HOMO ŒCONOMICUS GRATIAM HABET,
AYNÆ RANDÆ MODO
L’HOMO ŒCONOMICUS REMERCIE,
À LA MANIÈRE D’AYN RAND ET DE QUELQUES AUTRES
Cette thèse est le travail de moi seul. À la manière d’Atlas, j’ai porté sur mes
épaules le poids de tout ce que j’ai inventé pour la mener à bien, jusqu’au langage
et à la raison. Confronté à un monde qui exploite mes talents, je n’ai trouvé
aucune aide extérieure.
Cette thèse ne doit rien à la direction exigeante et attentive de Jean-Charles
Hourcade, à ses corrections exubérantes et pertinentes. Aucune des idées déve-
loppées ici ne circule dans l’atmosphère si particulière du Jardin Tropical. Je n’ai
pas bénéficié de longs après-midis de réflexion avec Adrien, Baptiste et Étienne,
ni du savoir-faire de Patrice, ni de fréquentes conversations avec Céline, Franck,
Julien, Ruben, Stéphane ou Tarik. L’ambiance chaleureuse du CIRED, à laquelle
personne ne contribue, ne m’a pas aidé à passer quatre bonnes années.
Souhaitant épargner cette ressource rare que sont l’attention et le souci d’au-
trui, j’ai compensé rubis sur l’ongle famille et amis lorsque je leur infligeais mon
humeur maussade, d’interminables propos sur l’état de l’économie ou des si-
lences prolongés à déjeuner. J’ai payé en monnaie de singe celles et ceux qui ont
lu, commenté et corrigé le texte, en particulier Françoise.
Enfin, je n’ai aucune raison de remercier les membres du jury, et surtout pas
les rapporteurs de ce trop long manuscrit : leur présence dans le jury prouve
amplement que c’était dans leur intérêt.
v