UE 5 – Physiologie – Chapitre 15 11/12/12
Déplacement du tympan
- Tout passe par le tympan, la vibration du tympan est très fine
- Transmission du milieu aérien au milieu liquidien via chaine des osselets et la fenêtre ovale
- Rôle de la chaine des osselets
o Adaptateur d’impédance : augmentation de la pression acoustique entre le tympan
et la fenêtre ovale, via effet d’un bras de levier, augmentation de la pression
acoustique, rapport des aires tympan/fenêtre ovale
o Perte de 30dB du fait de transmission entre aérien et liquide, d’où le besoin de
l’augmentation de la pression acoustique
Oreille interne
- Son aigu : résonnance dans la zone basale
- Les sons graves : résonnance dans la zone apicale
- De façon très schématique les sons grave font vibre la partie apicale de ka cochlée, et les son
aigues dans la région basale.
Biophysique sensorielle
- Entre environnement et la perception du son : il y a fonction sensorielles (ex audition), on
décrit environnement à partir de signal physique, mais on en déduit quelque chose via un
phénomène psychologique, passage de l’un à l’autre via un transfert d’info
- La biophysique c’est élargie aux centres au-delà de l’oreille, le message physique est recueilli
o Transduction de ce dernier (passage de l’énergie mécha à énergie électrique au
niveau de cellules ciliées de l’OI
o Transmission aux voies nerveuses => il s’y passe l’interprétation du message arrivera
alors la sensation qui est subjective. (quantifiés à partir de qualités physiologiques,
pour le son, la hauteur)
Techniques d’exploration des fonctions sensorielles
- Méthodes objectives : technique d’enregistrement électro physique
- Méthode subjective
Notion de psycho-physique
- Entre signal et sensation présence d’une boite noire, on essaye de quantifier à partir de
paramètre psycho-physique : le signal physique entraine une sensation avec message
sensoriel
- Recherche du seuil absolu (plus petite valeur du stimulus pouvant engendrer un sensation) et
des différentiels (plus petite variation perceptible du stimulus
- Loi de Wever et Fechner : relation entre intensité des stimule et la grandeur des sensations
Loi de Weber
- La plus petite différence de stimulation perceptive (seuil différentiel) est proportionnelle à
l’intensité du stimulus
- Fonctionnement en logarithmique, les réponses aux stimuli varient comme le log de ces
stimuli