INFORMATIONS SUR LES HERBICIDES
Blé de printemps, blé d’automne, orge, avoine, lin, maïs
fourrager, maïs grain, maïs sucré, seigle d’automne,
triticale, semis de graminées, ail, cultures sans travail
du sol et alpiste roseau pour la production de semence.
Absorption et translocation
Mauvaises herbes sensibles
Le bromoxynil est absorbé par le feuillage et migre très
peu à l’intérieur de la plante.
Renouée liseron, renouée scabre, renouée persicaire,
kochia à balais, saponaire des vaches, soude roulante,
tabouret des champs, lampourde glouteron, petite
herbe à poux, abutilon, amarantes, chénopode blanc,
moutarde des champs (incluant les biotypes résistants
aux triazines), bardanette épineuse, morelle
d’Amérique, sarrasin de Tartarie, sarrasin commun,
séneçon vulgaire.
Différences au niveau de la rétention de la bouillie, de
l’absorption, de la diffusion et de la dégradation.
Ne laisse pas de résidus susceptibles d’endommager
les cultures l’année suivante.
Caractéristiques spécifiques
La culture peut manifester des symptômes (dessèchement des feuilles) si elle subit un stress dans les 2-3 jours
avant ou après la pulvérisation. Ce stress peut être causé par des températures élevées ou une forte humidité,
ou, dans le cas du maïs, si le traitement suit une période fraîche et humide. Le rendement n’en est pas, en
général, réduit pour autant. La préparation commerciale comprend un agent mouillant qui améliore l’étalement
des gouttelettes sur la feuille. Ne pas ajouter d’huile ou d’adjuvant lors de traitements dans le maïs. Même si le
bromoxynil n’est pas un herbicide efficace lorsqu’il est épandu au sol, il ne faut pas semer les dicotylédones
cultivées comme les navets, les pois et les haricots moins de 1 semaine après le traitement.