forgées parle langage, les attitudes, les sentiments et elles méritent

Problématique de l’animation
Et
Techniques de groupe
Problématique de l’animation
Et
Techniques de groupe
1- l’ animation
1.1. Qu’estce- que l’animation ?
1.2. Origine des méthodes d’animation
1.3. Limites de l’animation
2- comment travailler en groupe
2.1. La communication dans un petit groupe
2.2. Les réactions de défense
2.3. Les devoirs de chaque participant
3- les techniques de créativité
3.1. Le brainstorming
3.2. Le concassage
3.3. Les scénario
4- les techniques de groupe
4.1. Le cours
4.2. La réunion- discussion
4.3. Le philippins
4.4. Le jeu de cartes
4.5. L’étude de cas
4.6. le pénal
4.7. le jeu de rôles
4.8. le symposium
5- les réunions
5.1. La conduite de réunions
5.2. Une méthode de conduite de réunions
5.3. L’évaluation des réunions
6- bibliographie :
1. l’animation :
La promotion des mots *animation*et *animateur*dans le langage courant.depuis une
quarantaine d’années n’est pas gratuite.elle témoigne de changements qui affecte la réalité
des sociétés d’aujourd’hui:
-la mobilité de la société .due au progrès technique et aux changements
économiques.sociaux.politiques et culturels qu’il entraîne ;
-la complexité de cette société due à l’augmentation de la population à l’égalisation des
modes de la vie à tel point qu’on peut dire que tout concerne tout le monde.
-les groupes qui traditionnellement portent la structure de la société étaient à l’échelle
humaine:famille٫mosquée.village.syndicat oứ chacun connaÎ l’autre.
-Mais peu à peu, l’individu se retrouve inséré dans des structures de plus en plus
gigantesque et contraint de s’en remettre des institutions démesurées, contrôlées par des
techniciens utilisant des méthodes scientifiques, abstraites et souvent
incompréhensibles.agressé en permanence par une initiation à consommer, à produire, a se
divertirez, il se retrouve emporté par un tourbillon qui le fait «s’agiter»sans possibilité de
contrôler son action et d’Être maître de ses décision.
-le phénomène de l’animation peut donc Être interprété comme une réaction salutaire de
l’comme moderne contre le glissement de la société vers la termitière du« meilleur des
monde.» de Huxley ou de l’«alpha ville» de Godard en effet, il s’agit tout a la fois de
restaurer les personnes comme étant les seules douées de conscience et de créativité et de
reconstituer des cellules sociales nouvelles porteuses d’autonomie et pouvant échape
l’étouffement par les grands ensemble.
-il faut nécessairement à notre avis inscrire l’animation dans une dimension politique qui est
celle de la démocratisation de la vie sociale dans son ensemble que sont en train de connaître
les différentes nations à travers la planète
1.1. Qu’est-ce que l’animation?
Comme nous l’avons déjà dit il s’agit la d’un phénomène social général qui
Regroupe deux notions :
-la participation des individus à la création et la vie du groupe.
-l’action non-directive des responsables, élus ou non de ces groupes.
*est «animateur» le membre du groupe qui rend celui-ci «conscient solidaire et agissent.»
son rôle est en effet d’augmenter la participation de chacun à la vie du groupe et l’insertion
du groupe dans des unités sociales plus vastes. il aide le groupe à mieux percevoir et à
définir ses nouveaux besoins, à s’adapter à l’évolution de la société.
*l’animation peut donc Être définie comme l’ensemble de la technique de conduite de
groupes qui permettent d’obtenir le maximum de participation des membres en vue de
réaliser des objectifs. L’animation définit toute action qui à pour but de développer les
communications et de structurer la vie sociale en recourant à des méthodes semi ou non-
directives.
1.2. Origine des méthodes d’animation :
-l’héritage démocratique accumulé depuis des siècles constitue la première source.
-la seconde est constituée par l’évolution du commandement dans la diversification de son
style et de ses moyens.la décentralisation des pouvoirs, la multiplication d’organes de
consultation est une nécessité imposée par les progrès économique. en ce qui concerne la
formation il ne suffit plus d’exposer une matière encore faut-il la discuter avec les élèves (se
servir d’une documentation abondante, se livrer à des expériences….) ce qui change
fondamentalement les rapports traditionnels entre enseignés .
La troisième source est celle des découvertes des sciences sociales qui, depuis le début
du 20°siècle, ont prouvé expérimentalement que les méthodes traditionnelles de
commandement ne sont pas les plus efficaces .même dans une organisation comme
l’armée ou on repère souvent que la discipline est la force principale des armées cette
règle devient secondaire en temps de guerre. Justement d’efficacité, on préfère plutôt
le courage et l’esprit d’initiative qui est des valeurs propres à l’individu libéré des
carcans d’une hiérarchie souvent sclérosante.
-limites de l’animation :
-bien entendu il est nécessaire de circonscrire l’animation dans sans champ propre et de ne
pas l’idéalisé elle peut en effet être la meilleur comme la pire des choses par fois sous les
mêmes apparences extérieures.
- le risque majeur et le glissement vers la manipulation physique et des groupes.
- Expert en dynamique des groupes l’animateur peut en effet agir de tell manière qu’au
lieu de faire émerger et de renforcer l’originalité créatrice des personnes qui sont
autour de lui, il les influencera soit en fonction de ses propres conceptions et
convictions, soit selon une doctrine ou un modèle donnés .
- L’animateur conscient de ce danger, peut tenter d’y pare de deux façons
complémentaires :
- En consacrant toute son attention à la construction et à la structuration de la
personnalité des jeunes qui lui sont confiés, à la structuration de celle des adultes avec
les quelles il travaille.
- En ce rappelons en permanence qu’il est au service de personnes qu’il a pour mission
de révéler à elle-même, et d’épandre. sa pédagogie sera un appel à la prise de
conscience, suivie d’initiative et de création, ce qui n’exclut pas la proposition d’idées
ou de modèles.
- La formation à l’animation ne devra pas se réduire à l’acquisition de méthodes et de
techniques, une base solide de culture générale, d’adhésion aux valeurs fondamentales
de l’humanisme et de la démocratie est en effet les meilleures garanties contre les
déviations toujours possibles du rôle de l’animateur.
2. comment travailler en groupe :
-il est devenu commun aujourd’hui d’assister et plus encore de participer à un travail de
groupe, ce phénomène récent des sociétés modernes bouleverse habitudes de ceux qui
veulent diriger seuls et dicter aux autres des comportements ou des attitudes. Il semble
difficile de revenir en arrière : les homme de notre époque qui veulent être considérer
comme majeurs et luttent pour une émancipation qui se décision sur les lieux de travail
comme de résidence
-cependant, l’efficacité ne peut être atteinte dans ce domaine sans la connaissance du
mécanisme induit par l’existence du groupe lui-même et des obstacles inhérents à toute
situation de groupe, la maîtrise de ces données essentielles conduite sans aucun doute à
améliorer sensiblement le travail en groupe. Et donner aux membres qui le composent
l’occasion de bien s’épanouir dans le cadre d’échanges fructueux et dans une atmosphère qui
permet une expression véritable.
2.1. la communication dans un petit groupe
Lorsqu’ on réunit un petit groupe (commission ٫ conseil cercle٫……) le but poursuivi est
le même: c’est la recherche par un travail en commun٫par un échange oral de faits.
D’opinions. D’intentions. D’une solution à un problème, d’un éclaircissement à des
difficultés. Il s’agit donc d’un travail coopératif mené par des personnes décidées à travailler
ensemble.
C’est pourquoi la motivation de départ est importante.
-mais il faut tout de même se rendre compte qu’à l’intérieur d’un group se noue un écheveau
de relations entre les personnes, il faut nécessairement comprendre la nature de ses relations
et leur complexité pour percevoir la difficulté d’établir un bon climat de relations dans un
groupe.
-deux êtres sont face à face : l’un parle, l’autre écoute, réagit et sa réaction (verbale ou non
verbale) influence de manière positive ou négative celui qui vient de parler.
-on comprend donc qu’il faille attacher autant d’importance à celui qui écoute qu’à celui qui
parle
-pour que la communication soit réussie, il faut que le message soit émis de manière audible,
clair, appropriée, mais il faut aussi qu’il y ait des oreilles pour le recueillir.
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