Le 24 janvier 2015, François Ier rencontra en privé un transsexuel et sa « fiancée » dans la résidence
papale (Casa Santa Marta), comme le journal espagnol "Hoy" nous le signala. Le transsexuel Diego Neria
est né en tant que femme, et a écrit une lettre à François Ier comme quoi il se sentait exclus de l'Église
après avoir changé de sexe. François Ier lui téléphona à deux reprises en décembre, et organisa une
réunion avec lui. Au lieu de conduire ceux qui se sont égarés afin qu’ils retrouvent la voie de la
repentance, et de combattre pour le salut de leurs âmes, il les conforte dans leurs perversités, créant ainsi
un précédent d'anti-repentance. D'une part, il reçoit "généreusement" un transsexuel sans aucun reproche,
et d'autre part, il raconte aux familles catholiques ayant de nombreux enfants que si elles veulent être des
catholiques responsables, elles n’ont pas besoin de faire des enfants comme des lapins.
Le 18 février 2015, l'organisation New Ways Ministry, qui lutte pour l'égalité des droits des personnes
LGBT au sein de l'Eglise catholique, reçut pour la première fois de l'histoire un accès VIP à l'audience
générale et régulière du Pape au Vatican. A partir de maintenant, les personnes LGBTI possèdent une
position privilégiée dans l'Église catholique, et ce sans aucune repentance. François Ier leur a donné la
communion fraternelle.
La loi de Dieu dit: «Tu ne coucheras point avec un homme comme on couche avec une femme. C'est une
abomination. » (Lev, 18:22) «Si un homme couche avec un homme comme on couche avec une femme, ils
ont fait tous deux une chose abominable; ils seront punis de mort: leur sang retombera sur eux. » (Lev,
20:13) Dans le Nouveau Testament, il est écrit que celui qui commet des actes homosexuels n’héritera pas
du royaume de Dieu (cf. 1 Cor, 6:9-10). Saint-Pierre, le premier pape, a même écrit: « Il (Dieu) a
condamné les villes de Sodome et Gomorrhe à la destruction et les a réduites en cendres, faisant d’elles
un exemple pour ceux qui, par la suite, vivraient de façon impie ». (cf. 2 Pierre, 2:6) et, poursuivant, il
parle du Jour du Jugement et du châtiment : « ceux surtout qui vont après la chair dans un désir
d'impureté et qui méprisent l'autorité » (cf. 2 Pierre, 2:10). Les villes de Sodome et Gomorrhe qui furent
détruites par le feu avec leurs couples homosexuels, devinrent un avertissement, et souffrent du châtiment
du feu éternel (cf. Jude 7).
Le plan de Dieu consiste en une relation naturelle entre l'homme et la femme. « Dieu créa l'homme à son
image, il le créa à l'image de Dieu, il créa l'homme et la femme. Dieu les bénit, et Dieu leur dit: Soyez
féconds, multipliez, remplissez la terre... » (Gen 1:27-28). Le plan du diable consiste en des couples de
même sexe qui sont une cause de troubles mentaux, désintègrent la société et approfondissent la crise
démographique; par rapport aux personnes qui vivent une relation naturelle, les statistiques montrent un
pourcentage beaucoup plus élevé de suicides, de maladies mentales, de meurtres par jalousie, de MST,
d'hépatite C et de divers types de perversions chez les homosexuels. Au Concile du Vatican sur les
questions relatives à la famille, François Ier et ses proches collaborateurs défièrent de façon
blasphématoire le Dieu immortel et saint qui créa le ciel et la Terre, l'homme et la femme. Ils voulaient
tromper les croyants et les convaincre que Dieu s'était soi-disant "réconcilié" avec l'ange déchu – Satan -
et ses œuvres. Le programme de Dieu et le programme de Satan sont diamétralement opposés. Le premier
mène au Ciel, tandis que le second conduit à l'autodestruction et à la damnation éternelle. Jésus est venu
pour détruire les œuvres du diable et, en mourant, Il a racheté le monde. Il est venu pour guérir les
relations blessées entre l'homme et la femme.
Il est juste et bon de se demander quelle était l'intention de François Ier et de ses collègues, l'intention qui
se cachait derrière le document du Synode. D'abord, il (François Ier) voulait découvrir quelle serait la
réponse des fidèles. Deuxièmement, il avait besoin d'étudier les adversaires de l'homosexualité au sein des
évêques et des fidèles. Troisièmement, il avait l'intention de commencer le processus de discussion
ouverte sur l'homosexualité et les couples de même sexe. L'objectif est simple. Étant forcés d'en
discuter, les catholiques changeront progressivement leur attitude envers l'homosexualité. C’est le
début du processus qui a déjà eu lieu dans diverses dénominations protestantes. Au début, on
établit une attitude tolérante envers les homosexuels, et leur admission au sein de l'Eglise, puis la «
bénédiction » des couples de même sexe, et enfin l'installation des homosexuels aux postes de
prêtres et d'évêques. François Ier mène les catholiques à l'antéchrist. Une chanson virtuelle écrite par
François Ier sur les homosexuels, se lirait probablement comme suit: "Soyez féconds, multipliez, et
remplissez nos postes épiscopaux et sacerdotaux, nos séminaires et monastères, car qui suis-je pour vous
juger. Venez, notre communauté vous attend".
St Paul, dans le cadre de la seconde venue de Jésus-Christ, parla du fils de la perdition, "...l'adversaire qui
s'élève au-dessus de tout ce qu'on appelle Dieu ou de ce qu'on adore, jusqu'à s'asseoir dans le temple de