On exclue certain rayonnement électromagnétiques :
- énergie plus basse (λ + grande) : onde radioélectriques et micro-ondes.
- Energie plus élevée (λ + petite) : rayonnements X , γ, et rayons comiques (ionisants)
Types d’interactions :
- Absorption, diffusion et émission
- Réflexion, diffraction et réfraction
Avec les VIS et UV lorsqu’il rentre en interaction avec la matière modification de l’arrangement
des e¯ de valence : Absorption, Emission
Pour les IR l’interaction modification de la position spatiale des atomes autour de leur position
d’équilibre par vibration : Absorption, Diffusion
Du au fait de la nature ondulatoire des rayonnements
Certains aspects ne peuvent être expliqués que par la nature corpusculaire.
L’onde lumineuse peut être assimilée à un ensemble de paquets d’énergie : les photons qui se
déplacent dans la direction de propagation de l’onde.
E = h ν = h.c/λ
(= h.c.N)
h = constante de Planck c = vitesse de la lumière.
D’après cette formule on peut dire qu’au plus la fréquence d’une onde est élevé au plus son
énergie est grande.
Cette équation unifie la dualité ondulatoire/ corpusculaire du photon
II. Origine des spectres
Atomes isolés : énergie ne dépend que de leur configuration électronique
L’énergie d’un e¯ ne peut prendre que qq valeurs discrètes.
Ces valeurs discrètes sont appelées des niveaux d’énergie selon le modèle de Bohr.
Lorsque l’e¯ passe d’un niveau à un autre :
- Niveau élevé à un niveau plus bas : émission d’un photon et son énergie vaut la ≠ entre les
2 niveaux d’énergies. La lumière émise ne peut prendre que des qq valeurs discrètes.
Exemple de l’atome d’hydrogène :
La résolution analytique de l’équation de Erwin Schrödinger est possible (prix N physique 1933) :
H Ψ = E Ψ
H = opérateur hamiltionien
E = scalaire = énergie de l’électron
Couples de solutions du type : Ψi Ei
Ei : négatifs et proportionnels à 1/n²
n = nombre quantique principal
En = -RH/n² avec n = 1,2,3,...
RH = constante de Rydberg = (13,6 eV = 2,18.10-18)
L’énergie de l’e¯ va prendre des valeurs discrètes :
Valeur de Ei :
n = 1 Ei = E1 = -RH = énergie de l’état fondamental (E0)
n= 2 Ei = E2 = -RH /4 ...
L’énergie de le l’e¯ est quantifié et ne dépend que de la valeur de n.
Exemple d’un atome excité : (n>1) : état thermodynamiquement instable :
Retour de l’e¯ dans son état fondamental