systèmes coopératifs, ceux-là ne sont pas passés de chatter. Ce qui est principal est de
disposer d'une technologie d'utilisation bien affirmée dans la population.
Logiciels incorporant Gestion de la Connaissance et Travail Coopératif.
Le cas DSED
C’est indubitable que les logiciels qui incorporent Gestion de la Connaissance et
Travail Coopératif devraient offrir des garanties sur l'existence d'espaces d'interaction
non vides entre la conception et l'utilisation. Pour cela il est nécessaire d'arriver à
profiler un modèle de pensée et un modèle d'action. Le modèle concret de pensée se
base sur la nature du logiciel, et le modèle concret d'action se base sur son utilisation.
Mais suivant la manière dans laquelle on relie et on inter-agit les deux modèles, son
application peut avoir du succès ou non. L'activité du FMI en travaillant avec DSED
(Dynamic Systems for E-Document) répond à cette approche, soit considérant DSED
comme plateforme unique ou bien comme plateforme intégrée avec une autre.
Par rapport à la nature de DSED (ou la logique de l'ingénieur) on doit souligner que
c'est un outil doté de Gestion de la Connaissance et par conséquent c'est un outil très
puissant, sophistiqué et abstrait. Il est très difficile de convaincre des bontés et de la
haute valeur ajoutée que possèdent pour l'utilisateur final les outils comme DSED.
Vendre une gestion de la connaissance comme produit est aujourd'hui tâche
pratiquement impossible donc les organisations sont plus préoccupées par le bénéfice
que par la recherche de la qualité. La fonctionalité de DSED va devant ce que le
marché exige et chaque utilisateur veut un service personnalisé. C'est pourquoi
INVENTA SOLUCIONES S.L., entreprise créative et propriétaire de DSED, donne
service avec d'autres valeurs (formation, méthodologie, etc.). Le défi est situé dans
l'obtention du service de manière flexible, agréable, ergonomique et a bas coût.
DSED est déjà développé, ce qui ne signifie pas qu'il soit fini, terminé, sans possibilité
d'évolution future. Au contraire, il évolue selon des nécessités et il s'adapte aux
utilisateurs (pour différents cas et domaines d'application). Par exemple, la création
d'itinéraires dans e-learning est déjà une standarisation de la configuration de DSED.
Un autre confort fonctionnel incorporé dernièrement a été la gestion de l'information
dans différents formats. Actuellement DSED est constitué par cinq couches. Vers les
couches inférieures c’est moins nécessaire une modification parce que le niveau
d'abstraction est plus grand. La dernière couche est la plus concret (niveau de
personnalisation). En faisant une modification ou une extension (par exemple, dotation
de nouveaux outils) il n'y a rien à changer parce que DSED est modulaire, mais il faut
adapter les contenus préalables aux nouvelles fonctionalités (prestation de services).
D'autre part, DSED comme outil offre un service de valeur ajoutée et augmente la
productivité. Comme son évolution est continue les changements ne sont pas
traumatiques mais naturels et les utilisateurs s'adaptent avec facilité. Finalement, avec
DSED on parvient à libérer la façon d'organiser des circonstances technologiques.
Sur la logique de l'utilisation on peut affirmer qu'avec DSED on peut pratiquement
faire tout avec l'information. Mais la manière dans laquelle il est fait peut avoir du
succès ou non. Il dépende si dans l'analyse on a écouté aux utilisateurs, s'il a été assuré
à ses nécessités, si on a obtenu un système à la fois simple et puissant et, en définitive, si
l'utilisateur perçoit qu'il est un outil utile et ne coûte pas effort s'adapter. À l'avenir le