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1.
PARENTES ENTRE LES ETRES VIVANTS
Barrer les phrases inexactes.
Chez les vertébrés, le système nerveux est situé dorsalement.
Les mêmes gènes s’expriment dans toutes les cellules d’un individu.
L’expression de certains gènes est contrôlée par d’autres gènes.
La mutation d’un seul gène peut modifier le plan d’organisation d’un organisme.
Les gènes du développement sont très variables selon les espèces.
Le plan d’organisation des vertébrés révèle une parenté entre les espèces de ce groupe.
Un embryon est polarisé très précocement.
Les gènes homéotiques de la Drosophile sont actifs dans toutes les cellules du corps.
Les cellules de foie d’un Homme et celles d’une feuille de Chêne ont en commun de nombreux gènes dits
homologues, ainsi ceux qui contrôlent la division cellulaire.
Dans une cellule de levure et dans une cellule humaine on trouve le même nombre de gènes.
On dit que les êtres vivants actuels ou fossiles dérivent tous d’un ancêtre commun car ils possèdent tous :
Une organisation de type cellulaire.
De l’ADN.
Des gènes homologues.
Une enveloppe nucléaire.
De la chlorophylle.
2.
Analyse et interprétation d’expériences.
Chez la Drosophile, on rencontre parfois une anomalie du développement qui se traduit par la présence de pattes
à la place des antennes. Différentes expériences permettent de préciser le rôle d’un gène, dénommé
« antennepedia », et de comprendre l’origine de cette anomalie.
Expérience 1 : Après avoir été isolé, le gène « antennapedia » est introduit dans la partie antérieure d’un
embryon de Drosophile et son expression est activée par une technique appropriée. On constate alors que la
mouche développe des pattes à la place des antennes.
Expérience 2 : on a trouvé chez la Souris un gène, dénommé « HoxD3 », dont la séquence est très semblable à
celle du gène « antennapedia » de la Drosophile. On réalise alors l’expérience suivante : on transfère le gène
« HoxD3 » d’une Souris dans des embryons de mouche et on active ce gène dans la région antérieure. Résultat :
le gène de la souris induit chez la Drosophile la formation de pattes à la place des antennes . Bien sur, il s’agit de
pattes de mouche.
1.
2.
3.
Quel rôle du gène « antennapedia » est mis en évidence dans l’expérience 1 ?
Comment qualifie-t-on un tel gène ?
Expliquer le résultat de l’expérience 2.