Terminale. TES3. 2008-2009. Fiche de lecture
COMBES Julie
« la mondialisation de la culture », Jean-Pierre WARNIER, 2003
édition : la découverte.
Chapitre(s) du cours auxquels ce livre est lié : chapitre : mondialisation, évolution sociale et
culturelle, mais aussi commerce international, croissance et développement car on se demande
comment les flux commerciaux interfèrent sur les cultures
s.
Partie I : portrait général du livre
Objet du livre. Thèse soutenue dans le livre (en d’autres mots : que cherche à montrer
l’auteur/ A quelle question cherche-t-il à répondre) (10 à 15 lignes) ?
L’intensification des échanges entre pays, la mondialisation, a au-delà de ss répercussions
économiques, eu des conséquences sociales et culturelles importantes. La mondialisation peut
prendre la forme d’une industrie culturelle qui contribuent à diffuser des normes est des valeurs
communes. En effet le développement des moyens de communication permet à tous les pays
d’être constamment en contact, ils échangent et notamment des « produits culturels » c’est à dire
qui proviennent de l’industrie de haute technologie et qui font l’objet de consommation de masse,
éphémère et sans cesse renouvelée comme les livres, les films et les disques, ces produits
semblent être partout les mêmes : Harry Potter, Stars Wars, Madonna. Mais en outre ces
produits, avec la globalisation des flux on semblent aussi faire converger les humains vers un
mode de vie commun avec l’exemple de la « Mcdonalisation » et de la « coca-colonisation ».
Les ressemblances culturelles, semble subir majoritairement l’influence occidentale et plus
particulièrement américaine. Effectivement les Etats-Unis , grâce a des moyens de
communications très performants peut diffuser en masse sa culture, aux détriments des autres.
Certain craignent, donc, une uniformisation de la culture Va t-on vers une américanisation ? Une
culture singulière sur le modèle occidentale ? Telle est la question a laquelle cherche à répondre
du livre de J-P Warnier.
Son positionnement (en deux lignes)
Ce livre témoigne-t-il d’une prise de position dans un débat ? Si oui laquelle
Le livre est sous forme de dissertation ne semble pas prendre un point de vue radical face à cette
question. Mais l’auteur semble comme même défendre l’idée que nous n’avons rien à craindre
de l’uniformisation, puisque « humanité reste une machine a fabriqué les différences » et que par
de nous somme en proie aux conflits chacun a des intérêts différents et pour les défendre ou
marquer son appartenance on utilise des moyens qui vont être propres a chaque mode de
pensée. (par exemple les patrons et les ouvriers on des intérêts différents (le patron veut que les
salaires soit bas pour baisser les coûts de production l’ouvrier veut un salaire élevé pour
consommer) d’où il se dégage une culture patronale et ouvrière puisque l’on distingue bien un
mode de vie différent selon si on n ‘est ouvriers ou non (ex manière de parler) . De plus les
produits véhiculés par les flux mondiaux ne sont pas tous reçu de la même façon et servent
parfois même de matériaux pour des constructions culturelles locales diversifiées.
Résumé du livre. (Structure du livre)
Comment le livre est il construit ? Pour chaque grande partie (donnez un titre et situez les pages)
et résumez en quelques lignes l’idée principale.
Le livre est semblable a une longue dissertation, l’auteur est très rigoureux.