Assaut contre le local CNT
nombreuses arrestations et début des assassinats
(une vingtaine ?).
Résistances libertaires à A coruña, Ferrol, Verí,
Tuy…
Mais rapide échec et répression.
Début assaut casernes de Carabanchel
Prise de la caserne de la Montaña
Une partie des armes récupérées sont stockées dans
l'Ateneo libertario de Tetuán de las Victorias (commune
de MERA).
Succès populaire contre la garde civile qui a
déclaré l'état de guerre le 19/07
Reprise de la ville aux mains des insurgés,
surtout de la CNT, par les militaires
Plusieurs tués, 200 prisonniers.
CCMA - Comité Central de Milicias
Antifascistas de Cataluña
Réorganisation et remplacement quelques
jours plus tard, notamment avec le départ de
DURRUTI en Aragon.
Comité Central des Milices Antifascistes dont 3 CNT
(Juan GARCÍA OLIVER, Buenaventura DURRUTI, José
ASENS) et 2 FAI (Aurelio FERNÁNDEZ, SANTILLÁN). Il
est validé par la Généralité et par la CNT-AIT le 23/07.
Il comprend aussi 3 UGT, 1 PSUC, 1 ESQUERRA, 1
RABASSAIRE, 1 ACCIÓ CATALANA.
SANTILLÁN y dirige le département militaire.
José ASENS coordonne les Patrouilles de contrôle.
Plus tard Marcos ALCÓN est surtout chargé de la
coordination des transports.
Aurelio FERNÁNDEZ est chargé de la Sécurité
Intérieure.
Création du premier Comité révolutionnaire
Gauche républicaine pluraliste.
En septembre il est remplacé par un Comité de liaison
CNT-UGT.
Saisie des réseaux de chemins de fer catalans
La très minoritaire UGT rejoint rapidement la CNT.
Comité de Guerre unitaire, actif sur toute une
région
Dominé par les libertaires, présidence de Segundo
BLANCO + 3 secrétaires sur 12 : Avelino G.
ENTRIALGO, Ramón ALVAREZ et Carlos DÍAZ..
Marche de la colonne HILARIO/ZAMORA
Prise du pouvoir par les libertaires
Importance d’Antonio MARTÍN ESCUDERO.
Succès mutineries et insurrection urbaine
Rôle déterminant des anarchistes
dans la future municipalité, le maire est l’anarchiste