Pour des collections de sept éléments les enfants de trois, quatre, cinq ans respectent les principes 1 à 3, à 19%, 47%
et 80%. Le comptage est enclenché chez l'enfant dès qu'il entend le mot " combien ".
Discussion 2
Les difficultés des jeunes enfants sont mises sous le compte d'une surcharge mentale. La connaissance préalable des
principes, surtout celui de la cardinalité est important pour la réussite du comptage. Les enfants contrôlant le
comptage d'une autre personnes n'ont pas la même surcharge mentale parce qu'ils ne font pas des efforts de
coordination de récits des mot-nombres. La compétence conceptuelle initiale est à l'origine du progrès des enfants et
l'apprentissage initial du comptage le favorise. Il faut distinguer le comptage-numérotage d'une vraie représentation
de la quantité chez l'enfant quand bien même le dernier mot-nombre prononcé représente la quantité d'une
collection.
Etude et résultats3
L'approche du traitement de l'information ou le modèle deKlahr et Wallace, vise à montrer pourquoi les enfant ne
s'enferment pas dans le comptage-numérotage d'une part et comment ils construisent le signes lingustiques de la
quantité. Pour ces auteurs le comptage étant le fait d'une acquisition sociale son apprentissage ne peut faire résulter
la représentation de la quantité.
Le subitizing consiste à dénommer rapidement avec sureté la quantité d'une petite collection e
Discussion sur l'acquisition des connaissances numériques
En effet ce n'est pas une vraie discussion des résultats d'une expérimentation. L'autre fait référence à des études
d'autres chercheurs en rappelant quelque fois des expérimentations des tiers et dans la partie qu'on aurait pu intituler
discussion, il fait des comparaisons entre trois approches d'acquisition de connaissances numériques. Il re-précise
alors des significations des concepts supports des argumentations.
Ainsi pour l'approche Piagétienne, le nombre est la coordination de l'énumération et de la totalisation des unités,
l'enfant doit pouvoir décomposer le nombre 8 sans une connaissance implicite de la décomposition. Alors que le
chez Gelman, le principe de la cardinalité, iné, est la connaissance sur la procédure de comptage et le comptage étant
un apprentissage social, le subitizing devient l'expression verbal du résultat du comptage non verbal. Pour Klahr et
Wallace, le subitizing consiste à attribuer des symboles quantitatifs à des collections de 1 à 3 objets : l'enfant sait
que le dernier mot-nombre désigne la quantité de la collection. La construction de la signification élémentaire des
premier mot-nombres résulte de processus cognitifs de niveaux différents qui concourent à l'acquisition des
connaissance : le subitizing, la constuction de modèles d'action, le principe de la cardinalité etc..
L'acquisition des connaissances techniques
Dans ce paragraphe l'auteur évoque les modèles de représentation des connaissances sur les objets et les procédures
techniques et les modèles d'acquisition des connaissances sur les objets et les procédure techniques.
A sujet de la représentation des connaissances, il évoque le concept de schéma et de modèle mental, le premier étant
considéré comme des matrices de connaissances générales et le second pour montrer que les individus en face d'un
artefact élabore un modèle mental à partir du modèle de l'expert ce qui favorise chez l'apprenti la compréhension du
fonctionnement d'un système technique. L'autre procédé est l'analyse en système qui permet de modéliser les
représentations des connaissances sur le système technique. Ce qui entraîne une scansion du systèmes en des états,
événements qui contribueront à établir les causalités successives dans le fonctionnement du système technique .
A propos de l'acquisition des connaissances..., l'auteur part des théorie du schéma et celles du modèle mental et
affirme en suspend, que acquérir des connaissances techniques c'est acquérir des savoirs propositionnels et des
savoir-faire et reprenant Dreyfus et Dreyfus il ajoute que cela consiste à accroître la base de données le système de
règles afin de définir des niveaux de développement des savoir-faire. C'est pouvoir identifier les chemins causaux.
De ce point de vue, l'acquisition de connaissances techniques sur un système technique revient à construire "un
réseau sémantique des objets compatibles avec les procédure du dispositif".
Pour illustrer tout ce qui précède, il développe comment s'acquière les connaissances sur une machine à commandes
numériques qui consiste à élaborer une procédure d'usinage, comment se fait la compréhension de textes techniques
et comment se produisent des textes techniques. Pour ce qui est de la compréhension des textes techniques,
apprenant doit savoir la chaîne causale des événements et des actions du système technique décrit. Laquelle traduit
la représentation des l'expert.
La production de textes techniques nécessite de tenir compte des aspects cognitifs et linguistiques et d'effectuer une
description en termes de chemin causal en établissant les séquences d'actions, d'événements et d'états.
L'acquisition de procédures et de savoir-faire
L'autre prend le cas de l'enregistrement d'une annonce après une définition du savoir-faire comme étant la
connaissance des procédures qui permettent d'atteindre les buts qu'on se donne dans la réalisation de tâches. La tâche
peut être décomposable ou non selon qu'elle comprend deux ou trois niveaux. La première connaissance des
procédure relève de la décomposition la tâche en sous-buts exprimés en but de la tâche ou de séquences de l'action et