Les Églises Chrétiennes de Dieu
[110]
La Théorie de la Guerre Juste [110]
Les Premier et Deuxième Cavaliers Libérés
(Édition 1.0 19950429-19991009)
Cette étude est une analyse historique et philosophique de la Théorie de la Guerre Juste qui
démontre le développement du processus avec Augustin d'Hippone et à travers le système
orthodoxe ou catholique du cinquième siècle. Le sens de la bulle papale Unam Sanctam est
expliqué, de même que les implications qui soutiennent la guerre et la Théorie de la Guerre
Juste, ainsi que ce qui a trait au concept de l'église comme un corps organisé exclusif, dont
l’adhésion est essentielle au salut. L'histoire de la doctrine jusqu'à l'époque moderne est
d'une grande importance pour les Chrétiens qui adoptent une position quelconque au
service militaire ou à la guerre.
Christian Churches of God
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(Copyright 1995, 1999 Wade Cox)
(Tr. 2012)
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Page 2 La Théorie de la Guerre Juste [110]
La Théorie de la Guerre Juste [110]
Jusqu'à la Réforme, l'Église Catholique
Romaine avait justifié son exercice du pouvoir
civil et ecclésiastique par une rie de
stratagèmes philosophiques subtils et erronés.
Ces subtilités ont cherché à expliquer l'usage de
la force et l'ingérence de l'Église dans le
pouvoir de l'État en dépit des sanctions
bibliques du Nouveau Testament. L'argument
est devenu connu sous le nom de Théorie de la
Guerre Juste et, après la Réforme, ne pouvait
être accepté totalement puisqu’une partie de
l'argument dérivait de la littérature patristique.
Pour les réformateurs, l'autorité biblique seule
était la norme et, par conséquent, le concept de
la Théorie de la Guerre Juste devait être
sécularisé en vue d'élargir son mandat. Pour
comprendre ses origines et, de là, faire face à
ses prémisses, le développement historique doit
être compris.
Depuis la fin du premier siècle, la doctrine
Chrétienne avait été l'objet d'attaques de divers
milieux, dont certains passaient en tant que
Chrétiens, d'autres plus tard étant attribués en
tant que Chrétiens comme les Gnostiques. La
secte chrétienne était pacifiste et a continué
ainsi de manière presque totale jusqu'au début
du 4ème siècle quand une fusion forcée des
églises chrétiennes occidentales et
Elagabalistiques eut lieu sous Constantin. Afin
de s'adapter à la séduction de la reconnaissance
empirique, deux factions ont émergé qui
prétendaient être chrétiennes, mais qui avaient
depuis longtemps été entachées d'apostasie. Les
factions en vinrent à être connues sous le nom
de la faction athanasienne d’après Athanase,
Évêque d'Alexandrie (296-373 EC) et la faction
arienne d’après Arius, Prêtre d'Alexandrie
(250-336), qui ont tous deux été destitués par
les synodes emballés, pour Arius en Alexandrie
en 321 et pour Athanase à Tyr en 335.
L'histoire du conflit est trop détaillée pour être
examinée ici, mais cela a joué un rôle dans la
production de nombreuses théories et doctrines,
et un sous-produit d'une de celles-là a été la
Théorie de la Guerre Juste.
L'Église a été confrontée au dilemme d'être une
religion d'État officielle et continuant l'exercice
de pouvoir civil et militaire contrairement à
l'instruction de la doctrine de Christ. La
doctrine devait être promulguée. La première
analyse complète biblique que nous avons de
l'utilisation de la force militaire a eu lieu dans
les écrits d'Augustin, un penseur d'Afrique du
Nord, qui a été baptisé un Chrétien et a fait ses
études en langue punique, une variante de
l'hébreu ainsi qu’en latin. De 373 à 383, il a été
manichéen et philosophe platonicien. Il a été
rebaptisé en 387 un Athanasien. Ambroise de
Milan, avec Théodose, avait pris le contrôle de
l'Église romaine pour la faction athanasienne en
381 et a ordonné le Concile de Constantinople.
La participation d'Ambroise avec Augustin a
joué un rôle dans l'adoption de celui-ci de cette
croyance, qui à l'époque était sans doute
considérée comme une direction prudente.
Théodose a supprimé le paganisme après avoir
vaincu Eugène en septembre 394.
Les soi-disant disputes Athanasiennes/Ariennes
ont conduit à la persécution amère par les
Athanasiens ou la faction trinitaire. Les Goths
et les Vandales étaient des Unitaires (la Bible
gothique date de 351). Ils ont été appelés plus
tard les Ariens par la faction Trinitaire pour
dissimuler la véritable nature du différend. Les
disputes devaient continuer à se produire même
plus tard, quand l'impératrice Placidie a envoyé
les Goths, aidés par les Vandales, pour
s'opposer à la révolte du Comte Boniface en
Afrique en 427. Ils étaient accompagnés par
Maximin, un Évêque unitarien. Augustin a
défendre publiquement la secte athanasienne ou
trinitaire en 428.
En gros, la formulation de la Théorie de la
Guerre Juste provient des écrits d’Augustin
d'Hippone.
Il s'agit d'une rationalisation de l'approbation du
Christianisme de son adoption comme religion
d'état syncrétique. L'adoption du Christianisme
comme religion d'état signifiait l'implication
consécutive dans l'infrastructure militaire et
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civile. Par la suite, la faction d’Augustin
persécuta d'autres sectes. La Théorie de la
Guerre Juste tente de justifier ces activités.
La position d'Augustin a été adoptée par l'un
des ecclésiastiques instruits dans ses écoles et
qui est devenu un disciple de sa pensée. Ce
clerc des plus puissants est devenu Grégoire 1
(ou le Grand). Il a réussi à fusionner le pouvoir
civil et ecclésiastique ensemble. En 590, il a
commencé une union de l'Église et de l'État.
L’union devait former une série de groupes
empiriques, qui ont atteint une relative
continuité jusqu'en 1850 - durant quelques
1260 années. 1260 ans sont trois temps et demi
prophétiques. L'importance de cette échelle de
temps ne doit pas être confuse aux étudiants de
la Bible.
Les doctrines établies par Augustin et Grégoire
étaient essentiellement les mêmes jusqu'à ce
que les événements du XIIIe siècle précipitent
une vague supplémentaire de théorisation. Tout
d'abord, par Grégoire IX en 1232 dans son
conflit avec les Grecs. En 1236, Grégoire IX,
avec Frédéric II, a affirmé que Constantin le
Grand avait donné le pouvoir temporel aux
papes, et que les empereurs et les rois n’étaient
que ses auxiliaires, obligés d'utiliser l'épée
matérielle à sa direction. De 1265-1272, Aquin
a veloppé ce thème dans la Summa
Theologica (à II II, 40. c.~271) et en
collaboration avec les écrits de Bernard de
Clairvaux et de Hugo Saint-Victor et autres, il a
inspiré la rédaction de la Bulle Unam Sanctam
émise par Boniface VIII le 18 novembre 1302.
Cela est devenu le mot définitif sur l'argument
du pouvoir duel et de l'utilisation légitime de la
force.
La doctrine moderne de la Théorie de la Guerre
Juste dépend du statu quo et de l'existence de
l'État ainsi. Elle repose en outre sur l'hypothèse
que le crime d'agression est la mesure de la
justification de la Guerre Juste. Suite à cela, il y
a les divisions de Jus ad Bellum traitant de la
détermination d'une Guerre Juste et Jus In Bello
réglementant la conduite des participants.
Pour voir comment ces distinctions sont faites,
et d'où elles proviennent, nous devons examiner
certaines prémisses d'Augustin et plus tard de
Thomas d'Aquin. Nous allons examiner leur
exactitude et puis regarder Unam Sanctam. À
partir de cela, la Théorie de la Guerre Juste
Moderne sera examinée.
À partir des écrits politiques d'Augustin, nous
voyons les prémisses suivantes. À C a, il reflète
ses jours platoniciens antérieurs quand il cite
Cicéron : que l'état devrait être constitué de
manière à être éternel. Ainsi, la mort n'est pas
naturelle pour une république comme à un
homme, et, aucune guerre ne doit être menée
sauf pour la sécurité ou pour l'honneur.
De la référence au choix des Sagontins de
destruction de l'État plutôt que de trahir sa foi,
Augustin fait remarquer que Cicéron n'a pas dit
celle qui était préférée, la sécurité ou la foi (les
Sagontins ont choisi de garder la foi avec leurs
alliés en raison de leur parole, même s'ils
savaient que cela signifiait l'extermination). Par
conséquent, le dilemme de la sécurité, et par
extension la victoire, est supposé être en conflit
avec la morale ici comme la foi. Il conclut par :
Mais la sécurité de la ville de Dieu est telle qu'elle
peut être retenue, ou plutôt acquise par la foi et avec
la foi, mais si la foi est abandonnée personne ne peut
l'atteindre.
À C b, il dit :
Pourtant, l'ordre naturel, qui cherche la paix de
l'humanité, ordonne que le monarque doit avoir le
pouvoir d'entreprendre la guerre s'il juge que c’est
opportun et que les soldats devraient accomplir leurs
tâches militaires en faveur de la paix et la sécurité de
la collectivité.
Il pose la question la plus extraordinaire.
Quel est le mal dans la guerre ? Est-ce la mort de
quelques-uns qui vont bientôt mourir en tout cas afin
que d'autres puissent vivre dans la soumission
pacifique ? C'est une simple aversion lâche, pas un
sentiment religieux.
Il y a deux domaines principaux d'opposition à
ce principe.
Le premier est qu'il est directement contraire
aux commandements et il tente d'insinuer
qu'un souverain temporel peut ordonner de
commettre un acte contraire à la loi biblique.
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Le second est que si l'argument est admis
que la mort de certains est acceptable, de
sorte que d'autres puissent vivre dans la
soumission pacifique, nous admettons une
série de doctrines ; l'euthanasie pour des
raisons économiques et l'exécution pour des
raisons doctrinales, voire sur l'origine
ethnique.
Augustin tente d'énumérer les maux réels de la
guerre comme l'amour de la violence, la cruauté
vengeresse, l'inimitié féroce et implacable, la
résistance sauvage, et la soif de pouvoir, etc.
Ceux-ci semblent avoir des objections de Jus in
Bello (Justice dans la Guerre) et se rapportent
donc à des restrictions sur les participants. Il
fait l'hypothèse basée sur Romains 13:1 qu'il
n'y a aucun pouvoir, à part Dieu, qui, soit
ordonne ou permet, de sorte qu'un homme juste
peut être sous un roi impie, mais il peut se
battre sur deux motifs. Que :
c’est manifestement la volonté de Dieu, ou
cela peut être une commande injuste de la
part du roi, mais le soldat est absous parce
que sa position fait de l'obéissance un
devoir.
En outre, il a déclaré Combien plus l'homme
doit-il être irréprochable, qui exerce la guerre
sur l'autorité de Dieu ? Les limites de cette
position étaient évidentes à Nuremberg.
Augustin est bibliquement malsain sur une
série de points. Tout d'abord, ses exemples
bibliques à l'appui de ce qui précède sont mal
utilisés. Luc 3:14 concerne le baptême de Jean
le Baptiste avant l'introduction par Christ de la
Nouvelle Alliance. Dans tous les cas, ceux qui
sont baptisés par Jean pour la repentance sont
toujours rebaptisés et n'avaient pas, jusqu'à leur
imposition des mains, le pouvoir de l'Esprit.
Les guerres permises sous l'Ancienne Alliance
étaient, en premier lieu, pour assurer
l'occupation sans entrave de Canaan par Israël
pour deux raisons. Tout d'abord, pour
remplacer une nation qui avait perdu son droit
par la désobéissance, et deuxièmement, pour
mettre en place en toute sécurité le récit
biblique et le plan du salut.
Matthieu 22:21 se réfère au tribut et de rendre à
César tout ce qui appartient à César. Augustin
tente d'en déduire que parce que le tribut était
utilisé pour payer les salaires des soldats alors
Christ cautionnait indirectement la guerre.
Matthieu 8:9-10 se réfère au centurion qui
demanda à Christ de guérir son serviteur. Parce
qu'il a été félicité pour sa foi et qu’il n'a pas été
réprimandé ou dit de changer sa profession,
mais plutôt l'occasion a été prise pour expliquer
qu'il y aurait ceux choisis pas d'Israël, cet
exemple est mal utilisé. Il n'y a aucune trace de
cet homme se faisant baptiser, sauf s'il était
Cornelius, dans Actes 10.
L'argument à Romains 13:1-6 exige la
soumission à l'autorité et le paiement des
impôts comme une exigence des fidèles. Le fait
que ceux de ce monde portent l'épée et sont
suscités par Dieu ne signifie pas que les appelés
ou élus doivent faire de même.
La réponse de Christ à Pilate à Jean 18:36 était
Mon royaume n'est pas de ce monde. S’il
l'était, mes serviteurs auraient combattu pour
empêcher mon arrestation par les Juifs. Au
verset 11, il avait ordonné à Pierre de ranger
son épée. Depuis la Pentecôte, il n'est pas
enregistré bibliquement ou dans les archives de
lÉglise primitive que tout Apôtre ou ancien ait
jamais porté les armes ou l’ait toléré.
L'argument d'Augustin provient de deux points.
Tout d'abord, il était un apostat athanasien qui
ne comprenait pas le plan du salut et,
deuxièmement, la faction athanasienne
(maintenant appelée orthodoxe ou catholique) a
tenté de rationaliser sa foi avec son nouveau
pouvoir établi, et la doctrine a été ajustée en
conséquence.
Grégoire devait adapter la rationalisation
d'Augustin pour reconstituer un empire
temporel et ecclésiastique sous l'autorité
suprême du Pape.
Grégoire IX a réitéré cette position qui a
conduit à la doctrine du statu quo en ce que
tous les états existaient par l'autorité de Rome.
Lorsque cette autorité a été retirée, il a été
constaté que les troubles internes ont
La Théorie de la Guerre Juste [110] Page 5
généralement pris fin, tout comme tous les états
ont été libérés de serments d'allégeance.
L'argument de statu quo de la Théorie de la
Guerre Juste est largement dérivé de cette
prémisse de l'Autorité Pontificale. La
justification de la guerre d’Augustin, et de
Grégoire, a bien fonctionné alors qu'il y avait
un ennemi commun ou une menace extérieure à
l'empire (de préférence païen). En l'an 1000 AD
l'empire s’étendait bien dans la mise en place
des hiérarchies catholiques avec les
archevêchés de Gniezno en Pologne en 1000 et
Gran en Hongrie en 1001, et en 1018 les
Byzantins occupaient la Bulgarie.
En 1031 l'Espagne musulmane s’est fragmentée
avec le détrônement du Calife de Cordoue et en
1050 ils ont été expulsés de la Sardaigne. En
1092 les Almoravides avaient imposé leur
domination sur le sud de l'Espagne avec
seulement trois émirs indépendants de laissés.
En 1094 El Cid prit Valence. En 1095, Urbain
II proclama la Croisade qui partit de
Constantinople en 1097. La démonstration
historique de l'argument du statu quo a été vue
à partir de l'année 1041 avec l'occupation de
Melfi par les Normands sous Tancrède de
Hauteville.
Tous les états féodaux en Europe se sont
appuyés sur l'église pour un fonctionnement
régulier. Le plus grand système féodal jamais
créé était l'Empire allemand ou Saint Empire
romain. L'incursion par les Normands de Melfi,
à la frontière Lombardie/byzantine dans le sud
de l'Italie a été perçue comme une influence
déstabilisatrice grave. Une alliance de l'Empire
byzantin oriental et du Saint Empire romain
occidental avec le Pape a tenté de les écraser,
mais ils ont été défaits à Civitate et Léon IX a
été capturé.
Plusieurs répercussions graves devaient
découler de cela puisque le Pape a blâmé les
Byzantins de sa défaite. Le résultat fut le
schisme Est/Ouest de 1054. En raison de la
position affaiblie de la papauté, certaines
réformes internes de l'église ont été forcées.
Cependant, Nicolas II a pris l'élection de la
papauté des mains du clergé et du peuple de
Rome en déclarant le Pape uniquement élu par
les Cardinaux. Pour rétablir la stabilité dans la
question de l'autorité, il a reconnu les
Normands, qui avant 1060 avaient conquis
toute l'Italie méridionale, et en 1061 avaient
retiré les musulmans du N.E. de Sicile. Le
différend sur la nomination des évêques est
devenu d'une importance fondamentale dans
cette question. Une dispute a éclaté entre
l'Empereur Henri IV et le Pape Grégoire VII
(Hildebrand) en 1076. Après
l'excommunication de Henry, suivie par la
remise et la pénitence en 1077, cela a
finalement abouti à l'occupation d'Henry de
Rome en 1084 et l'élection du Pape Clément III,
qui l'a couronné. Hildebrand a tenu le coup
dans le Castel San Angelo pour être sauvé plus
tard par le Normand Robert Guiscard.
Loin d'être des conquêtes et des disputes
inutiles, ces luttes étaient fondamentales pour la
question de savoir qui a créé le statu quo et la
légitimité de l'identité d'État, qui était
fondamentale à la Théorie de la Guerre Juste.
Au cours de la période qui coïncide avec
l'expansion normande et à partir d'environ
1066, un grand essor dans la construction et la
création d'abbayes s'est produit. Dès 1076 (à
Salerne) les bases ont été jetées pour la création
des Universités. En 1098, Robert a fondé les
Cisterciens de Cîteaux, et l'école de la
Dialectique a été ouverte par Guillaume de
Champeaux à Paris en 1104 qui a commencé
l'université . En 1107 le Synode de
Westminster a glé la controverse de la
nomination des évêques, en Angleterre, entre
Anselme, Archevêque de Canterbury, et Henri
Ier avec l’investiture commune convenue. À
cette époque aussi, l’extension de la ville a
commencé en Europe occidentale et l'Âge de
Raison (aidée plus tard en 1210 par le fondateur
des Franciscains) était en cours, bien que les
doctrines d'Abélard aient été condamnées par le
Concile de Sens en 1141. En 1115 Bernard
fonda l'Abbaye de Clairvaux. En 1122 le
Concordat à Worms entre le Pape Calixte II et
Henri V, l’Empereur allemand ou Saint
Empereur romain, a réglé la nomination de la
question du cler en Europe qui, bien que
semblant être un compromis, a été une défaite
pour l'Empire qui avait désespérément besoin
de la loyauté exclusive de son clergé. Avec
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