Comment concilier, comme intervenant, nos valeurs en regard des

Comment
concilier,
comme
intervenant,
nos valeurs en
regard
des nouvelles
des nouvelles
réalités en
matière daide
médicale à
mourir et du
suicide?
Marie Andrée Tremblay, Ph. D. théologie pratique volet éthique, M. Sc. Inf. Présidente CREC Vice-
présidente Pali-Aide; Carol Gravel, Agent de recherche CPS 02
oPrésentation
oDéroulement de latelier
oMise en contexte
o
Objectifs de latelier
PLAN DE LA
RENCONTRE
o
Objectifs de latelier
oÉchanges à partir de questions
oAspects légaux
oAspects éthiques
oConclusion
oÉvaluation de latelier
Mise en contexte
oProgrès accomplis domaine médical = prolongation vie/retard
mort
oCapacité de vivre plus longtemps = souvent/qualité de vie
diminuée (personnes souffrant de maladies dégénératives ou
incurables)
oMort = peut être perçue comme délivrance à la souffrance
(euthanasie, suicide...)
oIntérêt général face décisions relatives à la vie et à la mort:
en
raison
du
risque
d’acharnement
;
en
raison
du
risque
d’acharnement
;
du désir de se voir épargner une longue agonie;
des fortes valeurs d’autonomie individuelle et de liberté de choix (vie et fin de
vie)
du désir de ne pas être un fardeau pour les proches (préserver des relations
satisfaisantes…)
de dimensions socioculturelles (culte de la beauté et de la jeunesse qui
valorise santé, efficacité, performance…)
de dimensions religieuses, spirituelles…
oTous ces facteurs = intérêt ravivé face «Mourir dans la
dignité» = projet de loi sur laide médicale à mourir (Commission
Mourir dans la dignité, mars 2012)
La souffrance…
o« La souffrance devient intorable quand le fait de souffrir isole,
quand il exclut, quand il coupe de soi, des autres et de notre humani.
(…) Nous vivons dans une socié ayant tendance à isoler les
personnes qui souffrent, une société qui tolère mal la souffrance, qui
en a peur ».
o« Le rapport individuel et collectif, les attitudes que nous entretenons
face à la souffrance sont tels que, le plus souvent, ils ajoutent à notre
face à la souffrance sont tels que, le plus souvent, ils ajoutent à notre
souffrance plutôt que de lapaiser. () Dans tous les cas, on a peur et
on essaye de la fuir. (Joubert, N. (2004). La souffrance des « autres », Ph. D. )
oLes personnes qui souffrent d’un trouble mental ont un risque 12 fois
plus élevé de suicide que celles qui nont pas de troubles mentaux.
o« Les recherches indiquent que la douleur et la souffrance
compromettent nos habiletés à effectuer des choix rationnels ».
(Mishara, B. (2006). Leuthanasie et le suicide assis : un choix individuel ou collectif,
Institut Santé et société de lUQAM, conrence.)
Perceptives; mourir dans la dignité
oDans la plus froide solitude prolongement indûment la vie, souffrances
atrocesdépersonnalisation de la mort
oExige des professionnels: respect et sensibilité de la personne et
collaboration et concertation
oHistorique (Loi de Manus, chrétiens, coran, Bouddhisme,vinas, Kant,
Ricoeur, Chartes )
Consultation par le comité des malades auprès 304 comités des bénéficiaires :
oMourir sans souffrir
oPas être seuls, entourés, consolés, encouragés et supportés
oÊtre mieux informés et prendre les décisions en ce qui les concernent;
reconnaissance des droits et liberté
oRelation thérapeutique respectueuse et humaine
« Pour mourir dans dignité l’individu doit se réapproprier sa propre mort »
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