L’inclusif La veille des personnes ayant des incapacités Jeudi 19 janvier 2005 Numéro 181 Aujourd’hui en veille o Le CRDI de Québec en appelle d’un jugement concernant le bris de contrat d’une ressource intermédiaire o Les enjeux électoraux concernant la santé mentale o Recours collectif concernant les frais de lavage dans les CHSLD o Le Conseil des aînées réclames un plan d’action sur la maladie d’alzheimer o Collaboration entre la société d’Alzheimer et le CSSS en Estrie o Équipe canadienne de ski aux jeux paralympiques o Début des travaux du comité de l’ONU sur la convention sur les droits des personnes handicapées o Grenoble, une ville touristique qui veut améliorer son accessibilité Le CRDI de Québec en appelle d’un jugement concernant le bris de contrat d’une ressource intermédiaire Paru mardi 17 janvier 2006 sur Cyberpresse.ca/Le Soleil CONGÉDIEMENT DE LOUIS-RENÉ PROULX Le CRDI en appelle Richard Hénault Québec Le Centre de réadaptation en déficience intellectuelle de Québec (CRDI) fait appel du jugement qui l’a condamné, le mois dernier, à verser 73 300 $ à Louis-René Proulx, l’homme qui avait agi comme personne d’accueil pour héberger des déficients intellectuels. Le contrat de M. Proulx a été résilié en 1999 par le CRDI. Un peu plus tôt, une employée disait l’avoir vu frapper deux résidants. En condamnant le CRDI à indemniser M. Proulx, la juge de la Cour supérieure concluait que la panique, plutôt que la logique, avait guidé l’organisme dans sa prise de décision. Dans son inscription en appel, le CRDI souligne qu’en vertu des termes du contrat entre les parties, il lui était possible de résilier en tout temps, sans motif, unilatéralement et sans préavis le contrat de l’homme. Aussi reproche-t-on à la juge de première instance d’avoir nié ce droit au CRDI. L’organisme considère qu’il n’avait aucunement l’obligation d’écouter M. Proulx avant de résilier son contrat. De toute façon, ajoute-t-on, l’écouter n’aurait rien changé à la décision. De plus, l’intimé n’aurait pas été pris par surprise car on l’avait informé par écrit des reproches qu’on lui faisait. Plus de détails dans la version papier du journal Le Soleil de mercredi. Les enjeux électoraux concernant la santé mentale Paru mardi le 17 janvier 2006 sur CNW-Telbec Engagement des partis politiques à agir en santé mentale : un encouragement pour l'Alliance canadienne pour la maladie mentale et la santé mentale OTTAWA, le 17 janv. /CNW Telbec/ - L'Alliance canadienne pour la maladie mentale et la santé mentale (ACMMSM) se sent encouragée par l'engagement de chacun des partis politiques sur la scène fédérale à accorder le statut de priorité à la maladie et aux troubles mentaux, à la toxicomanie et à la santé mentale lors de la prochaine législature. Comme l'indique Phil Upshall, le directeur général national de l'ACMMSM, "les programmes électoraux des principaux partis fédéraux et leurs réponses aux questions posées par ACMMSM dans le cadre de la campagne électorale nous portent à être confiants que le parti qui formera le prochain gouvernement donnera suite aux recommandations finales du comité sénatorial multipartite permanent sur les affaires sociales et la science et la technologie en matière de santé mentale. Les Canadiens souffrant d'une maladie mentale, ceux de leur famille et ceux des personnes qui les soutiennent et leur offre des soins ont des besoins complexes et il faut agir de façon urgente pour les combler. Nous espérons que le nouveau gouvernement tiendra ses promesses pour faire en sorte que la santé mentale figure parmi les priorités à long terme du Canada." Selon le Dr John Service, le président de l'ACMMSM, "il est plus que temps que le Canada se dote d'une stratégie en matière de santé mentale. La maladie et les troubles mentaux ainsi que la toxicomanie posent des défis de taille sur les plans personnel, social et économique de ce pays. Nous sommes confiants que, peu de temps après les élections, on mettra sur pied une commission sur la santé mentale qui réunira les provinces, les territoires et les intervenants pour l'élaboration d'un plan national en matière de santé mentale. Nous esperons que cette commission facilitera les échanges en matière de recherche et de pratiques exemplaires entre les gouvernements et les parties concernées, qu'elle fera en sorte de réduire la segmentation des politiques et des programmes et qu'elle favorisera une meilleure compréhension tout en atténuant les préjugés envers la maladie mentale et la santé mentale." Dans son programme électoral, le Parti conservateur s'est engagé à travailler avec les provinces pour élaborer un plan global visant à prévenir et améliorer le traitement de la maladie et des troubles mentaux ainsi que la toxicomanie au Canada. Cet engagement découle d'une résolution présentée par le Parti Conservateur lors de la dernière législature et qui a été approuvée à l'unanimité par tous les partis faisant pression sur le gouvernement vise l'adoption d'une stratégie nationale en matière de maladie mentale et de santé mentale. Les libéraux, pour leur part, se sont engagés en période préélectorale à mettre sur pied une commission nationale sur la santé conformément à une recommandation faite dans le quatrième rapport du comité sénatorial publié juste avant le déclenchement des élections qui préconise que le gouvernement fédéral devrait faire en sorte que la santé mentale devienne une priorité de santé publique à long terme. En ce qui concerne le NPD, il a confirmé son appui pour l'élaboration d'une stratégie nationale en matière maladie mentale et de santé mentale. Le Canada est le seul pays occidental qui n'a pas encore adopté de plan d'action national pour faire face aux problèmes de santé mentale. L'ACMMSM fait pression sur le gouvernement canadien pour qu'il élabore un tel plan depuis 1998. Cette année-là, le comité sénatorial a confirmé que la maladie mentale et la mauvaise santé mentale entravaient sérieusement la productivité et la santé économique et étaient en voie de se hisser au premier rang des causes de l'invalidité dans les pays développés. Environ 6 millions de Canadiens, soit un Canadien sur cinq, recevront probablement un diagnostic de maladie mentale et trois pour cent des Canadiens devront probablement vivre avec une maladie mentale grave. D'ici 2020, il est estimé que les troubles dépressifs seront la deuxième cause principale des maladies dominantes dans le monde et la première cause en importance dans les pays développés comme le Canada. Mise sur pied en 1998, l'ACMMSM est une alliance des organismes nationaux dont le champ d'activités couvre le domaine de la santé mentale. Ils représentent : les consommateurs et leurs familles; les fournisseurs de services sociaux et de soins de santé; les associations professionnelles; les organismes communautaires et les instituts de recherche. Ensemble, ils constituent un vaste réseau d'organisations nationales, provinciales, et communautaires dévoués aux besoins de la population canadienne, d'un océan à l'autre. La mission de l'ACMMSM est de promouvoir et de faciliter l'élaboration, l'adoption et la mise en oeuvre d'un plan d'action national sur la maladie mentale et la santé mentale. Renseignements: Phil Upshall, C (519) 835-1058; Dr John Service, C (613) 355-7808; Beth Green, C (613) 240-1837, (613) 238-2091, poste 357, [email protected] Recours collectif concernant les frais de lavage dans les CHSLD Paru mardi 16 janvier 2006 sur Cyberpresse.ca/La Tribune Le lundi 16 janv 2006 RETOUR À LA CASE DÉPART CHSLD: le dossier des frais de buanderie s'enlise François Gougeon Sherbrooke Ça risque d'être le retour à la case départ sur la question des frais de buanderie qui n'auraient pas dû être chargés aux résidents de centres d'hébergement et de soins de longue durée (CHSLD). Du moins, l'Association des établissements privés conventionnés, qui représente plusieurs des centre visés par un recours collectif remporté récemment par le Conseil pour la protection des malades (CPM), vient de décider d'en appeler de la décision rendue par le juge Claude Champagne, de la Cour supérieure de Montréal. "Dans le passé, il y a eu des jugements sur le même sujet (frais de buanderie…) en notre faveur. Cette fois, un recours collectif arrive à une conclusion différente. Après avoir regardé la décision de près, nos conseillers juridiques sont d'avis que ce jugement comporte des erreurs de droit. Nous allons donc en appel", a soumis hier le directeur général de l'Association des établissements privés conventionnés, André Côté. Le Conseil des aînées réclames un plan d’action sur la maladie d’alzheimer Paru mercredi 17 janvier 2006 sur CNW-Telbec Gouv. du Québec LE CONSEIL DES AINES RECLAME UN PLAN D'ACTION PROVINCIAL SUR LA MALADIE D'ALZHEIMER ET LES DEMENCES CONNEXES QUÉBEC, le 18 janv. /CNW Telbec/ - L'année 2006 marque le centième anniversaire de la première description de la maladie d'Alzheimer par le Dr Alois Alzheimer. En ce mois de sensibilisation à cette maladie, le Conseil des aînés tient à rappeler certains faits. La démence toucherait actuellement près de 8 % des Québécois et Québécoises âgés de 65 ans ou plus, ce qui représente quelque 90 000 personnes. La maladie d'Alzheimer, la plus fréquente cause de démence, touche 64 % de ces personnes, c'est-à-dire de 55 000 à 60 000 aînés. Avec le vieillissement accéléré de la population du Québec, on sait que le nombre de personnes atteintes de démence, et particulièrement celles atteintes de la maladie d'Alzheimer, augmentera de façon importante au cours des prochaines décennies. Ainsi, selon les projections actuelles, ce nombre doublerait d'ici 25 ans, pour atteindre plus de 200 000 personnes; en 2051, plus de 300 000 personnes âgées de 65 ans ou plus seraient atteintes d'une forme ou l'autre de démence. Cette situation anticipée est d'autant plus préoccupante que ces maladies n'ont pas encore de cause connue et qu'aucun traitement efficace n'est actuellement disponible. A l'instar de plusieurs autres provinces canadiennes, notamment l'Ontario, il est impératif que le Québec relance sa démarche, délaissée en 2002, visant à dégager un plan d'action touchant non seulement les personnes atteintes de cette maladie, mais tout autant leur famille et leurs soignants et, d'un point de vue plus élargi, le public québécois. En octobre 2004, le Conseil consultatif national sur le troisième âge (CCNTA) et la Société Alzheimer du Canada préconisait d'ailleurs un plan d'action devant notamment porter sur : - l'amélioration des démarches de prévention, des traitements et des recherches; - une meilleure formation médicale et plus d'éducation sur la maladie d'Alzheimer et les démences apparentées; - un financement gouvernemental pour des établissements adaptés aux besoins des personnes souffrant de démence, offerts à un coût raisonnable; - une politique de protection du revenu et d'autres politiques publiques pour soutenir les soignants; - un financement accru des soins à domicile et une offre plus variée d'options de logement pour ceux qui vivent avec une démence. Il semble qu'au Québec, on ait plutôt choisi d'investir seulement au gré des événements et dans des mesures ponctuelles. Pourtant, depuis plusieurs années déjà, il y a consensus chez les professionnels oeuvrant en milieu gériatrique québécois, tant dans les réseaux public, que privé et communautaire, que : - la situation vécue quotidiennement par les personnes atteintes et les personnes aidantes est inquiétante; - il y a insuffisance de ressources; - les ressources existantes ne sont pas vraiment adaptées aux besoins spécifiques des clientèles concernées. «Les personnes atteintes et leurs proches-aidants attendent déjà depuis trop longtemps un plan d'actions et de mesures concrètes pour les appuyer», de conclure le président du Conseil des aînés, M. Georges Lalande. A titre de représentant des aînés du Québec, le Conseil des aînés a le mandat de promouvoir les droits des aînés, leurs intérêts et leur participation à la vie collective ainsi que de conseiller la ministre responsable et le gouvernement sur toute question qui concerne les personnes âgées. -30- Collaboration entre la société d’Alzheimer et le CSSS en Estrie Paru Jeudi 19 janvier 2006 sur Cyberpresse.ca/La Voix de l’Est Le jeudi 19 janv 2006 La société d'Alzheimer: une bonne collaboration Chantal Vallée Granby Les services offerts aux personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer ne sont pas toujours irréprochables, mais il y a beaucoup d'ouverture et d'efforts mis de l'avant pour améliorer la situation, indique la présidente de la Société d'Alzheimer de Granby et région, Camille Girardot. «C'est certain qu'il y a des choses à améliorer. Il y a peut-être de la formation et de l'information qui manquent sur ce qu'est la maladie d'Alzheimer. Il y a des mentalités à changer. Il y a beaucoup de mythes et d'infantilisation, on les traite un peu comme des enfants. Il y a peut-être aussi un manque de ressources. Mais quand des choses pas conformes nous sont rapportées concernant la maladie d'Alzheimer, on appelle le directeur général - du CSSS de la Haute-Yamaska. Et ça change.» «Beaucoup de choses se sont améliorées depuis deux ans, enchaîne Mme Girardot. On est plus écoutés», note-t-elle. Actuellement, une formation est offerte au personnel du Centre Marie-Berthe-Couture pour l'aider à aborder les gens aux prises avec la maladie d'Alzheimer et à composer avec les attitudes et les comportements qui peuvent être perturbateurs. Il s'agit d'une "approche très humaine" qui est dispensée un peu partout à travers la province. Les détails dans La Voix de l'Est de jeudi. Équipe canadienne de ski aux jeux paralympiques Paru jeudi 19 janvier 2006 dans The Toronto Star Woolstencroft heads up paralympic team Jan. 18, 2006. 01:30 PM CANADIAN PRESS WHISTLER, B.C. — Three-time medallist Lauren Woolstencroft of Victoria will lead a Canadian ski team of 11 athletes at the Paralympic Games in March. The entire Canadian disabled team met the qualifying standards for Turin and hopes to bring home four medals. "We are going to win," Woolstencroft said Tuesday in a release. Paralympic gold medallists Chris Williams of Markham, Ont., with guide Bobby Taylor of Vancouver, and Daniel Wesley of Vancouver, and bronze medallist Scott Patterson of Surrey, B.C., also headline the team that's a mix of veterans and rookies. "The common thread amongst all the athletes is the focus, commitment and preparation each has demonstrated over this past year and a half leading up to the Games," said coach Leslie Clarke. The Paralympics will include a new classification system that reduces the number of medal events, but the depth of the field will be increased. Medals will be awarded in each of the three classes — sitting, standing and blind — instead of the 13 sub-classes at the 2002 Games, decreasing the number of medals to 58 from 96. At least five more countries will field teams than in 2002. The Paralympic skiing competition is March 8-19. Début des travaux du comité de l’ONU sur la convention sur les droits des personnes handicapées Paru mercredi 18 janvier 2006 sur xinhuanet.com L'ONU exhortée à ne pas abandonner les enfants handicapés NEW YORK (Nations Unies), 17 janvier (XINHUANET) -- Des jeunes gens handicapés venus de Grande-Bretagne, du Bangladesh et de Chine ont appelé mardi l'Organisation des Nations Unies à ne pas négliger la protection des droits et des intérêts des millions d'enfants vivant avec un handicap en adoptant une nouvelle convention onusienne. Ces jeunes gens, représentants de l'organisation non gouvernementale, Sauver les enfants, ont déclaré qu'ils avaient peur que la première convention de l'ONU sur les droits des personnes handicapées, qui est en cours d'élaboration, ne souligne pas les droits des enfants avec handicap, ce qui pourrait, selon eux, laisser à l'abandon des millions d'enfants handicapés du monde entier. Jasmine Whitbread, directrice exécutive de l'organisation, a affirmé lors d'un débat sur le projet texte de la convention : "Nous ne pouvons pas rester indifférents tant que des enfants avec handicap, dont le nombre est estimé entre 150 et 200 millions, sont négligés". De son côté, Nancy Maguire (Grande-Bretagne) a indiqué : "C'est une grande opportunité pour dire aux personnes d'importance pourquoi les enfants handicapés doivent avoir leurs droits reconnus, je me sens aussi découragée parce que les gouvernements du monde entier négligent les enfants et les jeunes gens comme moi ". Selon cette ONG, le projet de texte de la nouvelle convention doit s'adresser aux violations spécifiques des droits des enfants handicapés tels que l'enregistrement des naissances. "Dans beaucoup de pays, ils (les enfants handicapés) ne sont même pas enregistrés à la naissance, ils deviennent invisibles et font face à l'abandon", a souligné Jasmine Whitbread. Grenoble, une ville touristique qui veut améliorer son accessibilité Paru mercredi 17 janvier 2006 sur www.grnoble.fr Handicap, Grenoble marche pour le tourisme adapté Fidèle à sa politique active en faveur de l’intégration des personnes handicapées, la Ville de Grenoble a signé avec la Région Rhône-Alpes un contrat qui se donne comme objectif d’accueillir dans les mêmes conditions, et sur un périmètre donné, les personnes valides et les personnes présentant des handicaps physique, visuel, auditif et intellectuel afin d'aller au delà de la seule prise en compte du handicap physique. Ce contrat permet ainsi la création du premier Territoire de Tourisme Adapté en Région RhôneAlpes. Il apporte une aide financière de la Région pour la réalisation de plusieurs objectifs : mettre en accessibilité un territoire touristique afin d’éviter à toute personne déficiente, ou non, de se retrouver en situation de handicap, de développer une offre touristique adaptée intégrée à l’offre généraliste et d'apporter une information fiable en tenant compte de ces quatre grands types de handicaps. Il s’agit maintenant pour la ville et ses partenaires de mettre en œuvre les aménagements adaptés et de les faire connaître au public d’ici à 2007. Le comité de pilotage s'est préalablement penché sur les attentes que pouvait avoir une personne handicapée qui souhaiterait prendre ses vacances en Rhône-Alpes. Ce qui compte le plus c'est que dans un périmètre de quelques kilomètres, elle puisse trouver un choix de logement, de restauration, de divertissements, de visites à effectuer, et des cheminements, accessibles et adaptés. Le concept de «territoire de séjour adapté» était né. Si l'offre n'est pas suffisante pour un séjour de quelques jours, du fait de l'absence de logements, il s'agira alors d'un «territoire d'excursion adaptée» pour la journée. Le périmètre retenu à Grenoble est le centre-ville et ses abords avec trois pôles : le secteur Téléphérique et Bastille, le secteur Musée de Grenoble et Musée de l’Ancien Evêché et le secteur de l'Office de Tourisme. Dans ces trois zones et leurs abords, une personne handicapée devra pouvoir se déplacer en toute autonomie, comme n’importe quel citoyen valide. Les aménagements réalisés en 2005 autour de la Gare haute du téléphérique de La Bastille s’inscrivent dans ce programme, ils seront complétés par la mise en accessibilité de la gare inférieure d’ici à 2007. Dans ce cadre également, l’Office de Tourisme, qui possède déjà le label « Tourisme et Handicaps » pour les handicaps moteur et auditif, fera entreprendre les travaux indispensables pour pouvoir accueillir les personnes présentant des handicaps visuel et mental. Des documents spécifiques à destination des personnes non et malvoyantes seront édités afin de permettre une visite de la ville ancienne dans les meilleures conditions. La brochure « Grenoble, une ville à découvrir » sera proposée en braille et en gros caractère, la visite audio guidée sera réadaptée, des plans en relief de la ville et du parcours des visites sont à l'étude ainsi que des planches en relief présentant les façades des principaux monuments grenoblois. Enfin le personnel d'accueil et l’équipe de guides, interprètes et conférenciers, vont bénéficier de formations spécifiques. La Ville de Grenoble s’est engagée à réaliser des travaux d’accessibilité sur les trottoirs et les cheminements piétons du centre-ville, à installer une signalétique composée notamment de bornes sonores pour les personnes malvoyantes et à équiper le Musée de Grenoble d’équipements adéquats. M.N La Veille personnes ayant des incapacités est produite périodiquement par Les productions de la nuit. L’Inclusif ; veille personnes ayant des incapacités est une info-lettre ayant comme mission de rapporter l’actualité touchant à la participation sociale des personnes ayant des incapacités au Québec. Recherche, rédaction et diffusion : Christian Généreux et Louise Blouin. Toute diffusion est encouragée à la condition de mentionnée la source. Pour abonnement, envoyer un courriel à [email protected] . Pour ne plus recevoir cette veille ; [email protected]