Première 2012-13 : Introduction Introduction : Quelles questions se

Première 2012-13 : Introduction
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Introduction :
Quelles questions se posent l’économiste, le sociologue et le politiste pour comprendre les
consommations alimentaires ?
Plan du prof (notions)
Correspondance avec le programme officiel
Introduction : Quelles questions se posent l’économiste, le sociologue et le
politiste pour comprendre les consommations alimentaires ?
1- Comment choisit-on ce que l’on mange ?
(Utilité, contrainte budgétaire, prix relatif)
2- Tout le monde mange-t-il pareil ?
(Normes, valeurs, socialisation différentielle)
3- Pourquoi acheter à d’autre l’alimentation que l’on peut faire soi-même ?
(spécialisation , Echange marchand, gain à l’échange)
4- Comment et par qui est produit ce que l’on mange ?
(Production marchande et non marchande, facteurs de production)
5- Où sont achetés et vendus les biens de consommation alimentaire ?
(Marché)
6- Pourquoi des groupes sociaux se mobilisent-ils contre la « mal-bouffe » ?
(Groupes sociaux, groupe primaire, groupe secondaire))
7- Quelles sont les actions publiques conduites dans le domaine
alimentaire ?
(action publique)
Eco 1.1 : Dans un monde aux ressource limitées comment faire des
choix ?
Socio 1.1 (partie) : Comment la socialisation de l’enfant s’effectue-t-
elle ?
Eco1.2 : Pourquoi acheter à d’autres ce qu’on pourrait faire soi-
même ?
Eco 1.3 (partie) : Que produit-on et comment le mesure t-on ?
Eco 2.1 (partie) : Comment l’entreprise produit-elle ?
Eco 3.1 (partie) : Qu’est-ce qu’un marché ?
Socio 2.2 (partie) : Comment la taille des groupes influe-t-elle sur
leurs comportements et sur leur capacité d’action ?
RC (partie) : Comment un phénomène social devient-il un
problème public ?
Objectifs :
- Les élèves en classe de 2nde ont conduit une enquête par questionnaire sur les pratiques alimentaires : « Qui mange
quoi comment et pourquoi ? ». Cette introduction a pour objectif de repartir de ce travail en révisant les
principales notions abordées tout en introduisant les différents axes du programme de première et en traitant les
points 1.1 et 1.2 de ce programme.
- Permettre aux élèves de s’approprier les démarches de l’économiste, du sociologue et du politiste et de percevoir
l’intérêt de mobiliser ces différentes démarches pour analyser complètement un phénomène social, comme celui
des pratiques alimentaires.
1- Comment choisit-on ce que l’on mange ?
Document 1 : Manger « bio » ou pas ?
Les produits bio sont vendus sensiblement plus cher que les produits agricoles conventionnels ?
VRAI. Le verdict des étiquettes est sans appel. Cet été, l'association Famille rurales a constaté, en magasins et sur les
marchés, un écart de 68 % entre les fruits et légumes bio et conventionnels. Selon Que choisir, en grande surface, le
panier bio est plus cher de 22 % que le même panier composé de marques nationales. (…)
Le prix plus élevé du bio bloque sa croissance ?
VRAI ET FAUX. Les ventes de produits bio ne pèsent que 2 % de la consommation alimentaire nationale. Son prix plus
élevé ralentit la croissance du bio, mais ne l'empêche pas. (…)
Production et consommation décollent : en 2010, 3 000 fermes se sont lancées dans le bio ; les achats de produits bio
ont progressé de 19 % en volume entre 2008 et 2009 ; 9 % des consommateurs consomment au moins un produit bio
par jour. « Une tendance de fond qui reflète une conscience environnementale croissante », se félicite Élisabeth Mercier.
(…)
Les produits bio sont un luxe réservé aux « bobos » ?
FAUX. Claude Colin, du réseau Biocoop à Angers, dénombre, dans sa clientèle, « 20 % de militants de base, fidèles,
aujourd'hui retraités. Une large proportion de familles de 35 à 50 ans qui découvrent et testent le bio petit à petit ; de
jeunes militants de moins de 30 ans qui viennent par souci éthique et écologique »
Un repas bio est forcément plus coûteux ?
FAUX. On peut manger bio sans dépenser plus. Comment ? « En respectant le vieil adage manger de tout, un peu. En
remplaçant une partie des protéines carnées par des protéines végétales, nettement moins chères », répond Lylian Le Goff.
Xavier BONNARDEL, “Manger bio est-il vraiment un luxe ?”, Ouest France.fr, 22 novembre 2010
Q°1 : Quels sont les éléments qui entrent en compte dans la décision de consommer bio ?
Prix… plus cher
Valeurs… souci éthique et écologique
Q°2 : De manière générale qu’est-ce qui explique les choix des individus en matière de
consommation ?
Prix du bien, prix des autres biens, valeurs, goûts.
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Document 2 : Comment les économistes raisonnent-ils ?
L’analyse économique fait l’hypothèse que les goûts, les besoins, les préférences des individus sont des données
invariables. Il ne s’agit pas d’une prise de position philosophique sur la question des goûts mais d’un choix
méthodologique. Il se peut que les goûts varient d’un individu à l’autre, et, pour un même individu, d’un moment à
l’autre. Mais on ne peut guère émettre sur cette question autre chose que des idées et des jugements de valeur
impossibles à confronter aux faits. M. Dupont réduit sa consommation de tomates, on peut toujours faire l’hypothèse
qu’il aime moins les tomates qu’auparavant. Mais il ne s’agit pas d’une hypothèse scientifique : il n’y a aucun moyen de
la tester en la confrontant aux faits. L’économiste pour sa part fait comme si M. Dupont aimait toujours autant les
tomates, et cherche les éléments observables et mesurables qui ont changé dans l’environnement de M. Dupont et qui
seraient susceptibles d’expliquer son comportement.(…)
L’analyse économique est une science des contraintes. Elles n’explique pas ce que font les individus par « ce qui se
passe dans leur tête », tout simplement parce que, ne sachant pas ce qui s’y passe, la seule démarche scientifique
raisonnable consiste à ne tenir compte que les contraintes extérieures aux individus, qui, elles, sont observables.
Jacques Généreux, Introduction à l’économie, 3ème édition, Coll Points, Editions Seuil, 2001
Q°3 : Les économistes prennent-ils en compte les goûts des consommateurs ? Pourquoi ?
Les économistes ne prennent pas en compte les goûts des consommateurs car c’est un élément
subjectif, qui ne peut se vérifier scientifiquement. Alors quand ils analysent les comportements
de consommation ils font l’hypothèse quelles critères de goût n’entrent pas en compte et
expliquent les différences de consommation par des éléments objectifs.
Q°4 : Quels sont les éléments observables et mesurables utilisés par les économistes pour
expliquer la baisse de la consommation de tomates de M. Dupont ?
Le prix des tomates, le prix des autres légumes (substitution), sa contrainte budgétaire, la
satisfaction que lui procure la consommation de tomates (utilité).
a- Le prix
Document 3 : Perte ou gain de pouvoir d’achat ?
Q°1 : Faites une phrase avec les données des 2 courbes correspondant à l’année 2005.
En 2005, le salaire mensuel de base a augmenté de 2,7% par rapport à l’année précédente.
En 2005, les prix ont augmenté de 1,9% par rapport à l’année précédente.
Q°2 : Comment a évolué le pouvoir d’achat entre 2005 à 2007 ?
Pouvoir d’achat a augmenté car sur cette période les prix augmentent moins fortement que les
salaires.
Indice des prix à la consommation : C’est un
instrument de mesure de l’inflation. Il permet
d’estimer entre 2 périodes données, la
variation moyenne des prix des produits
consommés par les ménages.
Pouvoir d’achat : quantité de biens et services
qu’un certain revenu permet d’obtenir.
Alternatives Economiques, le 5 avril 2012 :
http://www.alternatives-economiques.fr/le-
pouvoir-d-achat-en-
berne_fr_art_633_58710.html
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Q°3 : Que se passe-t-il à partir de 2011 ?
A partir de 2011, les courbes se croisent. La courbe des prix est passée au-dessus de celle des
salaires. Autrement dit : les prix augmentent désormais plus vite que les salaires et les Français
perdent du pouvoir d’achat, ce qui alimente le ralentissement de l’économie et la montée du
chômage…
Pour comprendre comment le consommateur effectue ses choix de consommation, l’économiste
s’intéresse donc à l’évolution du niveau général des prix (de tous les prix : inflation) pour connaître
le pouvoir d’achat. Mais il s’intéresse également à l’évolution du prix d’un bien par rapport à
l’évolution du prix d’un autre bien ou de tous les biens. L’économiste s’intéresse alors au prix
relatif.
Prix relatif : C’est un mode de calcul consistant à exprimer l’évolution du prix d’un bien et d’un service
comparativement à l’évolution du niveau néral des prix. Il est aussi possible de définir le prix relatif comme le prix
d’un bien dans un autre bien. (ex : un kilo de poivron vaut 2 kilos de tomates)
b- La contrainte budgétaire
Bien : c’est un produit matériel qui découle de l’activité de production (une baguette de pain, un camion…) et qui peut
se stocker.
Service : c’est une activité dont le résultat n’est pas la production d’un bien matériel mais un produit immatériel qui ne
se stocke pas (coupe de cheveux, consultation médicale…).
Document 4 : Qu’est-ce que la contrainte budgétaire ?
Q°1 : Sachant qu’une unité d’aliments est égale à 40 euros et qu’une unité de bien durable est
égale à 200 euros, expliquez les valeurs « 75 » et « 15 ».
Le budget de 3000€ dont dispose le consommateur peut se répartir ainsi :
*75 unités de nourriture à 40€ l’unité et O unité de bien durable.
OU *15 unités de biens durables à 200€ l’unité et 0 unité de nourriture.
Q°2 : Quelle est la signification de chaque point de la droite ? Illustrez avec le point A.
Chaque point de la droite représente les différentes combinaisons possibles de consommation
entre nourriture et biens durables compte tenu de la contrainte budgétaire.
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A signifie que le consommateur utilise son budget de 3000€ de la façon suivante :
*50 unités de nourriture à 40€ l’unité = 2000€
ET*5 unités de biens durables à 200€ l’unité = 1000€
Q°3 : Supposons que le prix d’une unité de nourriture passe à 45€. Complétez le graphique
en représentant la nouvelle droite de budget.
Le consommateur pourra donc moins consommer d’unités de nourriture et autant d’unités de
biens durables.
Q°4 : Que se passe-t-il si le budget du consommateur passe à 3 520€ ?
Il consommera plus d’unités de nourriture et de biens durables. La courbe de budget se
déplacera alors vers la droite parallèlement à la droite initiale.
Q°5 : Que suppose ce raisonnement ? Quelle critique peut-on faire à cette hypothèse ?
Ce raisonnement suppose que les individus sont rationnels c'est-à-dire qu’ils font un calcul
précis des coûts/avantages que leurs décisions individuelles entraînent afin de maximiser leur
satisfaction ou utilité. De plus, les individus sont soumis à une contrainte budgétaire : les choix
des consommateurs sont limités par leur revenu et par le prix relatif des biens qu’ils souhaitent
consommer.
Or, les choix de consommation sont bien souvent effectués sur des impulsions l’humeur de
l’individu, les caractéristiques séduisantes d’un produit (cas des achats en supermarchés).
Donc, l’individu n’est pas tout le temps rationnel.
c- L’utilité
Document 5 : Quelle satisfaction procure la consommation ?
L’utilité marginale est la satisfaction individuelle par la dernière unité consommée d’un bien. Par exemple quand vous
avez soif, vous buvez quelques gorgées d’eau jusqu’à éteindre votre soif. L’utilité totale est la satisfaction globale de
votre besoin. L’utilité marginale est le supplément de satisfaction que vous éprouvez à chaque gorgée d’eau. (…)
Il est raisonnable de penser que l’utilité de la première gorgée d’eau est plus forte que celle de la deuxième, et ainsi de
suite, parce que la soif diminue au fur et à mesure de votre consommation d’eau. Cette observation conduit à énoncer la
loi de l’utilité marginale décroissante avec la quantité consommée.
Jacques Généreux, Les vrais lois de l’économie, Editions du Seuil, 2005
Q°1 : Trouvez un mot qui traduise le sens de la notion d’ « utilité », utilisée par les
économistes.
Satisfaction.
Utilité : satisfaction qu’un agent retire de la consommation d’un bien ou d’un service.
Q°2 : Pourquoi l’utilité est une notion qui intéresse les économistes pour comprendre les
choix des consommateurs ?
Si l’utilité d’un bien ou d’un service est importante, sa consommation sera forte et inversement.
Q°3 : Comment évolue l’utilité au fur et à mesure que la consommation d’un même bien ou
service augmente ?
Plus on consomme un bien ou un service, plus l’utilité qu’on en ressort est faible. Donc l’utilité
de la dernière unité consommée (utilité marginale) est toujours inférieure à l’utilité de la
précédente ; on dit que l’utilité marginale est décroissante.
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Comprendre comment les individus font leurs choix de consommation alors même que les
ressources sont limitées, c’est une question que se posent les économistes quand ils analysent la
consommation.
L’économie est la science ayant pour objet l’étude de la production, de la répartition et de la
consommation de ressources rares.
2- Tout le monde mange-t-il pareil ?
Document 6 : … un effet d’âge ou de génération ?
À chaque génération son comportement alimentaireLe CREDOC (Centre de Recherche pour l'Etude et l'Observation des Conditions de vie)
définit une génération dans le domaine alimentaire par le comportement qu'elle adopte à 25 ans. Une génération est marquée par le comportement
qu'elle adopte à cet âge-là, parce que c'est l'âge moyen de la mise en couple.
- La génération " privation " concerne ceux qui ont entre 90 et 99 ans. Ils ont eu 25 ans entre 1932 et 1941, périodes de crises et de guerre. Leur
comportement se caractérise par la consommation de pommes de terre.
- La génération " rationnement " est représentée par les individus qui ont entre 80 et 89 ans. Ils ont eu 25 ans entre 1942 et 1951. Leur
comportement est assez proche de la génération précédente.
- La génération " réfrigérateurs " regroupe les personnes qui ont entre 70 et 79 ans et ont eu 25 ans entre 1952 et 1961. À cette période, le
réfrigérateur a révolutionné la conservation des aliments.
- La génération " robot ménagers " est celle des personnes qui ont entre 60 et 69 ans. Leurs 25 ans, entre 1962 et 1971, ont coïncidé avec le
développement de produits exotiques et le gain de temps dans la préparation des repas.
- La génération " hypermarchés " comprend les Français de 50 à 59 ans. Ils ont eu 25 ans entre 1972 et 1981, époque du développement des
hypermarchés, que cette génération fréquente volontiers. La durée de préparation des repas diminue surtout à partir de cette génération.
- La génération " aliments service " correspond à ceux qui ont 40 à 49 ans et qui ont eu 25 ans entre 1982 et 1991. C'est à cette époque qu'ils ont pris
l'habitude de consommer des plats préparés afin de consacrer plus de temps à d'autres activités que la cuisine.
- La génération " hard discount " concerne les individus de 30 à 39 ans. Ils ont fêté leurs 25 ans entre 1992 et 2001. Ils sont moins fidèles aux marques
et davantage concentrés sur le rapport qualité / prix.
À chaque génération, de nouvelles tendances de consommationLe baromètre du CREDOC 1998-2004 sur les comportements
alimentaires des Français et les données de l'INSEE sur les dépenses alimentaires de 1971 à 2001 permettent de distinguer effets
d'âges et effets de générations sur les modifications des habitudes alimentaires. L'effet d'âge prend en considération l'âge de la cible
aujourd'hui. Dans ce cas, la tendance qui lui est attribuée ne l'intéressera plus ou l'intéressera davantage en vieillissant. L'effet de
génération prend en considération les tendances de consommation alimentaire à l'âge de 25 ans de la cible. La tendance concernera
toujours notre cible quand elle vieillira.Pour les industriels, il est intéressant de savoir si les tendances exploitées correspondent à
un effet d'âge ou à un effet de génération. Parmi les nouvelles tendances, on trouve :
Moins de régularité dans l'horaire du repas L'heure du dîner est de moins en moins la même chaque soir. Aujourd'hui, elle s'étale
entre 18h45 et 21 h45. Pour le CREDOC, il s'agit davantage d'un effet de génération que de cycle de vie (lié à l'âge). Au même âge (25
ans), le pourcentage des individus ne dînant pas à heure fixe est 3 fois plus important pour la génération " hard discount " que pour
celle de ses grands parents (génération " réfrigérateurs ").
Un développement du plateau-repas au détriment de la table Le " plateau-repas (le fait de ne pas manger à table) au moins une fois
par semaine " est une pratique qui concerne un ménage sur deux en 2003. Elle ne concernait qu'un tiers des ménages en 1995. Les
Parisiens, les personnes seules, les familles monoparentales et les jeunes sont les plus grands adeptes.Il s'agit encore d'un effet de
génération. 62 % des individus de la génération " hard discount " font des plateaux-repas contre 30 % de leurs grands parents au
même âge.
Un essor des produits exotiques La consommation des produits exotiques diminue avec l'âge uniquement chez les plus de 70 ans.
L'effet de génération apparaît avec la génération " robot ménagers " (qui ont entre 60 et 69 ans). Autrement dit, les moins de 70 ans
apprécient ce type de produits et cette tendance ne diminue pas au fur et à mesure qu'ils vieillissent.
Une croissance des produits transformés L'offre et la demande des produits " prêts à consommer " connaissent une croissance
importante. Ceci est dû à un double effet, d'âge et de génération. Non seulement les nouvelles générations consomment davantage ce
type de produits, mais en plus, ils en consomment davantage à mesure qu'ils vieillissent. Les générations récentes devraient ainsi
privilégier les produits transformés, plats préparés et conserves, au détriment des produits frais.
CREDOC - Consommation et modes de vie - N°196 - Septembre 2006.
LSA - supplément au N°1969-1970 - 12 octobre 2006.
Q°1 : Les différences de comportements alimentaires s’expliquent le plus souvent par des
différences d’âge ou par l’appartenance à une génération différente ? Illustrez votre réponse
à l’aide d’exemples tirés du document.
Les différences de comportement alimentaires s’expliquent plus souvent par un effet de
génération que par un effet d’âge.
Effet d’âge : les différences de consommation de plusieurs personnes s’expliquent par le fait
qu’elles n’ont pas le même âge. Par exemple, c’est parce qu’une personne est jeune qu’elle va
manger au Mc Donald.
Effet de génération : Les différences de consommation de plusieurs personnes s’expliquent par
le fait qu’elles appartiennent à des générations différentes qui ont été socialisées différemment
et n’ont donc pas les mêmes habitudes de consommation. Ce qui signifie qu’en vieillissant
chaque personne conserve son mode de consommation puisqu’il est lié à sa génération et pas à
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