Ouverture des assises de la formation professionnelle 12/11/2008
Le succès est à la hauteur de nos espoirs : nous avons dû refuser des
participants dans les tables rondes pour laisser à chacun un temps
suffisant d’intervention. Nous avons dû refuser les inscriptions tardives,
la capacité d’accueil de la salle étant limitée pour des raisons de
sécurité. Nous sommes navrés de cette situation, les contingences
logistiques nous imposent des règles.
Revenons à l’objet de notre réunion.
Que peut-on dire de ces dispositions ?
Vous aurez les uns et les autres au cours des deux tables rondes à
exprimer vos points de vue, j’espère qu’à l’occasion de ces
discussions et échanges des propositions claires pourront être
exprimées et communiquées lors de la synthèse faite par notre ami
Jean Luc Cénat en fin de réunion.
Le rôle de l’AFDET est clair, lieu d’échange et de réflexion, lieu de
proposition, de maturation, de mutualisation, jamais notre association
ne se substituera aux branches, aux partenaires sociaux, sa légitimité
à organiser cette journée ne doit donc en aucun cas être interprétée
comme une prise de position face ou avec les autorités compétentes
pour négocier.
Attirer l’attention du monde de l’éducation, du monde économique sur
telle ou telle orientation nous parait effectivement relever de notre
mission. Notre liberté de parole et d’initiative reste notre force et nous
entendons la conserver.
Vous connaissez notre attachement à l’enseignement technique et à la
formation professionnelle, notre objet social est clair : nous devons
donc tout mettre en œuvre pour répondre avant tout aux attentes de
notre pays qu’il s’agisse des attentes de la jeunesse et des familles,
qu’il s’agisse des besoins de l’économie.