INTRODUCTION Le but de cours « Bioéthique » est la formation

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INTRODUCTION
Le but de cours « Bioéthique » est la formation chez les étudiants
en médecine des positions morales modernes.
La bioéthique est une des disciplines qui avec d’autres disciplines
humaines permet aux étudiants de construire et actualiser le volume
et le contenu de la vision du monde, former la culture générale et
professionnelle, la capacité de contrôler leur comportement moral.
L’étude de la bioéthique permet d’enrichir les problèmes
complexes de la science médicale et la pratique par la connaissance
humanitaire et les valeurs morales.
Ce manuel méthodique est destiné aux étudiants étrangers en
médecine. Il est établi en conformité avec les exigences éducatives de
l’État et comporte les plans des séminaires sur le cours « La
Bioéthique », les recommendations méthodologiques, la littérature de
base, les questions de l’épreuve.
THÈME 1. L'ÉTHIQUE COMME L’ÉTUDE: LA NOTION, LES
PROBLÈMES, LES CATÈGORIES.
1. L’Éthique : notion, objet, problèmes.
2. La morale et la moralité comme les bases de la culture.
3. Les catégories de base éthiques.
4. Les particularités de la formation des étapes historiques de la
pansée éthique.
LITTÉRATURE
Gourevitch V.D . , Nekrassov E.N. Les bases de l’éthique. M. :2007
Gouseinov A.A., Apresyan R.G. L’éthique : manuel-M. : Gardariki,
2006
Zelenkova I.L., Belyaeva Y.V. L’éthique.-Minsk, 2005
Popov L.A. L’éthique : Un cycle de conférences.-M. :Zentre,1998
Radougin A.A. L’éthique : manuel-M. : Centre,2003
Dictionnaire de l’éthique.-M. :1983
L’éthique : manuel/éd. Gouseinov A.A. et Doubko E.L.
M. :Gardariki,2007
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1. L’éthique : notion, objet, problème. La signification initiale
du terme « éthique » du grec ancien la maison, la cohabitation. Puis-
la doctrine des vertus (d’après Aristote). L’étape suivante est liée
avec Cicéron, en latin nominale veut dire « moral ». Enfin, dans la
langue néo-européenne le terme « l’éthique » retrouve un nouveau
nom la moralité. Au fur et à mesure le terme « éthique » s’acquiert
le nom d’un domaine de la connaissance et pour les termes
« morale » et « moralité » - l’objet de cette connaissance. Ainsi,
aujourd’hui – l’éthique est une doctrine sur la morale et la moralité.
Il est nécessaire de découvrir le contenu de la morale, son importance
dans la société et ses fonctions. Il faut accentuer les particularités de
la moralité en fonction de ce qu’elle concentre le degré humain dans
la personne. L’essence de la moralité se révèle par son ambivalence,
c’est-à-dire le non-coïncidence de deux principes- la recherche de
propre bien et la compréhension de la résponsabilité à d’autres
personnes.
En examinant les problèmes de la connaissance éthique, il est
nécessaire de distinguer les plus importants parmi eux :
a) La relation du « vrai » et « nécessaire » au plan du
comportement moral de l’individu
b) Les critères, c’est-à-dire les moyens de la division du
« bien » et du « mal »
c) La nature et l’essence du mal
d) Les conflits moraux : les caractéristiques de leur genèse, le
déroulement et les moyens de résolution.
e) Le problème de la liberté morale.
2. La morale et la moralité comme les bases de la culture. La
culture c’est une forme susbiologique de la vie. Elle saisit une
manière spécifique de l’organisation et du développement de la vie
humaine représentée dans le travail matériel et spirituel, dans le
système des normes sociales et des institutions, des valeurs
spirituelles, des relations de gens à la nature, entre eux et à eux-
mêmes. La culture ennoblit l’homme. C’est la moralité est ce qui
faire tirer l’homme de l’état animal le soulève jusqu’aux hauteurs
« divines ».
La dimension morale des bases de la culture est toujours définie
par le caractère historique des systèmes moraux. Le plus souvent, ces
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dernières s’exprimaient comme la rêvasserie historique de l’humanité
sur la vie prospère et heureuse et aussie sur l’ordre du monde parfait.
Dans la sociémoderne, la vie de l’homme est organisé de telle
façon que l’esprit se soumet à la volonté et agit au sein et au nom des
objectifs, qui définirent les intérêts (passions) du sujet. La tentation
de possibilités illimitées est apparaît. De là, l’esprit humain peut
faciliment se dégrader, en se transformant en finauderie, impudence,
et puis c’est la «zone morte » (l’immoralité).
Dans ce contexte, il est nécessaire d’attirer l’attention sur le
renforcement des bases morales du champ culturel de la personnalité
et de la société. Pour cela, la pondération et la clairvoyance des buts
de l’activité humaine doivent s’accorder avec leur justification
morale, l’esprit doit obéir à la conscience, agir au sein des normes du
bien et de l’humanité.
3. Les catégories éthiques principales. Il faut ouvrir le contenu
des catégories principales de l’éthique : le bien et le mal ; la
conscience ; la dette ; le bonheur ; l’idéal moral et d’autres. « Le
bien » - c’est tout ce qu’on evalue positivement selon la conscience
morale. « Le mal » signifie la violation des exigences du bien, le
dédain de valeurs morales. « Le bonheur » est la satisfaction de
l’homme par sa vie. « La conscience » est la capacité de l’homme à
réaliser l’autocontrôle moral. « La dette » est l’attitude de l’individu à
la société, à d’autres personnes, exprimée dans l’obligation morale
envers eux. « L’idéal moral» est une représentation concrétisée de
l’individu sur le bien et le mal, l’obligation, le bonheur, etc. Il faut
mettre en évidence l’importance de ces catégories pour la médecine.
Ensuite, il est nécessaire d’ouvrir les principes moraux :
l’humanisme, le démocratisme, la solidarité, la patriotisme et la
justice.
4. Les particularités de la formation des étapes historiques de
la pensée éthique. L’éthique est la philosophie pratique. Ainsi, la
typologie de la morale est detérminée par le niveau de connaissances
sur l’essence de l’homme, son être, et ainsi que des systèmes socio-
politiques et le niveau de connaissances, dont les sciences.
On distingue les étapes historiques suivantes des études éthiques.
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1. Idées éthiques de l’Orient Ancien (le brahmanisme, le
bouddhisme, le taoïsme, le confucianisme).
2. Développement des études éthiques à l’Antiquité (les idées de
Socrate, Aristote, Épicure).
3. Études éthiques et religieuses du Moyen Âge.
4. Éthique laïque de la Renaissance avec les idées de l’humanisme et
l’éthique naturaliste du Nouvel Âge.
5. Éthique moderne (néo-classique et non-classique).
6. Pensée éthique en Russie.
LES QUESTIONS DU CONTRÔLE
1. Qu’est-ce qu’on comprend aujourd’hui sous le terme de l’éthique ?
2. L’objet de l’éthique comme une science ?
3. Qu’est-ce que c’est la morale ? Les normes de la morale ?
4. Nommez et donnez les caractéristiques des catégories principales
de l’éthiques.
5. Nommez les étapes principales du développement de la pensée
éthique.
THÈME 2. LES TYPES DES ÉTUDES ÉTHIQUES ET LEUR
ÉVOLUTION.
1. La naissance des études éthiques.
2. Les types principaux des études éthiques et leur évolution
historique
2.1. La pensée traditionnelle et idéologique de l’Orient
ancien :
a) Le brahmanisme, le bouddhisme, etc.
b) le taoïsme, le confucianisme, etc.
2.2. L’éthique de l’Antiquité :
a) La prééthique, l’éthique de Socrate ;
b) L’éthique d’Aristote et Épicure.
2.3. Les caractéristiques de l’éthique religieuse du Moyen
Âge.
2.4. L’éthique naturaliste des Temps modernes et des
Lumières. L’éthique de E. Kant.
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2.5. Les caractèristiques de l’éthique contamporaine :
a) L’éthique néoclassique (le marxisme, l’éthique
évolutionniste) ;
b) L’éthique non-classique (F. Nietzsche, l’éthique de
l’existentialisme, A. Schweitzer).
2.6. La spécificité de l’idée russe morale.
LITTÉRATURE
Gouseïnov A.A. Introduction à l’éthique. – M., 1995
Gouseïnov A.A., Apresyan R.T. Éthique. M., 2002.
Gouseïnov A.A. Éthique antique. M. :2004
Doubko E.A. Histoire de l’éthique européennes. – M. :2007
Kouzmenko G.N. Éthique. M. : 2002
Popov L.A. L’éthique : Un cycle de conférences.-M. :Zentre,1998
Radougin A.A. L’éthique : manuel-M. : Zentre,2003
Dictionnaire de l’éthique.-M. :1983
Il est necessaire de mettre en evidence que sans connaissance de
l’histoire des études éthiques, il est assez difficile de comprendre
plusieures problèmes de caractère morale, comprendre leur nature,
observer l’évolution de la compréhension de la nature de la moralité,
son rôle dans la société.
1.La naissance des études éthiques. les idées éthiques se sont
formées le plus activement lors de la résolution de problèmes : lors
de l’antagonisme des intêrets pratiques ( matériels) des gens on peut
essayer de créer l’unité morale ? Comment la morale étant
l’expression de la volonté libre de l’individu, acquiert un caractère
important et sert à d’autres personnes ?
Il est nécessaire de marquer que les premières idées des gens sur le
bien et le mal, le mauvais et le bon sont incarnées dans les produits
de l’oeuvre collective (mes mythes, les légendes, les contes, etc.).
Les premières oeuvres originales sur le thème étgique apparaissent
aux III-II millénaire avant J.C. (L’Orient ancien).
2. Les types généraux des études éthiques et leur évolution
historique.
Dans le paragraphe 2.1 il faut faire l’attention à la spécificité des
idées morales de lInde ancienne et la Chine ancienne. La pensée
éthique dans ces pays était la démonstration de la vision du monde
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