Académie de Lyon – TPE 2001/2002 –
Exemple de synthèse SVT / Chimie
SYNTHESE PERSONNELLE
Nous voulions étudier un virus, donc nous avons pris le thème RISQUES
NATURELS ET TECHNOLOGIQUES.
Notre sujet qui est « COMMENT INHIBER L’ENTREE DU VIH DANS LES
CELLULES » concerne le virus du SIDA.
Les matières concernées sont la S.V.T. (fonctionnement d’un virus ainsi que tout ce qui
entre en jeu au niveau cellulaire) et la CHIMIE avec les traitements pharmaceutiques et les
molécules.
Nous avons choisi le VIH (Virus de l’lmmuno-déficience Humaine) car le SIDA touche
beaucoup de personnes dans le monde et, étant une MST cela nous concerne d’autant plus,
nous les jeunes.
Tout d’abord, le problème majeur fut de choisir que virus nous allions traiter (entre
l’ébola, le VIH et la grippe )puis de choisir notre sujet précis.. En tout, nous avons mis 6
séances ! à nous décider...
Le deuxième problème fut que nous connaissions très mal (moi en particulier pas du
tout) le VIH et son fonctionnement .11 a donc fallut se documenter grâce à Internet et au CDI
pour pouvoir traiter ce sujet en toute connaissance de cause (en effet, il aurait été dommage
de donner des noms d’inhibiteurs d’entrée du VIH alors que nous ne savions même pas
comment le virus entrait dans la cellule. De plus, c’est très difficile de choisir une
problématique précise sur un sujet que l’on ne connaît pas).
Tout se serait arrangé si notre sujet avait eu des réponses précises. Malheureusement, ce
n’est pas le cas. Il existe des traitements efficaces ,mais ceux-ci concernent seulement ce qu’il
se passe à l’intérieur de la cellule et pas du tout la fixation et la fusion du virus à sa cellule
cible. Pour preuve il n’existe aucun produit inhibiteur d’entrée sur le marché!
Mais à quelque(s) mois de la date limite et avec plein de jeudi qui sautaient ce n’était
pas la peine de changer notre sujet.
Nous avons donc supprimé notre partie les thérapies actuelles (sur laquelle nous
comptions d’ailleurs pour un des développements principaux) et, attrapant de-ci de-là des
expériences et des théories des instituts de recherche, nous avons tenté de développer le plus
possible notre partie des espoirs pour de nouvelles thérapies
Il y a quand même un point optimiste c’est que maintenant ,je sais comment le VIH
entre dans la cellule cible, et que j’ai plein de documents concernant ce virus (Si je fais une
fac de bio et que notre sujet est le fonctionnement du VIH je ferais des économies sur le
papier!)