5
dernières s’exprimaient comme la rêvasserie historique de l’humanité
sur la vie prospère et heureuse et aussie sur l’ordre du monde parfait.
Dans la société moderne, la vie de l’homme est organisé de telle
façon que l’esprit se soumet à la volonté et agit au sein et au nom des
objectifs, qui définirent les intérêts (passions) du sujet. La tentation
de possibilités illimitées est apparaît. De là, l’esprit humain peut
faciliment se dégrader, en se transformant en finauderie, impudence,
et puis c’est la «zone morte » (l’immoralité).
Dans ce contexte, il est nécessaire d’attirer l’attention sur le
renforcement des bases morales du champ culturel de la personnalité
et de la société. Pour cela, la pondération et la clairvoyance des buts
de l’activité humaine doivent s’accorder avec leur justification
morale, l’esprit doit obéir à la conscience, agir au sein des normes du
bien et de l’humanité.
3. Les catégories éthiques principales. Il faut ouvrir le contenu
des catégories principales de l’éthique : le bien et le mal ; la
conscience ; la dette ; le bonheur ; l’idéal moral et d’autres. « Le
bien » - c’est tout ce qu’on evalue positivement selon la conscience
morale. « Le mal » signifie la violation des exigences du bien, le
dédain de valeurs morales. « Le bonheur » est la satisfaction de
l’homme par sa vie. « La conscience » est la capacité de l’homme à
réaliser l’autocontrôle moral. « La dette » est l’attitude de l’individu à
la société, à d’autres personnes, exprimée dans l’obligation morale
envers eux. « L’idéal moral» est une représentation concrétisée de
l’individu sur le bien et le mal, l’obligation, le bonheur, etc. Il faut
mettre en évidence l’importance de ces catégories pour la médecine.
Ensuite, il est nécessaire d’ouvrir les principes moraux :
l’humanisme, le démocratisme, la solidarité, la patriotisme et la
justice.
4. Les particularités de la formation des étapes historiques de
la pensée éthique. L’éthique est la philosophie pratique. Ainsi, la
typologie de la morale est detérminée par le niveau de connaissances
sur l’essence de l’homme, son être, et ainsi que des systèmes socio-
politiques et le niveau de connaissances, dont les sciences.
On distingue les étapes historiques suivantes des études éthiques.