History

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History
[edit] Pre-Roman Gaul
Further information: Prehistoric France, Celts, and Greeks in pre-Roman Gaul
A map of Gaul in the 1st century BC, showing the relative positions of the Celtic
tribes.
The early history of the Gauls is predominantly a work in archaeology — there being
little written information (save perhaps what can be gleaned from coins) concerning the
peoples that inhabited these regions — and the relationships between their material
culture, genetic relationships (the study of which has been aided, in recent years, through
the field of archaeogenetics), and linguistic divisions rarely coincide.
The major source of materials on the Celts of Gaul was Poseidonios of Apamea, whose
writings were quoted by Timagenes, Julius Caesar, the Sicilian Greek Diodorus Siculus,
and the Greek geographer Strabo.[6]
By the second century BC, France was called Gaul (Gallia Transalpina) by the Romans.
In his Gallic Wars, Julius Caesar distinguishes among three ethnic groups in Gaul: the
Belgae in the north (roughly between Rhine and Seine), the Celts in the centre and in
Armorica, and the Aquitani in the southwest, the southeast being already colonized by the
Romans
One of the reasons is political interference upon the French historical interpretation
during the 19th century. French historians adopted fully the explanation of Caesar who
stated that Gaul stretched from the Pyrenees up to the Rhine in the north. This fitted the
French expansionist aspirations of the time under Napoleon III of France. In the north of
(modern) France, the Gaul-German language border was situated somewhere between the
Seine and the River Somme. Northern Belgic tribes like the Nervians, Atrebates or
Morini appear to be Germanic tribes who migrated from the Germanic hinterland and
adopted Celtic language and customs[citation needed], as all of the names of their leaders and
towns are Celtic. In addition to the Gauls, there were other peoples living in Gaul, such as
the Greeks and Phoenicians who had established outposts such as Massilia (present-day
Marseille) along the Mediterranean coast. Also, along the southeastern Mediterranean
coast, the Ligures had merged with the Celts to form a Celto-Ligurian culture.
In the second century BC, Mediterranean Gaul had an extensive urban fabric and was
prosperous, while the heavily forested northern Gaul had almost no cities outside of
fortified compounds (or oppida) used in times of war. The prosperity of Mediterranean
Gaul encouraged Rome to respond to pleas for assistance from the inhabitants of
Massilia, who were under attack by a coalition of Ligures and Gauls. The Romans
intervened in Gaul in 125 BC, and by 121 BC they had conquered the Mediterranean
region called Provincia (later named Gallia Narbonensis). This conquest upset the
ascendancy of the Gaulish Arverni tribe.
[edit] Conquest by Rome
Main article: Gallic Wars
The Roman proconsul and general Julius Caesar pushed his army into Gaul in 58BC, on
the pretext of assisting Rome's Gaullist allies against the migrating Helvetii. With the
help of various Gallic tribes (for example, the Aedui) he managed to conquer nearly all of
Gaul. But the Arverni tribe, under Chieftain Vercingetorix, still defied Roman rule. Julius
Caesar was checked by Vercingetorix at a siege of Gergorvia, a fortified town in the
center of Gaul. Caesar's alliances with many Gallic tribes broke. Even the Aedui, their
most faithful supporters, threw in their lot with the Arverni. Caesar captured
Vercingetorix in the Battle of Alesia, which ended Gallic resistance to Rome.
Gauls in Rome.
As many as a million people (probably 1 in 4 of the Gauls) died, another million were
enslaved, 300 tribes were subjugated and 800 cities were destroyed during the Gallic
Wars. The entire population of the city of Avaricum (Bourges) (40,000 in all) were
slaughtered.[8] During Julius Caesar's campaign against the Helvetii (present-day
Switzerland) approximately 60% of the tribe was destroyed, and another 20% was taken
into slavery.
[edit] Roman Gallia
Main articles: Roman Gaul, Gallo-Roman culture, and History of France
The Gaulish culture then was massively submerged by Roman culture, Latin was adopted
by the Gauls, Gaul, or Gallia, was absorbed into the Roman Empire, all the
administration changed and Gauls eventually became Roman citizens.[9] From the 3rd to
5th centuries, Gaul was exposed to raids by the Franks. The Gallic Empire broke away
from Rome from 260 to 273, consisting of the provinces of Gaul, Britannia, and
Hispania, including the peaceful Baetica in the south.
Vercingétorix
Les sources primaires [modifier]
Une édition de 1783 des Commentarii de Bello Gallico de César
Les documents historiques témoignant de la vie de Vercingétorix sont peu nombreux et
doivent être critiqués et interprétés, particulièrement à la lumière de l'archéologie2. Ce
sont essentiellement des écrits d'auteurs anciens, dont Strabon3, Plutarque4, Florus
résumant Tite-Live5, et Dion Cassius6. Mais Vercingétorix est avant tout connu au travers
des Commentaires sur la guerre des Gaules, destinés au Sénat romain, que Jules César
rédige tout au long de ses campagnes et compile après sa victoire finale d'Alésia sur les
Gaulois.
Naissance de Vercingétorix
Sa date de naissance n'est pas non plus connue, si ce n'est par une déduction du texte de
César qui fait référence à un adulescens en -529, soit, en droit romain, à un homme de
moins de trente ans. On peut donc en déduire une naissance autour de l'an -8010.
Il est le fils de Celtillos, chef d'un des principaux clans arvernes, un des peuples gaulois
les plus puissants et qui fut opposé à Rome à la fin du deuxième siècle avant notre ère.
Son père aurait été mis à mort par les familles aristocratiques arvernes pour avoir tenté de
rétablir à son profit la royauté, abolie et remplacée par un régime aristocratique dans les
années -120 par Rome, imposant ses conditions de vainqueur et emmènant en captivité
Bituitos, le dernier roi vaincu près d'Orange11. Ce rejet de la monarchie valait sans doute
autant que la crainte d'une dénonciation du traité passé avec Rome, source de paix et de
profit pour ce peuple depuis soixante ans
« Gallia est omnis divisa in tres partes », dit César (« la Gaule est divisée en trois
parties ») : les Aquitains, les Celtes et les Belges. La Gaule comprend alors plus
de soixante peuples, dont certains très connus, comme les Arvernes, les
Éduens, les Séquanes, les Rèmes. Au total, ces territoires sont très peuplés et
comptent de 9 à 10 millions d'habitants27.
La Guerre des Gaules [modifier]
En -58, Vercingétorix est un jeune homme d'une vingtaine d'années, issu de l'aristocratie
et en âge de se battre, lorsque Jules César envahit la Gaule à la tête de ses légions
romaines et de contingents alliés gaulois pour venir en aide aux alliés traditionnels de
Rome, les Éduens, menacés à leur tour par les Germains29. Il veut soumettre les peuples
gaulois à l'autorité de Rome pour servir sa gloire et confisquer leurs légendaires richesses
pour nourrir son désir de richesses qui le conduira si loin.
Celtillos, l'un des principaux chefs des tribus arvernes, tente alors de prendre la tête du
« parti anti-romain » en Gaule mais il est exécuté par les familles aristocratiques arvernes
qui refusent son autorité.
Son fils Vercingétorix entre probablement à ce moment dans l'entourage militaire de
César, dont il devient l'un des conturbenales (compagnons de tente). Celui-ci le forme
aux méthodes de guerres romaines en échange de sa coopération et de ses connaissances
du pays. Il est sans doute le commandant du corps de cavaliers arvernes.
Vercingétorix, chef de la révolte gauloise de -52 [modifier]
Prise du pouvoir [modifier]
Statue équestre de Vercingétorix, par Bartholdi, place de Jaude à ClermontFerrand
Voulant peut-être profiter de la situation très difficile que connaît Rome avec
l'écrasement des légions de Crassus par les Parthes en -53 et du mécontentement qui
couve dans une Gaule lasse de ces années de guerre, Vercingétorix, trahissant l'alliance
romaine, revendique à nouveau le pouvoir royal qui fut fatal à son père
Dans l'hiver de -53 à -52 , des commerçants romains sont massacrés par les Carnutes à
Orléans33. À l'annonce du massacre34, Vercingétorix prend le pouvoir chez les Arvernes et
s'impose à la tête du parti anti-romain. À la fin de -53 et au début de -52, les alliés
romains traditionnels font peu à peu défection et se rangent sous la bannière de
Vercingétorix35.
L'annonce du massacre d'Orléans entraîne l'apparition de Vercingétorix dans le récit de
César38. Vercingétorix on l'a vu revendique une position politique forte, semblable sans
doute à celle qu'avait eu son père. Selon César, il réunit ses clients qui s'arment38 :
« L'exemple y fut suivi : Vercingétorix, fils de Celtillos, Arverne, jeune homme qui était
parmi les plus puissants du pays, dont le père avait eu l'empire de la Gaule et avait été tué
par ses compatriotes parce qu'il aspirait à la royauté, convoqua ses clients et n'eut pas de
peine à les enflammer. »
— César, De Bello Gallico, livre VII
La victoire de Gergovie en juin -52 [modifier]
Article détaillé : Siège de Gergovie.
Mur de l'oppidum sur le plateau de Gergovie.
Vercingétorix remonte alors la rive droite de l'Allier ; César le poursuit rive gauche.
Vercingétorix, fidèle à sa tactique, s'enferme dans Gergovie, près de l'actuel ClermontFerrand. César, dans ses Commentaires, prétend qu'il atteint son but de « rabattre la
jactance gauloise et redonner du courage aux siens48 », tout en ayant limité ses pertes à
700 légionnaires, alors que les autres auteurs font état d'un revers inquiétant de César :
Plutarque précise que tout allait bien « jusqu'au moment où le peuple éduen entra à son
tour dans la guerre. En se joignant aux rebelles, ils provoquèrent un profond
découragement dans l'armée de César. C'est pourquoi, celui-ci leva le camp »49.
César prend la route du nord-ouest pour faire sa jonction avec les troupes de Labiénus et
réprimer la révolte des Sénons. Pendant ce temps, l'insurrection se généralise.
Vercingétorix parvient à reprendre son titre de chef des Arvernes et à rallier les Éduens à
sa cause. Il s'efforce de les lancer contre la Province romaine pour achever de déstabiliser
César. Mais il n'y réussit pas.
Vercingétorix s'impose définitivement comme chef de guerre de la coalition gauloise à
Bibracte50. Une grande partie des peuples gaulois est alors unifiée pour la première fois de
son histoire. Il veut probablement défaire César de manière définitive, et croit en sa
supériorité, bien que la moitié de ses troupes potentielles ne lui soient pas encore
parvenues (elles constitueront l'armée de secours à Alésia).
La reddition d'Alésia (octobre -52) [modifier]
Article détaillé : Siège d'Alésia.
Vercingétorix jette ses armes aux pieds de César, de Lionel Royer, 1899, Musée
Crozatier du Puy-en-Velay
Jules César a regroupé ses troupes qui forment douze nouvelles légions, soit plus de
50 000 légionnaires, mais il a perdu tous ses auxiliaires gaulois. Il s'efforce de regagner la
Province, puis l'Italie du Nord. Vercingétorix ne veut pas le laisser échapper et envoie
donc sa cavalerie affronter celle de César, à quelques kilomètres d'Alésia : la bataille
tourne à l'avantage des Romains51.
Vercingétorix regroupe les forces gauloises, sans doute autour de 80 000 combattants, à
Alésia, oppidum des Mandubiens. Il adresse des demandes à tous les peuples gaulois de
fournir des renforts. Ce sera l'armée de secours, qui atteint plus de 250 000 cavaliers et
soldats52.
Pendant ce temps, César déploie ses légions dans des camps placés tout autour et se met
en position de siège en faisant construire une énorme double fortification réalisée autour
de la place forte, pour empêcher les Gaulois de sortir et se ravitailler, et pour se protéger
des attaques des troupes gauloises extérieures53.
Vercingétorix perd la partie au bout d'une quarantaine de jours de siège, ses troupes
mourant de faim. Les armées de renfort gauloises, enfin arrivées, lancent une série
d'attaques menées par les chefs lémovices ou éduens : les Romains ne sont pas loin de
céder, mais le siège n'est pas brisé, ils résistent. Vercingétorix se rend à César en 52 et
offre sa vie en échange de celle des 53 000 survivants d'Alésia. Les Gaulois sont
désarmés, sortent de la citadelle et sont emmenés en captivité54.
Cette défaite est due aussi bien à la supériorité de son ennemi qu'au manque d'entente
entre les peuples et divers chefs gaulois, peu habitués à se battre ensemble, et aux retards
mis à la mobilisation des troupes de secours.
La mort de Vercingétorix [modifier]
Jules César emmène Vercingétorix comme trophée de sa longue campagne militaire en
Gaule, en vue de son triomphe à Rome. Il est maintenu prisonnier vraisemblablement
dans les geôles du Tullianum (prison Mamertine) et est probablement étranglé55, en août 46, date de la célébration du triomphe de César sur la Gaule.
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