je pense que si l' électrolyse était possible on se retrouverai avec du carbone solide sur la cathode et de l'oxygène sur l'anode il suffirait de mettre une soupape tarée pour évacuer l'oxygène afin que le supercongelo ne monte pas trop en pression «Il n’existe que deux choses infinies, l’univers et la bêtise humaine... mais pour l'univers, je n'ai pas de certitude absolue.» [ Albert Einstein ] « Toute personne croyant qu'une croissance exponentielle peut durer indéfiniment dans un monde fini est soit un fou, soit un économiste. » Kenneth Boulding 0,030 € € / L (taxe à ajouter au carburant pour permettre un reboisement) 450 € € / voiture (taxe total pouvant ètre diectement puissée à l'achat de la voiture) Citation: Donnée par rapport aux arbres 2000 CO2/arbre (poid de CO2 absorbé par un arbre durant sa vie) 3 € € /Arbre (coût de la plantation et de l'entretien d'un arbre) 400 arbre/ha (nombre d'arbre par hectare) 100 Ha / km (nombre d'hectare au km) 40000 arbre/km Les chiffres données sur le site Oriaz disent qu'un pin Laricio de Corse peut absorber environ 50 t de CO2... Ok mais... le calcul en dessous est faux ! Un pin de 19 m3 (résultat du calcul) stocke : volume * densité * ratio C dans le bois = 19 * 0,46 * 0,5 = 4,37 tonnes de C qui correpondent à 16 tonnes de CO2 atmosphérique (ratio C/O en poids = 12/32 = 0,375)... Attention cependant à une chose, de laquelle dépend tout ton scénario : une forêt à maturité ne stocke plus de CO2 ! Donc cette capture de CO2 atmosphérique dans le bois n'est que temporaire... L'idée d'utiliser le solaire pour briser les molécules de CO2 en sortie de combustion est amusante, mais complètement inutile (à supposer quelle soit réalisable). En effet, l'énergie dégagée par la combustion d'un corps carboné (bois, charbon, pétrole...) viens du fait que l'état énergétique du CO2 est plus faible que l'atome C et la molécule d'O2 pris séparémment. Lors de la combustion, on fait C+O2==>CO2, l'état énergétique descend et l'énergie "en trop" est la chaleur que l'on récupère (exothermique...). Donc si vous voulez rebriser la molécule de CO2 pour isoler le carbone sous forme solide, il faudra remonter l'état énergétique en apportant au moins autant d'énergie que celle récupérée gràce à la combustion de votre carburant (le corps carboné de départ). Donc en sachant que les rendements ne peuvent être de 100%, il faudra plus d'énergie solaire (comme vous le proposez) pour briser le CO2 que ce que vous obtenez à la combustion du carburant. Cela reviens à gaspiller du temps et de l'énergie... autant pisser dans un violon. Donc autant utiliser directement cette énergie solaire pour remplacer purement et simplement le carburant de départ. Donnée par rapport à une voiture 0,6 500000 300000 Kg co2/km (gramme de CO² rejeté par km parcouru) km/vie (nombre de km parcouru par une voiture durant sa vie) Tonnes/vie voiture 0,03 15000 0,030 € 450 € L / km (litre de carburant au km parcouru, ici nous comptons 3l/100km) L / vie Voiture (litre de carburant consommé par une voiture durant toute une vie « de voiture ») €/L (taxe à ajouter au carburant pour permettre un reboisement) € / voiture (taxe total pouvant ètre diectement puissée à l'achat de la voiture) Donnée par rapport aux arbres 2000 3€ 400 100 40000 CO2/arbre (poid de CO2 absorbé par un arbre durant sa vie) € /Arbre (coût de la plantation et de l'entretien d'un arbre) arbre/ha (nombre d'arbre par hectare) Ha / km² (nombre d'hectare au km²) arbre/km² Donnée par rapport au désert du sahara 9000000 Desert sahara (superficie du sahara en km²) 360000000000 Arbre / sahara (arbre que composerait la foret saharienne) 720000000000000 CO2 / Sahara (quantité de CO2 absorbé par le sahara si celui ci étais une foret) 4 Monde /sahara (nombre de fois que le sahara aurais la possibilité d'absorber le CO2 automobile mondial) 1.080.000.000.000 € Foret (cout pour créer un foret saharienne) 1.800 € Par voiture(cout de la foret saharienne pour chaque voiture) Donnée par rapport au monde entier 600000000 Voiture dans le monde 180000000000000 Tonnes CO2 / monde 90000000000 Arbre / monde 270.000.000.000 € € / monde 2250000 Km² / monde Les chiffres exagérés sont : les quantités de CO2 rejeté par kilomètres par voiture, le nombre de kilomètres que peut parcourir une voiture la consommation de carburant d'une voiture, le nombre de voitures dans le monde, le coût de la plantation d'un arbre. Les chiffres diminuaient sont : la quantité de CO2 absorbé par un arbre. Cette simulation peut être calculée à l'échelle mondiale, d'un pays, d'une ville, d'une entreprise, d'un foyer, d'un individu. Seul le désert du Sahara a été pris en compte dans cette simulation, sur le lien suivant http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9sert , nous pouvons constater le nombre de déserts qu'il y a dans le monde. Si vous avez en votre possession des chiffres permettant que cette simulation soit exacte, faites-les parvenir. Merci. Economie : 5000 milliards d’euros pour un inévitable bouleversement du climat à lire dans Institutions Nicholas Stern, ancien vice président de la Banque Mondiale, s’apprête à rendre public un rapport commissionné par le HM Treasury (Her Majesty’s Treasury) : le ministère public des finances brittaniques de Gordon Brown est en effet, à l’initiative du gouvernement de Tony Blair, l’un des premiers au monde à quantifier sérieusement l’impact économique des désastres climatiques qui s’annoncent pour le 21e siècle. Ce rapport de 700 pages n’est ni un essai, ni un argumentaire : c’est une rigoureuse étude économique, qui tient compte de la croissance de la demande énergétique, de la diminution des resources, de l’impact des changements climatiques (sécheresse, tempêtes,innondations, pour ne citer que les plus connus), sur le fonctionnement de l’économie mondiale. Le calcul n’est pas simple et a occasionné plusieurs mois de travail. Les conclusions sont rendues publiques aujourd’hui : il faut s’attendre, si l’on ne traite pas le problème, à une crise économique de l’ampleur de celle de 1929, ou équivalente aux guerres mondiales réunies ! Les constats Enfin, pourrait-on dire, les économistes parmi les plus compétents se joignent aux scientifiques pour relayer un signal d’alarme qui doit pousser à l’action. Dans cette étude, enfin, l’optimisme niais a cédé le pas à un réalisme nécéssaire : le réchauffement climatique pourrait provoquer à lui tout seul la pire récession mondiale jamais connue, si les gouvernements ne prennent aucune mesure pour y remédier dans les dix prochaines années. Il rendrait de grandes parties du globe inhabitables, provoquerait le déplacement de 200 millions de personnes, la disparition de 40% des espèces, sans oublier les sécheresses et les inondations de masse. Coût total de la facture : 5.500 milliards d’euros, soit plus que les deux guerres mondiales réunies ou que la crise de 1929. Selon l’économiste, la situation est tellement grave que même un arrêt immédiat de la pollution ne parviendrait pas à contrer les conséquences des gaz à effet de serre déjà dans l’atmosphère : le réchauffement du climat continuerait pendant encore une trentaine d’années et le niveau des mers s’élèverait encore pendant un siècle. Impact sous estimés Il faut noter que l’étude aboutissant à ce rapport a débuté en juillet dernier : elle n’a donc pas pris en compte les dernières publications scientifiques annonçant l’accélération impressionnante du réchauffement climatique. Même catastrophique, le constat de ce qui restera probablement dans l’histoire comme le rapport Stern, première contribution d’un économiste à la lutte contre le réchauffement climatique, sous estime ses conséquences. Il n’en est que plus impressionnant et pertinent. Les propositions Heureusement, ce rapport n’est pas là que pour constater, il propose des solutions. Venant d’un ministère public des finances, il aura, on s’en doute, un poids considérable chez les dirigeants de tous les pays. Tony Blair lui même n’y est pas resté indifférent : Dans une lettre ouverte publiée dans le tabloïd The Sun, il explique que c’est le rapport “le plus important sur le futur” qu’il ait jamais reçu depuis qu’il est Premier ministre. Il ajoute : “Le rapport Stern devrait être considéré à travers le globe comme le dernier mot sur la raison pour laquelle le monde doit agir maintenant pour limiter les dégâts que nous causons à notre planète”. Consacrer une portion du budget des pays riches est donc, au delà la nécéssaire implication de chaque citoyen, une étape indispensable : Selon Sir Stern, il serait “juste que les pays riches payent un peu plus” en allouant 1% de leur PIB pour lutter contre le réchauffement climatique.