Limiter l’effet de serre
L’effet de serre est un phénomène naturel. Il existe une couche
de gaz située dans l’atmosphère qui permet de maintenir la surface de la terre
à 15 degrés C. Sans elle, la température serait de – 18 degrés C.
Les pollutions émises par l’homme sont en train d'endommager gravement cet
équilibre naturel.
Le traitement des déchets est donc une solution au problème.
L'Effet de serre est un phénomène naturel dû à une couche de gaz présents
dans la partie basse de l'atmosphère (gaz carbonique, oxyde de souffre, oxyde
d'azote, vapeur d'eau, dioxyde de carbone, méthane, ozone). Ces gaz
retiennent les radiations infrarouges émises par la surface de la terre. Ce
phénomène permet à la planète de conserver une température favorable au
développement de la vie. Sans cet effet de régulation climatique, la
température terrestre moyenne, qui est de + 15 °C serait de - 18 ° C.
Depuis près de 200 ans, les activités humaines ont augmenté le rejet dans
l'atmosphère, de gaz à effet de serre (GES). Provoquées par la combustion de
matières fossiles (charbon, pétrole) dans l'industrie, la production d'énergie et
les transports ou encore par la déforestation, les émissions de CO 2 se sont
particulièrement intensifiées. En outre, de nouveaux gaz, à puissant effet de
serre, ont été introduits par l'homme comme les chlorofluocarbures ou CFC
(composés halogénés utilisés comme réfrigérants).
L’ozone
L’ozone est un composant naturel de l’atmosphère situé environ à 30 kms
d’altitude.
Les molécules d’ozone absorbent la plus grande partie des rayons ultraviolets
émis par le soleil. Cet écran protecteur permet de limiter les problèmes d'yeux
et les cancers de la peau.
La stratosphère est la couche de l'atmosphère, située entre 15 et 50 km
d'altitude, dans laquelle on trouve la concentration d'ozone la plus importante
(90%). Cette couche fonctionne comme un filtre et absorbe les rayons
ultraviolets les plus énergétiques. Sous l'effet de la lumière, de nombreuses
réactions chimiques hétérogènes s'y produisent et, chaque jour, près de 350
000 tonnes d'ozone se forment et se détruisent.
A la fin des années 1970, le "trou dans la couche d'ozone" au dessus de
l'Antarctique a été évoqué pour la première fois. La majorité des chercheurs
estime que l'augmentation de ce trou provient en grande partie de l'élévation
de la concentration atmosphérique de composés chlorés ou fluorés d'origine
anthropique (fréons, CFC, utilisés comme gaz réfrigérants ou comme gaz
propulseurs dans les aérosols).