(Les jours immobiles, p. 12).
• « On dirait [que] cé de l’enfer [qu’]elle est sortie tout bonnement ! » (Les
jours immobiles, p. 147).
• « Il a dit [que] ses bras sont de fer. » (Diab’-là, p. 32).
• « On dirait [qu’]il piaffe ! » (Diab’-là, p. 39).
• « Il croit [qu’]il est riche. » (Diab’-là, p. 71).
• « Je crois [que] cé à la Ravine Jean-Bois, là-haut. » (Diab’-là, p. 88).
• « Et dire, à la façon [dont] les poules frisées grattaient dans le sable,
[que] j’avais prévu cette eau qui va nous tomber ! » (Diab’-là, p. 113).
• « Le gros giraumon, tu disais [qu’]il sera bon la semaine prochaine, tu
sais ? » (Diab’-là, p. 129).
Absence de la conj. de sub. que
introduisant une subordonnée COD
• « D’ailleurs, je crois [que] je vais t’attacher ; tu es assez grand. » (Diab’-
là, p. 131).
• « Cé gens-là veulent pas comprendre [que] cé pas la peine de nous
voler, pense-t-elle tout haut. » (Diab’-là, p. 133).
• « Elle a dit [que] cé [un] quimbois [que] celle-ci fait pour être bien vue de
Tintin. » (Diab’-là, p. 146).
• « Messiés, Gros-Eugénie fait dire [que] les musiciens sont là. » (Diab’-
là, p. 150).
• « […] j’ai remarqué [que] l’herbe, ici, pourrait nourrir une bête de plus,
même dans le carême… » (Diab’-là, p. 154).
• « Mais oui, madame m’a dit [que] nous aurons un petit homme, là, dans
quelques mois ! » (Diab’-là, p. 168).
• « […] man-maille-là dit [que] je suis un Diab’ » (Diab’-là, p. 170).
Absence de la conj. de sub. que
dans les structures interrogatives avec est-ce
• (aussi attesté en fr. pop. oral québécois)
• « On voyait bien dépasser la tête d’un prunier et d’un avocatier, mais le
reste, on ne savait pas ce que c’était, quand est-ce [que] ça mûrissait,
quand est-ce [que] ça se récoltait. » (La rue Cases-Nègres, p. 53).
• « Qu’est-ce [que] tu fais aujourd’hui ? » (Les jours immobiles, p. 95).
Absence de la conj. de sub. que
dans les structures emphatiques c’est… [que]