
RÉUNION D’EXPERTS APPELÉS À PROPOSER   OEA/Ser.T/X 
UN BARÈME RÉVISÉ DES QUOTES-PARTS  REG/NEC/doc.2/06 corr. 2 
  18 janvier 2006 
Bâtiment du Secrétariat général  Original: anglais 
Salle Rubén Dario, 8e étage 
1889 F Street, Washington, D.C., 20006 
18-19 janvier 2006 
 
 
 
 SUGGESTIONS DE PARAMETRES EN VUE DE LA REUNION D’UN CONSENSUS 
AUTOUR  D’UN BAREME DE QUOTES-PARTS APPLICABLE A  
L’ORGANISATION DES ÉTATS AMÉRICAINS 
 
(Présentés par le Secrétariat général) 
 
 Cette réunion a pour objet de proposer un barème révisé des quotes-parts, de le présenter au 
Conseil permanent, et par l’intermédiaire de cet organe, à  l’Assemblée générale lors de sa Session 
extraordinaire convoquée les 30 et 31 janvier. 
 Le barème convenu devrait se fonder sur une méthode équitable et objective d’établissement, 
et  d’actualisation  périodique  des  pourcentages  ou  des  proportions  du  budget  annuel  du  Fonds 
ordinaire du Secrétariat qu’il revient à chaque État membre de verser  sur la base de la capacité de 
paiement de chaque État membre. 
 
Points qu’il faut prendre en considération dans la formulation des recommandations: 
 1. Le total des pourcentages ou proportions des quotes-parts statutaires attribuées aux 
35 États membres doit se monter à 100%. 
 
2. Le pourcentage maximal attribué à l’État membre redevable de la contribution la plus 
élevée continuera de s’établir à hauteur de 59,47%. 
 
3. Le  pourcentage  minimal  des  quotes-parts  s’établira  à  0,020%  ou  à  un  niveau 
supérieur (par exemple, 0,025% or 0,030%).
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4. Les  pourcentages  intermédiaires  des  quotes-parts  seront  établis  sur  la  base  de  la 
méthode de la capacité de paiement choisie. 
 
 
.  Le minimum actuel est établi à 0,020%.  Le Président du Groupe de travail sur le barème des 
quotes-parts n’est  pas parvenu  à  réunir  un  consensus entre  les  pays qui versent  une  quote-part minimum en 
faveur d’une augmentation à 0,030% ou même 0,025%. Cependant, dans le groupe de pays touchés par cette 
question une augmentation  du pourcentage minimum bénéficiait de  suffisamment  d’appui  pour  justifier  son 
réexamen par le Groupe d’experts.