Cour supérieure concluait que la panique, plutôt que la logique, avait guidé l’organisme dans sa prise
de décision.
Dans son inscription en appel, le CRDI souligne qu’en vertu des termes du contrat entre les parties,
il lui était possible de résilier en tout temps, sans motif, unilatéralement et sans préavis le contrat de
l’homme. Aussi reproche-t-on à la juge de première instance d’avoir nié ce droit au CRDI.
L’organisme considère qu’il n’avait aucunement l’obligation d’écouter M. Proulx avant de résilier
son contrat. De toute façon, ajoute-t-on, l’écouter n’aurait rien changé à la décision. De plus, l’intimé
n’aurait pas été pris par surprise car on l’avait informé par écrit des reproches qu’on lui faisait.
Plus de détails dans la version papier du journal Le Soleil de mercredi.
Les enjeux électoraux concernant la santé mentale
Paru mardi le 17 janvier 2006 sur CNW-Telbec
Engagement des partis politiques à agir en santé mentale : un encouragement
pour l'Alliance canadienne pour la maladie mentale et la santé mentale
OTTAWA, le 17 janv. /CNW Telbec/ - L'Alliance canadienne pour la maladie
mentale et la santé mentale (ACMMSM) se sent encouragée par l'engagement de
chacun des partis politiques sur la scène fédérale à accorder le statut de
priorité à la maladie et aux troubles mentaux, à la toxicomanie et à la santé
mentale lors de la prochaine législature.
Comme l'indique Phil Upshall, le directeur général national de l'ACMMSM,
"les programmes électoraux des principaux partis fédéraux et leurs réponses
aux questions posées par ACMMSM dans le cadre de la campagne électorale nous
portent à être confiants que le parti qui formera le prochain gouvernement
donnera suite aux recommandations finales du comité sénatorial multipartite
permanent sur les affaires sociales et la science et la technologie en matière
de santé mentale. Les Canadiens souffrant d'une maladie mentale, ceux de leur
famille et ceux des personnes qui les soutiennent et leur offre des soins ont
des besoins complexes et il faut agir de façon urgente pour les combler. Nous
espérons que le nouveau gouvernement tiendra ses promesses pour faire en sorte
que la santé mentale figure parmi les priorités à long terme du Canada."
Selon le Dr John Service, le président de l'ACMMSM, "il est plus que
temps que le Canada se dote d'une stratégie en matière de santé mentale. La
maladie et les troubles mentaux ainsi que la toxicomanie posent des défis de
taille sur les plans personnel, social et économique de ce pays. Nous sommes
confiants que, peu de temps après les élections, on mettra sur pied une
commission sur la santé mentale qui réunira les provinces, les territoires et
les intervenants pour l'élaboration d'un plan national en matière de santé
mentale. Nous esperons que cette commission facilitera les échanges en matière
de recherche et de pratiques exemplaires entre les gouvernements et les
parties concernées, qu'elle fera en sorte de réduire la segmentation des
politiques et des programmes et qu'elle favorisera une meilleure compréhension
tout en atténuant les préjugés envers la maladie mentale et la santé mentale."
Dans son programme électoral, le Parti conservateur s'est engagé à
travailler avec les provinces pour élaborer un plan global visant à prévenir
et améliorer le traitement de la maladie et des troubles mentaux ainsi que la