eux aussi, très visibles dans le tableau, puisqu’il suffit d’additionner les contenances pour
avoir le total de 5 tons 2/2 diat de l’8ve juste.
2de m
7
ème
M
7ème m
7ème D
6te A
6te M
6te m
(6te D)
5te A
5te J
5te D
2de M
2de A
3ce D
3ce m
3ce M
(3ce A)
4te D
4te J
4te A
1/2d+5T1/2d
1T+4T2/2d
1T1/2c
+3T3/2d
2/2d+5T
1T1/2d
+4T1/2d
2T
+3T2/2d
2T1/2c
+2T3/2d
1T2/2d
+4T
2T1/2d
+3T1/2d
3T
+2T2/2d
7 
Téléchargement