La Sève de Bouleau fraîche
Si l’on doit donner une seule raison valable de faire régulièrement la cure de sève de
bouleau fraîche, la découverte britannique sur les ravages de l’aluminium (ARTE
12/03/2013 Bert Ebgartner) omniprésent dans l’alimentation, bio ou non, se suffit à
elle-même.
Car le seul antidote connu de l’aluminium est le silicium organique naturel, présent
dans les légumes et fruits frais crus, et en particulier dans la sève de bouleau fraîche,
naturelle, non pasteurisée. À cela bien sûr on ajoutera l’effet reminéralisant de la sève
fraîche pure, une action sur les cartilages et les douleurs articulaires, nettoyage
général des organes, de la peau, etc.
Quels bienfaits peut apporter la sève de bouleau ?
La sève de bouleau reminéralise l’organisme tout en drainant les organes tels que le
foie et les reins en particulier. Riche en anti-oxydants, elle permet une meilleure
utilisation de l’oxygène. Elle débarrasse des toxines en favorisant leur élimination. La
peau reprend de l’éclat, le psoriasis et l’eczéma sont très diminués et parfois
disparaissent.
Comment agit-elle ?
La sève de bouleau agit sur les taux de cholestérol (bon et mauvais), réduit
considérablement les excès d’acide urique (il faut plusieurs cures consécutives si ce
taux est élevé). Elle supprime peu à peu les œdèmes. Elle peut déloger de vieux
« capitons » graisseux. Les cheveux retrouvent leur brillance. La sève de bouleau est
aussi excellente contre les douleurs rhumatismales, les douleurs articulaires. Elle
lutte contre l’asthénie, contre le manque d’appétit. Elle est excellente aussi contre la
constipation comme contre la diarrhée. Elle permet à la fois un grand nettoyage de
printemps et la reminéralisation du corps tout en le revivifiant !
Que contient-elle pour rendre de tels services à notre corps ?
La sève de bouleau est très proche, par sa composition et selon les auteurs, du lait
maternel, du sang et de l’eau de mer (le Chlorure de sodium en moins). Dans les pays
nordiques autrefois, lorsqu’une mère manquait de lait pour son bébé, elle le
nourrissait en particulier de sève de bouleau.
La sève de bouleau est riche en sels minéraux tels que le calcium, le magnésium, le
sodium et surtout le potassium.
Elle contient des oligo-éléments tels que cuivre, fer, manganèse et en particulier du
zinc trop rare dans l’alimentation. Elle contient des mucilages, des flavonoïdes, des
hormones végétales dont l’acide Abissique (ABA). Elle contient également 17 acides
aminés dont l’acide glutamique (revivifiant, stimulant de l’appétit de vivre !). Elle
contient aussi des cytosines, des sucres sous forme de fructose (de 0,5 % à 0,2 %). La
sève de bouleau contient encore 2 hétérosides : le Bétuloside et le Monotropitoside
qui, selon le Dr Tetau, libère par hydrolyse enzymatique du salycicate de méthyle, un
analgésique, anti-inflammatoire et diurétique efficace. Elle contient enfin de
nombreux antioxydants.
Le plus important de tout
Sa teneur en silicium organique naturel.
Selon les études britanniques l’aluminium est responsable de la création de
nombreux cancers et de sa diffusion dans le corps sous forme de métastases. Utilisé
pour diffuser les vaccins, l’aluminium diffuse le cancer par les métastases. Or
l’aluminium est partout, dans l’eau, les conserves alimentaires, les couvercles de
yaourts et produits frais, etc. on ne peut y échapper.
La dernière découverte britannique sur les ravages de l’aluminium justifie
l’importance irréfutable des cures de sève de bouleau fraîche.
Très riche en silicium organique, cet élément est l’antidote le plus efficace contre
l’aluminium.
Depuis quelques années, le printemps arrive à des dates qui peuvent s’éloigner
sensiblement du 21 mars, parfois de quelques semaines en avance. C’est pourquoi le
choix du moment exact de la récolte n’est pas lié uniquement à la période lunaire,
mais il faut, pour tomber juste, observer le chant des oiseaux, l’apparition des
premiers papillons jaunes, le réveil des coccinelles, des limaces et de certains
insectes. Nous devons nous adapter très exactement à l’apparition de ces
phénomènes naturels pour commencer la récolte tandis que la sève monte avec
puissance.
C’est un produit frais et vivant, ce qui lui confère toutes ses capacités régénératrices
sur l’organisme.
Tout le monde peut-il en boire ?
Les effets secondaires sont directement liés à l’état de la personne qui fait la cure.
Plus une personne est encombrée, plus son hygiène de vie est mauvaise, plus elle a
besoin d’éliminer. Des selles plus abondantes, parfois nauséabondes, des urines plus
fréquentes, plus chaudes, plus foncées peuvent apparaître durant quelques jours. Les
personnes dont l’hygiène de vie est déjà très bonne n’ont pas ces inconvénients, mais
les autres découvrent alors à quel point elles ont besoin de se détoxiner.
Dans les pays du Nord les bébés buvaient de la sève de bouleau ; il n’y a pas d’âge
minimum pour commencer. Il n’y a pas d’âge limite non plus. Tous les spécialistes de
la sève de bouleau sont d’accord pour dire que tout le monde peut en consommer.
Mais nous conseillons tout de même aux personnes dyalisées et à celles qui sont
atteintes de pathologies graves d’en référer à leur médecin, de se faire suivre
normalement par le médecin.
Suivre les saisons
Durant des millénaires, l’homme n’a pas eu d’autre choix que de se nourrir au fil des
saisons.! C’est le printemps !
Le temps des grands nettoyages, de la régénérescence !
Il y a bien longtemps, dans nos pays tempérés, à la suite de bouleversements
planétaires qui ont enseveli des cocotiers et des mammouths au nord de la Sibérie
près du pôle Nord, des hommes et des femmes, qui n’avaient vécu jusque-là que dans
des zones tropicales douces et riches en fruits et en légumes, se trouvèrent
brutalement dans un pays froid et dépourvu de l’abondante flore, source de vie.
Pour des raisons encore mal connues1, la terre avait basculé d’un quart de tour,
installant l’équateur à la place des pôles.
Les habitants des régions les plus chaudes virent très vite disparaître les arbres
fruitiers de quarante mètres de hauteur, ensevelis, remplacés rapidement par la glace,
la toundra, la steppe, suivie de forêts de bouleaux. Il fallut se protéger du froid et se
mettre à tuer des animaux pour se nourrir. Le corps habitué aux végétaux commença
à s’acidifier et s’encrasser.
Tous au Bouleau !
Le bouleau, lui, est vraiment l’arbre fondateur de la forêt des régions boréales et
tempérées froides. Durant les hivers froids, enneigés, il concentre dans sa sève toutes
les qualités vitales les plus fondamentales pour notre squelette, nos ligaments, nos
muscles, nos cartilages, notre peau, nos cheveux. Plus l’hiver est froid et long, plus la
sève est concentrée : silicium organique, magnésium, calcium, oligo-éléments,
enzymes, acides aminés. Voilà pourquoi il est si important de saisir le moment exact
où la sève de bouleau jaillit, abondante, telle une fontaine, comme un cadeau de la
terre et du soleil !
Il ne nous reste plus qu’à faire tinter nos verres à l’eau légèrement pétillante de la
sève de bouleau !
Cures de printemps, une alternative au jeûne
Après l’encrassement inévitable lié à l’alimentation de l’hiver, notre corps a un très
grand besoin de nettoyage, mais aussi de se régénérer. Tout le monde n’est pas apte à
mener un jeûne suffisant de quelques semaines pour être efficace. Trois jours sans
manger ne constituent pas un jeûne, ce n’est qu’une diète. C’est là que les cures de
printemps apparaissent très utiles. Cures de fruits, de jus de légumes, cures de cru, ou
de graines germées durant une semaine à trois semaines sont les bienvenues.
Beaucoup plus faciles à tenir qu’un jeûne pour la plupart des gens, elles ont la qualité
de nettoyer et régénérer l’organisme. On peut les moduler en se préparant des salades
assaisonnées d’huile crue de première pression et de jus de citron qu’il faut, dans ce
cas, préférer au vinaigre, afin de rester dans l’aliment simple non transformé.
Conseils pour une bonne cure
Il semble évident que si l’on veut profiter au mieux d’une cure de sève de bouleau, il
est intéressant de l’accompagner d’une alimentation pauvre en charcuteries,
fromages, produits laitiers, viandes, pâtisseries, sucreries, boissons sucrées et
alcoolisées, tabac… Il est dommage d’encrasser le corps tout en le drainant ! Les
résultats ne peuvent être que meilleurs.
La sève de bouleau doit être gardée en bouche sous la langue un moment avant de
l’avaler. En effet, les oligo-éléments sont absorbés en perlingual, c’est-à-dire autour
de la langue. Exactement comme lorsque l’on utilise des produits homéopathiques.
Une cure correspond à 5 litres de sève que l’on consomme en trois semaines à raison
de 250 centilitres par jour à prendre idéalement entre les repas.
Commencer par un tiers de verre le matin à jeun. Je me fixe cette dose pendant
quelques jours,… et j’attends le résultat,... si tout va bien j'augmenterais petit à petit
la dose pour arriver peut-être à un verre en fin de cure !
Les connaisseurs peuvent profiter de cette cure pour faire un régime végétarien
durant ces trois semaines, augmenter la part du cru par rapport au cuit, prendre le
temps de mastiquer, déguster, savourer leurs aliments. C’est une période où l’on peut
s’entraîner à ne plus sucrer son thé, à boire moins de café, à diminuer sensiblement le
sel.
Les bienfaits d'une cure de sève de bouleau
Après les cures, les consommateurs disent qu’ils éprouvent un mieux-être, une
légèreté vivifiante. Ils se sentent libérés de toxines.
De nombreux témoignages soulignent moins de fatigue, une peau plus belle, un
regain d’enthousiasme, un meilleur entrain. Certains se sentent rajeunir, se remettent
à faire du sport, à se prendre en charge.
Ceux qui font plusieurs cures consécutives peuvent découvrir que leur mauvais
cholestérol disparaît, même s’ils n’ont pas modifié leur alimentation, ce qui est
particulièrement vrai pour les personnes qui avaient déjà une alimentation
convenable et ne comprenaient pas pourquoi elles avaient de mauvaises analyses.
Pour d’autres, c’est l’acide urique qui disparaît, de même certains œdèmes s’en vont.
Tous déclarent retrouver une bonne forme, se réjouissent du nouvel éclat de leurs
cheveux. Beaucoup voient s’atténuer notoirement et même disparaître les douleurs
articulaires, les enfants retrouvent l’appétit. Nombreux sont aussi ravis de voir leurs
intestins fonctionner beaucoup mieux, qu’il s’agisse de constipation ou de tendance
aux selles molles.
Yvonne Clément
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