Le Plan Marshall Mondial avec Autofinancement.
Ou encore: la securité et un avenir meilleur pour tous.
Dans ce dépliant (édité par la Fondation Revenue de Base Pour Tous) vous pourrez lire,
en bref, ce qu'est Ie plan Marshall mondial avec autofinancement, qui l'a conçu et
pourquoi, mais aussi ce que vous pouvez faire vous-même pour aider a la réalisation de
ce plan mondial.
Au début: une inspiration.
En 1974, M. Pieter Kooistra (1922-1998), un artiste d'origine frisonne, eut une inspiration
en regardant la télévision. II avait inventé un systeme de prêt d'art et pour lui s'achevait la
période ou il avait mis sur pied différents Fondations d' Arts et il se demandait
serieusement ce qu' il lui restait a faire jusqu' a ce qu'il soit confronté, ce soir la, a l'image
d'enfants indiens affamés. Apres un moment d'intense désespoir, lui apparut
soudainement la possibilité d'un plan mondial: un circuit économique parallèle,
s'autofinançant, qui pourvoirait chaque citoyen mondial d 'un revenue de base.
Cet événement fut suivi d'années de reflexion et de formation en autodidacte et I'actuel
plan Marshall découla de I'inspiration originale, dans Ie courant de 20 années. En 1987,
M. Kooistra recut 50.000 florins de subside du gouvernement néerlandais pour écrire un
(second) livre qui parut, fin 1993, sous Ie titre " L' intérêt personnel idéal".
L 'idée n'était pas restée qu'une inspiration, ce dont témoigne la solide base chiffrée de
plan. De ce fait, il recut Ie soutien de différents spécialistes et d'importants économes dont
M. Jan Tinbergen, prix Nobel, décédé en 1994.
Maintenant que Ie plan est conçu, nous nous trouvons a l' étape suivante: Ie faire
connaitre davantage et éveilIer l'intérêt des Nations Unies.
Besoins de base et crédits au développement.
Le revenue de base est identique pour tous. Dans un pays pauvre, quelqu'un recevra,
relativement, un revenue nettement supérieur, mais il Ie dépensera d'une autre marnière
qu'un européen prospère. Le but n'est pas non plus d'augmenter Ie revenu de chacun
mais de rendre possible une évolution personnelle. De là I' idée d ' appeler également Ie
crédit extra, crédit au développement.
Le revenue de base doit toujours être dépensé a I' intérieur du circuit économique
parallele. Chacun peut, chaque année, faire un choix personnel parmi les produits et les
services respectant I' être humain et son environnement tandis que commande et livraison
ont lieu au sein même du circuit alternatif. On propose que les Nations Unies s'occupent
de l'administration de ce plan mondial. Lors de l'inventaire de la demande mondiale,
l'O.N.U, pourra, en tant que médiateur et exécuteur de I' économie alternative, passer
des contrats avec des producteurs. L'excédent de la demande sera alors en équilibre
exact avec I' augmentation de la production. Les Nations Unies pourront ainsi créer sans
risque de nouveaux capitaux, basés sur la valeur de cet excédent de production a
I'intérieur de circuit. Les N.U. gèreront ce capital extra par transaction bancaire. Chaque
avoir de base sera géré de même. Se réalisera ainsi, au sein du circuit, une comptabilité
automatisée garantissant Ie contróle, la totale ouverture des comptes et un pouvoir
d'achat indépendant de l'inflation.
Il ne faut pas non plus calculer d'intérêts ou prélever d'impóts. Tous les frais sont calculés
d'avance dans les prix. Personne ne reçoit d'argent en main, seulement les marchandises