LE VERFÜGBAR AUX ENFERS UNE OPERETTE A

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LE VERFÜGBAR AUX ENFERS
UNE OPERETTE A RAVENSBRUCK
de Germaine TILLION
par la compagnie
Théâtre du Piémont des Vosges
(Barr - Bas Rhin - Alsace)
Avec en alternance
Joy Bauer, Eva Bauer, Eve Corneaux, Ghislaine Grillon, Alisja Jablonska,
Marjorie Kerholas, Julie Knittl, Cristina Scagliotti et Michael Winum
MISE EN SCENE : Jaromir KNITTL
Des femmes dans le camp de Ravensbrück luttent contre leur condition inhumaine et pour défendre leur
dignité. Elles organisent leur résistance en chantant à la barbe des geôliers nazis convoquant le souvenir des
rengaines populaires, du bon vin qui réchauffe, des joyeuses tablées d’antan, avec la plus redoutable des armes :
le rire et la joie de vivre…L’auteur, Germaine Tillion, miraculée du camp de Ravensbrück a écrit en 1944,
l’œuvre la plus singulière et la plus étonnante qui soit sur les camps de la mort. Elle plonge le spectateur de
manière inattendue dans l’univers joyeux d’une opérette, sorte de revue conférence remplie d’humour noir. Nous
ne sommes pas loin de l’esprit de « La vie est belle » mais ici, il ne s’agit pas d’une fiction : le ton est léger mais
la réalité est crue, violente. Le metteur en scène reste fidèle a l’auteur en respectant ses propres indications : ni
chœur de 30 interprètes, ni orchestre, ni rétrospective documentaire, ni reconstitution historique mais un regard
amusant et amusé sur l’horreur.
Du 15 janvier au 21 février 2010 les vendredis et samedis à 20h45
les dimanches à 15h30
Au THEATRE AIRE FALGUIERE réservations : 01 56 58 02 32
Direction Geneviève Rozental
Réalisé avec le soutien moral et financier de la Région Alsace, parrainé par l’association Germaine Tillion
A LA RENCONTRE DE L’AUTEURE GERMAINE TILLION
Grande résistante, intellectuelle indépendante, femme inclassable, aux engagements radicaux, pionnière de
l'ethnologie dans les années 30.
Née le 30 mai 1907, elle décède le samedi 19 avril 2008 à l’âge de 101 ans.
Issue d’une famille d'intellectuels catholiques, père bourguignon, mère auvergnate, elle est l'élève de Marcel Mauss,
sociologue et ethnologue, qui transmet à ses étudiants une éthique de l'enquête et une méthode de travail non dogmatique.
En 1934, l'apprentie-ethnographe part enquêter sur le terrain dans le massif montagneux des Aurès (sud-est algérien), se
déplaçant à cheval, accompagnée d'un mulet portant son matériel. Pour mener ses observations sur la population berbère
chaouie, elle campe seule dans les douars les plus pauvres, à 70 km de la première route. Elle effectuera quatre missions
jusqu'en 1940.
Ses cahiers de notes et manuscrits de thèse, emportés à Ravensbrück après son arrestation en 1942, seront perdus au
camp. L'ethnologue publiera néanmoins en 1966 "Le Harem et les cousins", son livre majeur, un essai sur le mariage
endogame des femmes au Maghreb, considéré comme pionnier.
Plus tard, elle rassemblera ses souvenirs dans un livre à la fois drôle et savant, "Il était une fois l'ethnographie" (2000).
Dès son retour de mission en juin 1940, Germaine Tillion, révulsée par le discours du maréchal Pétain
annonçant l'armistice, co-fonde le "Réseau du Musée de l'Homme", le tout premier mouvement de
Résistance. Elle devient, après les arrestations et les exécutions de Boris Vildé, Anatole Lewitsky et de Paul Hauet (dont elle
est l'adjointe dès 1940), chef du réseau de Résistance du Musée de l'Homme, avec le grade de commandant de 1941 à
1942. Le réseau travaille à l’évasion des prisonniers et au renseignement.
Dénoncée par l'abbé Robert Alesch, Germaine Tillion est arrêtée le 13 août 1942, et déportée le 21 octobre 1943 à
Ravensbrück. Elle y perd sa mère, l'écrivain Émilie, grande résistante, déportée en 1944 et gazée en mars 1945. Pendant
son internement au camp, avec Geneviève De Gaulle et Anise Postel-Vinay, elle se fait « l'animatrice d'une sorte
d'opération survie ». Cachée dans une caisse, elle réussit à écrire sur un cahier soigneusement caché, une opérette
cocasse sur l'enfer des prisonnières, pour distraire ses compagnes : " Le Verfügbar aux Enfers » (les « Verfügbar »
- verfügbar = disponible - étaient les déportées soumises aux corvées et brimades par refus de travail) où elle mêle
à des textes relatant avec humour les dures conditions de détention, des airs populaires tirés du répertoire lyrique
ou populaire.
Au camp, elle reste ethnographe, s'employant à disséquer « l'incroyable société » où elle est plongée. Auteur en 1946 d'un
des premiers témoignages sur la condition de déportée (« A la recherche de la vérité »), l'ethnologue l'avait actualisé en
1973 puis 1988 sous le titre "Ravensbrück", soulignant notamment les finalités économiques du phénomène
concentrationnaire.
En 1955, l'ethnologue renoue avec l'Algérie à la demande du gouvernement Pierre Mendès France, empêtré dans la crise
algérienne.
Elle crée les Centres sociaux pour les ruraux musulmans déplacés dont elle dénonce la "clochardisation" (« L'Algérie en
1957 »), analyse les dysfonctionnements de la société coloniale (« Les ennemis complémentaires »), enquête sur la torture
et les lieux de détention.
En 1957, en pleine bataille d'Alger, elle réussit à obtenir pour quelques semaines l'arrêt des attentats, après une rencontre
secrète avec le chef militaire de la région d'Alger Yacef Saadi.
A la fin de sa vie, cette petite femme ronde, au regard aigu et au franc-parler, reçoit de très nombreux hommages. Jean
Lacouture lui consacre une biographie (« Le Témoignage est un combat »). Une école de Saint-Mandé (Val-de-Marne) où
elle résidait porte son nom et celui de sa mère.
Elle était une des rares femmes à porter la Grand'Croix de la Légion d'honneur.
Chronologie
30 mai 1907: naissance de Germaine Tillion à Allègre, bourg de Haute Loire.
1925 (mars) : son père meurt d’une pneumonie. Sa mère, Émilie, subvient aux besoins de la famille en
poursuivant chez Hachette la publication de guides culturels sur les régions de France et les pays
d’Europe.
1925 -1926 : elle entreprend des études supérieures : à l’Ecole du Louvre (en archéologie, préhistoire
et histoire de l’art; en Sorbonne et à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes (notamment études celtiques et
épigraphie sémitique) au Collège de France et à l’Institut d’Ethnologie, où elle suit les cours de Marcel
Mauss. Durant cette période, elle aide sa mère à l’édition des Guides bleus.
1932 : Diplômée de l’Institut d’Ethnologie.
1934 : Mauss recommande G.Tillion à l’Institut international des langues et civilisations africaines (basé
à Londres) pour une mission de recherches dans les Aurès, massif montagneux de l’Est algérien.
(décembre) : avec Thérèse Rivière, qui a été également recrutée pour cette mission, elle s’embarque
pour Alger d’où, après une brève étape, elles partent s’installer dans les Aurès, dans des campements
séparés. G.Tillion, au hameau de Kebach, sur les flancs du massif de l’Ahmar Khaddou.
1937 (février)-1939 : G.Tillion retourne à Paris.
1940 (9 Juin): cinq jours avant l’entrée des Allemands dans la capitale, elle arrive à Paris qu’elle quitte
aussitôt avec sa famille sur les routes de l’exode. De retour à Paris à la fin du mois, elle entre en
contact avec le colonel en retraite Paul Hauet avec lequel elle organise des premières actions de
résistance. (automne) : elle retrouve ses amis du Musée de l’Homme (Yvonne Oddon, Paul Rivet,
Anatole Lewitsky) et y fait la connaissance de Boris Vildé, tous engagés dans la Résistance.
1941 : arrestations au musée de l’Homme, en février de Lewitsky et d’Oddon, en mars de Vildé, en avril
de Humbert. (juillet) : premières arrestations des colonels P. Hauet et de la Rochère. G.Tillion assume
de plus en plus de responsabilités.
1942 : diplômée de l’Ecole des Langues orientales, en berbère. (février) : procès de 19 membres du
réseau ; elle intervient, mais en vain, pour obtenir la grâce des 10 condamnés à mort. Le 23 février :
exécutions de 7 d’entre eux au Mont Valérien. (13 août): arrestation de G.Tillion - et de sa mère- par
l’Abwehr, service du contre-espionnage allemand. G.Tillion (qui restera 6 mois au secret) est détenue à
Paris, à la prison de la Santé, puis à Fresnes. Sa mère, Emilie Tillion est incarcérée dans ces mêmes
prisons, et, en août 1943, au Fort de Romainville, puis, fin octobre 43, au camp de Compiègne.
mai 1943 à mai 1946 : (octobre): déportation de Germaine Tillion à Ravensbrück.
1944 (31 janvier) : du camp de Compiègne, Emilie Tillion est déportée à Ravensbrück.
1945 (mars) : Émilie Tillion est victime d’un assassinat collectif par gaz toxique.
23 avril 1945 : Germaine Tillion est libérée de Ravensbrück, avec plus de 300 Françaises, grâce à la
Croix-Rouge suédoise, et envoyée en convalescence à Göteborg, en Suède où elle mène une enquête
systématique auprès de ses camarades. (11 juillet) : retour de Suède à Paris où elle retrouve son poste
au CNRS. (23 juillet-15 août) : assiste au procès du Maréchal Pétain.
1946 : nommée « liquidatrice » nationale des divers groupes de résistance avec lesquels elle a
«travaillé », organisation qu’elle intitule « Réseau du Musée de l’Homme- Hauet-Vildé ».(20 novembre) :
médaille de la Résistance avec rosette. Publie sa première étude sur le camp dans un ouvrage collectif
Ravensbrück. (décembre-janvier 1947) : déléguée comme observateur par l’ADIR (Association des
Déportées et Internées de la Résistance) au procès, à Hambourg, des responsables du camp de
Ravensbrück .
1947 : au CNRS, passe de la section de « Sociologie africaine » à la section d’ « Histoire moderne ».
Elle prend en charge la recherche sur les femmes et les enfants déportés de France, sous l’égide du
ministère des anciens combattants puis du CNRS. Croix de guerre avec palmes (12 avril), chevalier de
la légion d’honneur.
1950 (septembre) Amsterdam, Congrès d’ Histoire moderne sur la Deuxième guerre mondiale et
l’Occident. G.Tillion y présente ses recherches sur les camps de concentration.
1951 (mai) : membre du jury international de la Commission internationale contre le régime
concentrationnaire (CICRC) réuni à Bruxelles pour enquêter, d’après témoignages, sur l’existence de
camps de concentration en URSS, provoquant de violentes réactions de ses camarades communistes.
1954 (décembre) - 1955 (février) : chargée d’une mission officielle d’enquête sur le sort des
populations civiles dans les Aurès (à la demande de François Mitterrand, Ministre de l’Intérieur).
1955 (mars)–1956 (février) : chargée de mission au Cabinet du Gouverneur Général de l’Algérie,
Jacques Soustelle. Crée le Service des Centres Sociaux
1956 (janvier) : participe à la réunion organisée à Alger par Albert Camus pour une trêve civile.
1957 : publie L’Algérie en 1957 (18 juin-3 juillet) : accompagne la mission d’enquête de la CICRC dans
les camps et les prisons en Algérie. (Juillet septembre) : rencontre dans la clandestinité Yacef Saadi ,
responsable FLN de la zone d’Alger et tente d’amorcer une négociation pour mettre fin ,d’un côté, aux
attentats contre la population civile et, de l’autre, aux exécutions capitales. Echange avec lui plusieurs
lettres jusqu’à son arrestation par l’armée, fin septembre. Intervient avec succès pour que Yacef Saadi
soit remis aux autorités judiciaires. (octobre) : remet à la justice militaire un long témoignage sur ses
échanges avec Yacef Saadi. Jusqu’à la fin de la guerre, Tillion multiplie les démarches en faveur des
condamnés à mort, contre la torture et les attentats terroristes auprès de toutes les personnalités
influentes et notamment du général de Gaulle
1958 : première année d’enseignement à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes –à la sixième section qui
deviendra Ecole des hautes études en sciences sociales EHESS- où elle est nommée directeur
d’études, en janvier et où elle poursuivra son enseignement jusqu’en 1980. (mai) : souscrit à l’appel de
plusieurs personnalités demandant au président Coty d’inviter le général de Gaulle à former un
nouveau gouvernement.
1959 (janvier-décembre) : chargée de mission au Cabinet du Ministre de l’Education nationale, André
Boulloche. Développe l’enseignement dans les prisons et les bourses pour les étudiants algériens.
1962. (septembre-novembre) : mission OMS dans dix pays du Moyen et Extrême-Orient. 1962
(février) : mission Dakar-Ouagoudougou . (mars) rend hommage dans Le Monde aux six inspecteurs
des Centres sociaux, assassinés par l’OAS. (septembre-octobre) : mission au Maroc.
1963 (mars-avril) : mission EPHE en Libye. (juin) : participe à la fondation de l’association France
Algérie dont elle sera la vice- présidente, puis présidente par intérim (1986-87). (juillet-septembre)
1973 : publie la deuxième édition de Ravensbrück.
Germaine Tillion et Geneviève de Gaulle, Anise Postel Vinay en arrière plan
(27 décembre): Grand officier de la Légion d’honneur.
1988 : publie la troisième édition de Ravensbrück.
1992 (mai) : invitée à Moscou par les anciens déportés au Goulag de l’ Association Retour à la
rencontre conférence « Résistance au Goulag » (Maison des Soviets).
1996 : participe au Collectif de soutien aux Sans-papiers de l’église Saint-Bernard.
1997 : publie La traversée du mal , entretiens avec Jean Lacouture. Prix de l’Académie française pour
l’ensemble de son oeuvre.
1999 elle est élevée à la dignité de Grand-croix de la Légion d’honneur, une parmi six femmes, avec
Geneviève de Gaulle, Valérie André, Jacqueline de Romilly, Simone Rozès et Christiane Desroches
Noblecourt.
.2000 : publie Il était une fois l’ethnographie. Grand prix de la Ville de Paris. Signe L’Appel des douze
afin que soit reconnue et condamnée la pratique de la torture pendant la guerre d’Algérie. Biographie de
Tillion par Jean Lacouture « Le témoignage est un combat ».
2003 : inauguration au Puy-en-Velay de la « Maison de quartier Germaine Tillion », première d’une
série d’institutions qui, depuis, ont pris le nom de Germaine Tillion.
2004, elle lance avec d'autres intellectuels français un appel contre la torture en Irak.
2005 : publie Le Verfügbar aux Enfers , opérette revue écrite au camp de Ravensbrück. Les ennemis
complémentaires (nouvelle édition augmentée). Grand croix du Mérite de l’Allemagne (Das Grosse
Bundesverdienst Kreuz). Par l’intermédiaire de l’Association Germaine Tillion dont elle est présidente
d’honneur, Tillion fait don de ses archives à la Bibliothèque Nationale de France. Ses documents relatifs
à la déportation sont déposés au musée de la résistance et de la déportation de Besançon (fonds
Germaine Tillion )
Elle meurt le samedi 19 avril 2008 à son domicile de Saint-Mandé (Val-de-Marne) dans sa 101e année.
LE MOT DU METTEUR EN SCENE
Ni théâtre documentaire, ni reconstitution historique, ni fantaisie librement inspirée, cette adaptation de
l’œuvre de Germaine Tillion « Le Verfugbar aux enfers » se veut avant tout respectueuse de l’esprit du
texte et de la personnalité de l’auteure.
Germaine Tillion n’est pas un auteur dramatique mais une des plus grandes ethnologues du monde,
figure emblématique de la résistance, non seulement durant la seconde guerre mondiale mais aussi
dans les autres les conflits du XX siècle (Algérie, Irak). Elle est devenue auteur malgré elle, comme les
peintres Séraphine ou le douanier Rousseau. Sa pièce est pour moi comme une peinture naïve, tout à
la fois réaliste mais pleine d’une grande espérance.
Rescapée de l’enfer de Ravensbrück, elle avait délibérément rangé le manuscrit de cette opérette
inachevée écrite en octobre 1944 avec l’intention de ne plus jamais la ressortir de son carton. Le texte
avait rempli son rôle et suivi son destin durant sa déportation, c’était bien assez …le hasard en a décidé
autrement et la pièce ressurgit dans les années 2000 et est créée pour la première fois sur la scène du
théâtre musical de Paris -Chatelet interprétée par une pléiade de vedettes lyriques avec orchestre
symphonique, chœur et corps de ballet, pour célébrer le centenaire de l’auteure.
Cette œuvre, étonnante à plus d’un titre, est l’une des plus singulières qui aient jamais été écrites sur
les camps de la mort, car elle raconte l’horreur sur un mode désopilant.
Les comédiens et moi-même ne sommes, dans cette version scénique, que de simples interprètes du
message de Germaine Tillions, message de vie : sa rage de vaincre la mort, son goût, sa fureur et son
sourire sarcastique face à l’innommable ainsi que le tendre regard qu’elle porte sur ses camarades de
détention … les verfugbars.
Nous avons voulu nous rapprocher de ce qu’aurait pu être une représentation « sur place », fredonnée,
comme à demi-mots, de ce que Germaine Tillion appelle l’orchestre des corps et des schussels.
Une conférence- revue loufoque proche de l’esprit, par exemple, du film de Roberto Begnini « la vie est
belle ».
Alors chers spectateurs, si vous en avez envie durant notre spectacle…OSEZ RIRE ! RIEZ de toutes
vos forces. C’est le plus grand hommage que vous pourrez rendre à Germaine Tillion et aux
Verfugbars.
JAROMIR KNITTL, METTEUR EN SCENE DU SPECTACLE
Né le 8 juin 1946 à Prague (Tchécoslovaquie)
Naturalisé français depuis 1981
Ancien élève au Conservatoire National Supérieur d'Art dramatique de Paris (Elève de Robert Manuel et d'Antoine Vitez
1968 – 1971)
Il a également la Maîtrise spécialisée en enseignement d'art dramatique de l’ Institut d’Etudes théâtrales de la Sorbonne Paris III.
Jaromir Knittl est un homme de théâtre complet.il enseigne
1972 - 1975 Conservatoire Municipal de Garges - les - Gonesses (Val d'Oise). - enseignement
1972 - 1980 Théâtre Paris Nord – direction et enseignement
1980 - 1982 Conservatoire National de Région d'Annecy - enseignement
1982 - 1985 Centre des Spectacles Villefranche - sur - Saône direction et enseignement
1985 - 1988 Ecole Florent Paris - professeur de 3 ème année.
2003 (depuis septembre) : Ecole de Théâtre/Danse/Comédie musicale le Nid'Andlau (Bas-Rhin)/Théâtre Piémont des
Vosges – direction et enseignement
Il dirige
1974 - 1980 Théâtre Paris Nord (actuellement Etoile du Nord) 75018 Paris
1982 - 1985 Centre des spectacles - Théâtre municipal de Villefranche-sur-Saône (Rhône).
1987 - 1988 Espace Culturel de La Chapelle-sur-Erdre (Loire Atlantique).
1999 - 2003 Théâtre Français de Prague (République tchèque)
Depuis janvier 2004 Théâtre du Piémont des Vosges
Mais aussi
1986 - 1988 Festival des Ecoles Théâtrales d'Europe
1988 – 1994 Eurothéâtre France.
1994 - 1999 Eurofilm Festival (St Etienne/France, Tirana/Albanie, Pardubice et Luhacovice /R.Tchèque).
Depuis août 2004 Festival Theatralsacace
LA MISE EN SCENE RESTE SON PRINCIPAL METIER ET SA PASSION
1970 - assistant d'Antoine Vitez (La mouette d'A. Tchékhov - Théâtre de Midi).
1972 - élève au CNSAD de Paris : Jack Lang choisit le spectacle de J.Knittl
« Le Cantique des Cantiques » de Jan Kopecky pour représenter la France au Festival mondial du théâtre de Nancy
(ce festival découvre également la même année Bob Wilson et Tadeus Kantor).
1972 (octobre) - première mise en scène professionnelle : « Le faiseur de pluie » de Richard Nash (théâtres municipaux de
Strasbourg, Colmar, Mulhouse, Belfort) avec Corinne Marchand, Jean Paul Zennacker, Henri Crémieux, Francis Perrin...
Depuis, Jaromir Knittel a signé une centaine de mises en scène. Dont LA SONATTE A KREUTZER ( plus de 50
représentations) et LA PRINCESSE DE CLEVES ( plus de100 représentations en France et à l’étranger)
APPERCU DES DERNIERES MISES EN SCENE (1995 - 2009)
- « La dernière bande » de Samuel Beckett (Le Mans, Lyon, Slovaquie, Tchéquie, 50 représentations) avec Ghislaine
Grillon.
- « La dernière nuit » de Didier Decoin (Le Mans, Lyon - 45 représentations) avec Hélène Arié puis Isabelle le Nouvel.
- « Roxane » oratorio parlé d'après Cyrano de Bergerac d'Edmond Rostand avec Claude Jade, Jean Paul Zehnnacker,
Ghislaine Grillon
- « La reine Margot » (écriture et mise en scène),
- « l’Aiglon » d’Edmond Rostand .
- « Le Bal des Jalupates » d’ après la comédie musicale « Cats », festival du théâtre francophone Festdivadlo de Brno 2007
( R.Tchèque), Théâtralis de Strasbourg, Cube noir, Andlau,…
Festival d’Avignon Off 2008 (Théâtre Atelier d’Amphoux)
- « Passagères » de Daniel Besnehard avec Ghislaine Grillon et Tiphaine Bader
- « Une maison d’enfants au cœur de la tourmente » de Jaromir Knittel et Ghislaine Grillon
- la premiere version de la mise en scene de « Le Verfugbar aux enfers » de Germaine Tillion.
Festival d’ Avignon Off 2009 (Atelier - Théâtre Porte Saint Lazare donc il est directeur)
- « Macbeth » de William Shakespeare
- « Il se passe quelque chose à Monopolis » d’ après Starmania de Luc Plamandon et Michel Berger. Chorégraphie de
Ghislaine Grillon.
PRIX
- 1972 – Premier prix des Rencontres des jeunes compagnies de Malakoff à égalité avec Gérard Gélas
- 1979 prix Eurothéâtre (Bonn - Allemagne) pour son spectacle (écriture et mise en scène) « La Princesse de Clèves »
- 1981 prix Charles Dullin pour la mise en scène de « La Sonate à Kreutzer »
- 1982 prix Istropolitana (festival international des écoles de théâtre de Bratislava) en Slovaquie pour la mise en scène de
l'adaptation scénique de « La Strada ».
- 2001 prix de l'Institut Français de Prague au festival international des lycées français et francophones Festivadlo de Brno
(R.Tchèque)
- 2003 prix Label 2003 du programme Socrate de l'Union Européenne et du Ministère de l'Education tchèque, pour la
mise en place de l’enseignement du français langue étranger en travers d’enseignement théâtrale (la mise en scène de
« Charivari dans la rue enchantée », réalisée dans le cadre de son enseignement. Son spectacle « La reine Margot »est
également « labellisé »).
- 2007 prix du meilleur spectacle pour « Le bal des Jalupates » d’après la comédie musical « Cats » Festival FESTDIVADLO
de BRNO (R.Tchèque)
- 2009 le GRAND PRIX franco tchèque pour « Il se passe quelque chose à Monopolis » d’ après Starmania Festival
FESTDIVADLO de BRNO (R.Tchèque)
- Parmi ses anciens élèves on trouve : Pierre Olivier Scotto, Philippe Crubezy, Emmanuel Depoix, Jean Philippe Sallerio,
Ghislaine Grillon, Julie Arnold, José Garcia, Lionel Abelanski, Isabelle le Nouvel ...
- Parmi les comédiens qu'il a dirigé : Corinne Marchand, Jean Paul Zehnnacker, Henri Crémieux, Francis Perrin, Bernard
Verley, Jean Roger Caussimon, Marthe Vilalonga, Michel Auclair, Dora Doll, Michel Favory, Pierre Santini, Jean Marais,
Robert Manuel, Claude Jade……
Lors de la générale presse de la pièce « Entre chiens et loups « d’ Isaac Babel pour l’inauguration du Théâtre Paris Nord
dont il assure la direction avec Michèle Laurence et la mise en scène de la pièce, il rencontre Genevieve Rozental et Elie
Georges Berreby. De là est né une amitié qui dure toujours. En 1981 il monte JONAS de Elie Georges Berreby au théâtre du
Vieux quartier de Montreux en Suisse avec Jean Philippe Weiss dans le rôle titre.
GHISLAINE GRILLON, ROLE DE GIGI
en alternance avec Cristina Sciaglotti.
Elle assure également la mise en mouvement du spectacle.
Débute sa formation artistique comme élève - comédienne, assistante à la mise en scène de théâtre, théâtre musical
et lyrique, en 1984-1985 au Centre des Spectacles de Villefranche-sur-Saône (69).
Ses Professeurs sont Mireille Antoine (marionnettes), Jacques Berthelon (chant, formation musicale) Jaromir Knittl (mise en
scène et travail d’acteur), Jacques Bruyas (écriture dramatique).
Mais aussi comme élève-danseuse, en 1982/1983 avec la compagnie Marie Ziguera (Lyon) puis en 1986 avec la
compagnie Dominique Bagouet (Montpellier)
Elle suit des cours et stages de danse avec :
En 1989/1990 Adeline Miller, 1990/1992 Francine Feirerra, Marie Lenfant (Le Mans), en 1999/2002 Marie Kinski (Prague)
2003/2004 Eric Lutz (Strasbourg), en 2005 la compagnie Les Pas nommés (Mulhouse), en 2006, Jean Gaudin (résidence
Strasbourg) et depuis 2005 Pia Freiberg (Strasbourg).
Depuis 1993, elle se consacre principalement à la vie de la troupe comme comédienne, troupe qui devient la sienne en codirection avec Jaromir Knittel.
Les principaux rôles qui ont marqué sa carrière sont :
FANNY dans LA DERNIERE BANDE de Samuel Beckett (avec Pierre Santini pour la voix). Mise en scène de Jaromir
Knittel.
ROXANE, oratorio d’après « Cyrano de Bergerac » d’Edmond Rostand, avec Jean-Paul Zennacker et Claude Jade.
Rôle titre. Mise en scène de Jaromir Knittel. Mai 2001, Maison de la Culture Prague.
RACHEL dans LE FANTOME DE MARSEILLE de Jean Cocteau – monologue. Mise en scène de Jaromir Knittel.
MADEMOISELLE PETIT PAS dans UN OUVRAGE DE DAMES, de Jean-Claude Danaud - Mise en scène de Jaromir
Knittel.
ANNA dans PASSAGERES de Daniel Besnehard – Mise en scène de Jaromir Knittel. Festival d’Avignon 2008
Elle s’est aussi beaucoup consacrée au travail de direction dans la décentralisation notamment au Palais des
Congrès et de la Culture du Mans (1990-1994)
Depuis 1994, elle est enseignante d’art dramatique
Lauréate du prix « Label » 2003 du programme Socrates de la Communauté Européenne
Elle co-dirige actuellement et enseigne à l’Ecole de théâtre, chant et danse du Théâtre de Piémont des Vosges (Barr
Alsace)
ALICJA JABLONSKA, RÔLE DE BEBE
Jeune comédienne polonaise, Alicja a choisi la France comme pays de résidence.
Sa formation et ses premières expériences professionnelles entre 1992 et 2006 se passent en Pologne au théâtre Miejski à
Gdansk.
Voici quelques titres des pièces dans lesquelles elle a joué, rôles principaux pou la plupart.
- Le petit prince (Maly ksiaze),
- La crèche d’un ange et d’un diable (Coroczne Jaselka aniolka i diabelka)
- Le dragon de la pastèque (Arbuzowy smok) participation au chœur
- Le singe (Malpa)
- Les chats et tout le reste (Koty i cala reszta)
- Les chats et tout le reste (Koty i cala reszta) avec enregistrement d’un CD avec les chansons du
Spectacle.
- La reine des neiges (Krolowa sniegu)
Le rôle de Bébé est son premier grand rôle au théâtre en France dans un cadre professionnel.
MARJORIE KERHOAS, ROLE DE MARMOTTE
Les débuts de Marjorie se font dans des Comédies musicales et durant dix ans elle joue au Centre régional de comédie
musicale de Haute-Normandie plus de 400 représentations en France (festival Le printemps des p'tits loups, festival off
d'Avignon 1993) dans les creations pour le jeune public « Mégalopolis, Pop'n'co, Parfum d'étoiles, Parfum de terre, L'heure
des fous.
2005 :
La maison de Bernarda Alba, (Federico Garcia Lorca) réalisé par Alicia Trueba. et dans Britannicus (Jean Racine) direction d’acteur Maxence Mailfort - Antoine Campo
2006 :
Le spectacle à remonter le temps - Antoine Campo - La Grande Bouvêche, Orsay.
La cantatrice chauve (Eugène Ionesco) - Antoine Campo
Dreams, théâtre corporel d’après Le songe d'une nuit d'été (William Shakespeare) - Alicia Trueba - Insolite Festival de la
Principauté Charlot.
Phèdre (Jean Racine) - direction d’acteur Maxence Mailfort - Antoine Campo
2007 :
Un ange passe - Antoine Campo.
L'enfant aux cheveux bleus, opéra jeune public - Antoine Campo - musique Michel Zbar - Théâtre Berthelot, Montreuil.
Cris et chuchotements (Ingmar Bergman) - Licinio Da Silva
Lettres d'amour aux enfants qui passent (Marie-Noëlle Gondry) - Antoine Campo - Printemps des poètes.
2008 :
L’intrusion d’après Les envahisseurs (Abe Kobo) - Juliette Prayer et Anne Losq
2009 :
Les amis de la débrouille chez cousine Dépensi’air - Richard Malègue - A la folie théâtre, Paris.
Au cinéma, on peut l’apercevoir dans plusieurs courts et moyens métrages et dans deux longs métrages
2008 :
Paname - Alessandro Avellis - long métrage - rôle d’une jeune militante « objecteur de croissance ».
Brussel - Texas - Quentin Montant et Renaud Skyronka - long métrage - Production Dominique Potenza/Association KM - rôle
d’Elodie, étudiante en cinéma présomptueuse.
Elle se lance aussi dans les spectacles de danse dont Mosaïques Sabir des mers du Sud chorégraphe Florence Pageault.
MARJORIE KERHOAS, ROLE DE MARMOTTE
Les débuts de Marjorie se font dans des Comédies musicales et durant dix ans elle joue au Centre régional de comédie
musicale de Haute-Normandie plus de 400 représentations en France (festival Le printemps des p'tits loups, festival off
d'Avignon 1993) dans les creations pour le jeune public « Mégalopolis, Pop'n'co, Parfum d'étoiles, Parfum de terre, L'heure
des fous.
2005 :
La maison de Bernarda Alba, (Federico Garcia Lorca) réalisé par Alicia Trueba. et dans Britannicus (Jean Racine) direction d’acteur Maxence Mailfort - Antoine Campo
2006 :
Le spectacle à remonter le temps - Antoine Campo - La Grande Bouvêche, Orsay.
La cantatrice chauve (Eugène Ionesco) - Antoine Campo
Dreams, théâtre corporel d’après Le songe d'une nuit d'été (William Shakespeare) - Alicia Trueba - Insolite Festival de la
Principauté Charlot.
Phèdre (Jean Racine) - direction d’acteur Maxence Mailfort - Antoine Campo
2007 :
Un ange passe - Antoine Campo.
L'enfant aux cheveux bleus, opéra jeune public - Antoine Campo - musique Michel Zbar - Théâtre Berthelot, Montreuil.
Cris et chuchotements (Ingmar Bergman) - Licinio Da Silva
Lettres d'amour aux enfants qui passent (Marie-Noëlle Gondry) - Antoine Campo - Printemps des poètes.
2008 :
L’intrusion d’après Les envahisseurs (Abe Kobo) - Juliette Prayer et Anne Losq
2009 :
Les amis de la débrouille chez cousine Dépensi’air - Richard Malègue - A la folie théâtre, Paris.
Au cinéma, on peut l’apercevoir dans plusieurs courts et moyens métrages et dans deux longs métrages
2008 :
Paname - Alessandro Avellis - long métrage - rôle d’une jeune militante « objecteur de croissance ».
Brussel - Texas - Quentin Montant et Renaud Skyronka - long métrage - Production Dominique Potenza/Association KM - rôle
d’Elodie, étudiante en cinéma présomptueuse.
Elle se lance aussi dans les spectacles de danse dont Mosaïques Sabir des mers du Sud chorégraphe Florence Pageault.
CRISTINA SCAGLIOTTI, RÔLE DE GIGI
en alternance avec Ghislaine GRILLON
Comédienne, danseuse, chanteuse, musicienne italienne qui a choisi la France comme pays de
résidence et de travail. Née à Turin le 30 Août 1969. Elle vit à Paris depuis 1997.
Sa formation s’effectue auprès des professeurs les plus prestigieux en France et en Italie :
Raul Manso, A.Sixty,M.Sidth , D. Manfredini, P. Manfredi, A. Basilisco et
R. Magherini à Milan
Carolyn Carlson et Joseph Russillo à Paris
Joue, danse et chante les rôles aussi divers et passionnants dans les
spectacles suivants :
2001/2002 “Pierre et Monica” chorégraphie de Gianni Joseph: La Rochesur-Yon / CNDC Angers (comédienne, chanteuse danseuse)
2000/2001 “Martha Graham”. Un monologue d’Ellen Melaver. Mise en
scène de Mendy Younes: Théâtre de Prague / Théâtre Proscenium -
Paris / Festival Off d’Avignon (monologue)
1997/1999 “Dall’interno” chorégraphie de Carolyn Carlson - Tournée
Franco/Italienne (comédienne, chanteuse et danseuse).
1992 “Le Antigoni della Terra” mise en scène de Marco Baliani,
chorégraphie de Antonella Bertoni et Michele Abbondanza – Bologne
(spectacle itinérant)
2009 “Trou de mémoire à Arras” mise en scène de Jean Claude
Rousseau. Compagnie « Les Héritiers »
2008 « Face à face” une création de Farah Khosravi avec la Compagnie
Odyssée Art contre les violences faites aux femmes (comédiennechanteuse-danseuse) Vitry-sur-Seine
2008 “Trou de mémoire à Abbeville” mise en scène de Jean Claude
Rousseau. Compagnie « Les Héritiers »
2008 « Trou de mémoire à Val D’Yerres » mise en scène de Jean Claude
Rousseau. Théâtre de Brunoy. Compagnie « Les Héritiers »
2007 “La Plage” de Peter Asmussen, mise en scène de M. Blasi
(Compagnie Extramondo). Festival « Identità e passioni » Milan, Italie.
Rôle: Benedicte
2006/2007 “Don(a) Juan(a)” de Molière/Verschueren, mise en scène de
P. Verschueren (Compagnie Ephéméride). Festival Coté Jardin (Val de
Reuil) ; Théâtre du Lierre, Paris. Rôles : Petra/Dona Louisa.
2006 “Phèdre” de Sénèque, mise en scène de Maurizio Panici, Festival
« Teatro dei due Mari » – Théâtre Grec de Tyndaris, Sicilie-Italie.
2004/2006 “La Veuve rusée” de C. Goldoni, mise en scène de Marco
Bernardi – Teatro Stabile di Bolzano – Tournée Italienne. Rôle: Eleonora
2003/2005 “La puce à l’oreille” de G. Feydeau, mise en scène de Marco
Bernardi – coproduction de: Teatro Stabile di Bolzano et Teatro di
Sardegna – Tournée Italienne. Rôle: Antonietta
1998 “La più forte” de A. Strindberg, mise en scène de M. Navone /
Festival “Gli atti unici de Strindberg”, Turin. Rôle: Amélie
1995 “Il pianeta Gutenberg”, spectacle organisé par la Mairie de Milan
pour les écoles. Rôle: Peter Pan
1993/1994 “Beds” de M. Clericetti et A. Meazza, mise en scène d’A.
Meazza. Compagnie de « I Fuori Luogo ». Spectacle de Théâtre Cabaret
1990 “Cinque serate ecologiche in difesa della specie attore” mise en
scène de Raul Manso / Teatro dell’Elfo – Milan (comédienne, chanteuse
et musicienne)
Au CINÉMA et a la television on a pu la voir dans les films :
1997 “Luna e l’altra” réalisation de M. Nichetti. Rôle: jeune prostitue dans
l’après-guerre 45
1996 “Rape” réalisation de Lele Panzeri – court-métrage
1995 « L’amico inquietante » réalisation de F. Setter. Long-métrage
2003 « Hello Ferre » réalisation Thierry Kubler/Grenade Productions et
Gemsel Productions – avec la participation de France 2 et France 5
1999 “Le monde selon Glup” réalisation de R. Mercier / Canal + France
1996 “Fanzine, giovani fogli video” de M. Giusti, réalisation de G. De
Simone / Italia 1. Rôle: conductrice et actrice de l’émission
1995 “Dove sono i Pirenei?”. Emission présentée par R. Cancellieri / RAI
3 – chanteuse
1994/1995 “Scherzi a parte” 4 episodes – Italia 1
MICKAËL WINUM, ROLE DU NATURALISTE
Il est élève de l’école de théâtre le NID’ANDLAU (ETNA-Bas Rhin) de 2005 à 2008.
Après avoir obtenu un Baccalauréat série « L » option Théâtre avec mention bien en 2008 au Lycée Edouard Schuré de Barr
(67), il décide de continuer le théâtre et devenir comédien professionnel. Il est encouragé dans cette voie par son professeur
Jaromir Knittel.
Il est récompensé du prix pour la meilleure interprétation du rôle titre dans L’ AIGLON d’Edmond Rostand, lors des
rencontres nationales de théâtre à Charleville – Mézières en 2007.
Au FESTIVAL D’AVIGNON 2008, au Théâtre Les Ateliers d’Amphoux, il se fait remarquer dans le rôle de Théo dans UNE
MAISON D’ENFANTS AU CŒUR DE LA TOURMENTE de Jaromir Knittel et Ghislaine Grillon et au FESTIVAL D’AVIGNON
2009 au Théâtre Porte Saint dans rôle titre de MACBETH de William Shakespeare, mise en scène de Jaromir Knittel ainsi
que dans le rôle du Businessman Zéro Janvier dans IL SE PASSE QUELQUE CHOSE A MONOPOLIS d’ après
STARMANIA de Luc Plamondon et Michel Berger, chorégraphie de Ghislaine Grillon.
Il fait sa première apparition au CINEMA dans LE JOUR VIENDRA réalisation de Suzanne SCHNEIDER production
Allemagne/France société UNLIMITED avec Iris Berben et Katarina Schuttler (2008).
Il est actuellement sous contrat avec la compagnie LE THEATRE DU PIEMONT DES VOSGES.
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