Du rattrapage managérial à la psychanalyse organisationnelle : le

Université de Rennes I
Ecole Doctorale de Sciences Economiques et de Gestion
Institut de Gestion de Rennes (IGR-IAE)
Du rattrapage managérial à la psychanalyse
organisationnelle : le cas des systèmes et
opérateurs de télécommunications
européens
Thèse pour le Doctorat en Sciences de Gestion
présentée et soutenue le 18 Novembre 2002 par
Thibault de SWARTE
Volume I
Présentation des travaux
Jury
David ALIS, Professeur à l’Université de Rennes I
José ALLOUCHE, Professeur à l’Université de Paris I, rapporteur
Michel GERVAIS, Professeur à l’Université de Rennes I, directeur de la recherche
Alain-Charles MARTINET, Professeur à l’Université de Lyon III, rapporteur
Géraldine SCHMIDT, Professeure à l’Université de Paris I, rapporteur
Georges TREPO, Professeur à l’Ecole des Hautes Etudes Commerciales, Jouy-en-Josas
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A Marie,
A Laure, Alice et Clotilde,
A mes parents
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Remerciements
Mes remerciements vont tout d’abord à Michel Gervais (Rennes I), directeur de cette thèse sur
travaux qui a su faire preuve de l’ouverture d’esprit et de la rigueur intellectuelle nécessitées
par un exercice académique quelque peu atypique. Je remercie aussi a posteriori François
Chazel (Paris IV Sorbonne) et François Dubet (Bordeaux II), professeurs de sociologie qui
naguère m’initièrent à la sociologie de l’action et qui, pour le premier, fit – par un facétieux
hasard - partie de mon jury de l’agrégation de sciences sociales en 1982. Le second m’a rendu
le service, en dépit de notre estime réciproque, de refuser la facilité qui aurait consisté à valider
un travail de recherche qui ne le méritait pas. Je pense aussi à Pierre Baranger, ancien directeur
de l’Institut de Gestion de Rennes, qui m’a apporté sa chaleur humaine et son soutien à
différentes reprises. Une pensée aussi mais non la moindre pour Gérard Bazalgette,
psychanalyste et président du Quatrième Groupe au contact duquel j’ai appris ce qu’était la
rigueur analytique et compris (un peu) comment fonctionnait l’inconscient.
Comment ne pas aussi remercier mes collègues de l’ENST Bretagne qui m’ont fait découvrir la
terra incognita des technologies de l’information et mes amis de l’Institut Psychanalyse &
Management avec qui j’ai partagé la fascinante question du « & » qui est au principe d’une
articulation de deux concepts dont la rencontre est étrange mais féconde. La liste de leurs
noms serait trop longue…
Mes collègues Alain Amintas (sciences de gestion), Annie Blandin-Obernesser (juriste),
Philippe Béraud (économiste) et Josette Ollivier, (assistante de la filière Affaires à l’ENST
Bretagne) ont apporté chacun leur contribution à ce travail que ce soit par leur curiosité ou leur
rigueur intellectuelles, leur amitié ou leur dévouement.
Enfin, même si la liste serait trop longue aussi, il me faut remercier très sincèrement les treize
promotions d’élèves1 de la filière Affaires de l’ENST Bretagne qui ont porté un regard tantôt
critique tantôt enthousiaste sur l’articulation de mon travail de recherche avec l’enseignement
mais qui ont toujours fait preuve de l’intelligence et de la générosité sans lesquelles rien de
sérieux ne se construit.
Rennes, Août 2002
1 Notamment Sébastien Henon et Denis de Bernardy avec qui des travaux de recherche ont été ou vont être publiés.
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Plan de la notice de présentation des travaux
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Introduction p. 11
Chapitre 1
Limites de l’économie des télécommunications p. 21
1.1. Les concepts fondamentaux de l’économie des
télécommunications p. 21
1.2. 1.1.1. Le modèle économique du réseau p. 22
1.1.2. La théorie des coûts : les limites de l’économétrie p. 23
1.2. Une littérature académique dans le champ des systèmes et opérateurs
historiques de télécommunications insuffisamment développée p. 24
Chapitre 2
Un processus de rattrapage managérial pertinent du point de vue des sciences
de gestion p. 28
2.1. Introduction : une hypothèse théorique simple pour un champ empirique
complexe, celle du processus de rattrapage managérial p. 28
2.1.1. Positionnement théorique de la recherche sur les structures
organisationnelles et les technologies p. 28
2.1.2. Qu’entend-on par « rattrapage managérial » ? p. 30
2.1.3. Rappel de l’hypothèse 2 p. 31
2.1.4. Sous hypothèses p. 31
2.1.5. Une hypothèse et des sous-hypothèses de type inductif p. 31
2.1.6. Méthodologie adoptée : une approche inspirée de l’ethnographie p. 33
2.1.7. Lien entre hypothèses et méthodologie p. 36
2.1.8. Investigations sur le terrain p. 36
2. 2. Une corrélation forte entre technologies et structures organisationnelles :
le cas de France Télécom p. 41
2 .2.1. Rappel de la première sous hypothèse p. 41
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