Résumé de Psychologie expérimentale 2002-2003
CHAP I : LA PRISE D’INFO ET LES PREMIERES REPRESENTATIONS
Cours de MORAIS José Page 4 sur 5
à la lumière, chacune répondant en fct de la qnté de lum qu’elle reçoit. Ensuite, les réponses
de ces récepteurs sont combinées au niveau des cellules ganglionnaires par des connexions
complexes entre types de cellules. Les cellules ganglionnaires plus proches de la périphérie
de la rétine ont des champs récepteurs larges, càd qu’elles combinent l’info provenant de
larges aires de la rétine, tandis que les cellules ganglionnaires plus proches de la fovéa ont des
champs récepteurs plus étroits. La combi des réponses ds un large champ, donnant l’intensité
moyenne de la lum ds cette aire, est une manière de garder une composition fréquentielle de
l’image limitée aux fréquences relativemt basses, et la combi ds des champs étroits permet de
préserver les hautes fréquences.
En outre, les cellules ganglionnaires ne se limitent pas à faire la moyenne des réponses des
récepteurs relatifs à une certaine aire ; elles répondent à la lum qui tombe ds leur champ
récepteur d’une manière qui maximise les réponses aux chgmts d’intensité et qui minimise les
réponses aux aires d’intensité uniforme.
KUFFLER : a montré que les champs récepterus peuvent ê circulaires, certaines cellules étant
excitées par la lum qui tombe ds l’aire circulaire centrale du champ récepteur et inhibées par
la lum qui tombe ds l’aire circulaire périphérique.
Le type de cellules ganglionnaires décrites jusqu’ici appartiennent aux cellules visuelles dites
de type X. Elles ont une réponses tonique, càd une activité qui se maintient tant que la
stimulation de leur champ récepteur est maintenue. Les cellules Y ont une activité phasique,
càd transitoire, qui n’est produite qu’à l’apparition et à la disparition de la lum. Les champs
récepteurs des cellules ganglionnaires de type X sont plus petits que ceux des cellules de type
Y, mais par contre la conduction ds les axones des premières est plus lente. Par ailleurs, les
champs récepteurs des cellules ganglionnaires de type X sont concentrés de manière
maximale ds la région centrale de la rétine, alors que les champs de cellules de type Y sont
distribués de manière plus ou moins équivalente sur tte la rétine. ( X et Y sont spéc ds la
détection de la forme et du mvmt respectivemt)
2.2. Les prop des patrons visuels
La distribution de l’intensité de lum ds le champ visuel crée des patrons qui peuvent ê décrits
en termes de barres, angles, lignes droites… ainsi qu’en termes de relations entre éléments,
telles que symétrie, répétition… L’analyse des prop des patrons visuels est une démarche
nécessaire, qui doit bien entendu ê complétée par la verif de leur pertinence par des méthodes
électro-physiologiques, psychophysiques et par des expé sur leur rôle ds des effets perceptifs.
2.3. La représentation bi-dimensionnelle
La représentation bi-dim des chgmts de lum a été appelée par David MARR l’esquisse
primale : il s’agit de la base de données initiale, dépendante du pt de vue de l’observateur.
L’esquisse primale, qui comprend 2 phases, l’esquisse primale brute et l’esquisse primale
complète, consitue le 1er stade du traitemt perceptif visuel.
L’esquisse primale brute :
Pas encore d’organisation en groupes plus larges représentant la disposition des objets ds la
scène. Description localiste, pointilliste, ds la mesure où chaque sortie est enregistrée indepmt
des autres. Les processus de groupemt qui vont permettre de définir les frontières des objets
sont appliquées lors du stade suivant, celui de l’esquisse primale complète.
L’esquisse primale complète :