Remarque : Bien que de résolution plus faible, le microscope électronique à
balayage permet d'obtenir des jolies images en 3D.
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ts
s
On envoie un rayonnement
électromagnétique sur un miroir semi-
transparent, c'est-à-dire qui a 50 % de
chances de réfléchir ou de diffuser les
photons. Selon que l'on considère une onde
ou une particule, on observera une intensité
qui correspond à la probabilité de recevoir le
photon.
àLa particule est indivisible
àQuand la particule est soumise à une mesure, le résultat devient aléatoire
àL'onde associée à la particule de divise en autant de composantes qu'il existe de
résultats possibles distincts, et le poids de chacune donne la probabilité du résultat
qui lui correspond
B
B.
.D
Do
ou
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en
nt
te
e
On envoie sur deux fentes des
photons (ou des électrons) qui vont alors
diffracter selon la théorie ondulatoire. Si on
mesure particule par particule ce qui arrive
sur l'écran, on mesurera la probabilité que
la particule arrive sur l'écran, qui
correspond alors encore à l'intensité de
l'onde associée.
àOn ne détecte sur l'écran que des
événements localisés dans l'espace et le
temps ; chaque événement est l'impact
d'une particule
àPour chaque événement, on a affaire à
une particule qui se comporte statistiquement comme une onde.
àLa théorie ondulatoire classique fait des prévisions correctes et précises lorsqu'un
grand nombre de particules sont mises en jeu.
C
C.
.P
Pa
ar
ra
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do
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xe
eq
qu
ua
an
nt
ti
iq
qu
ue
e
Même expérience que précédemment, mais on essaie de mesurer par quelle
fente passe l'électron. On n'observe alors plus le schéma d'une onde, mais celui
d'une particule !!!
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