1 - Qu`est ce que vous voulez dire quand vous dite le

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Réchauffement climatique ou variation climatique naturelle ?
Pour savoir et comprendre s’il y a un réchauffement climatique à cause du CO 2
industriel par «l’effet de serre» il faut avoir une réponse sur les questions ci-dessous
avec des valeurs mesurées et chiffrées sur certaines.
1 – Sur quels critères est basé le réchauffement climatique modèle IPCC/GIEC et le protocole
de Kyoto?
2 - Comment vous expliquez vous même « un effet de serre » ?
3 - Qu’est que c’est un gaz à effet de serre ?
4 - Connaissez vous la masse atmosphérique exprimé en tonnes? Où au m².
5 – De quels gaz est composé l’atmosphère et dans quelles proportions ? Quelle est la
température moyenne de l’atmosphère à la surface de la Terre ?
6 – Comment sont réchauffés ces différents gaz dont l’atmosphère est composée ?
a - Selon des calcules thermiques. - b – selon les mesures par des laboratoires spécialisés en la matière. - c - Et ensuite selon le modèle du GIEC.
7 – Combien d’énergie solaire faut il à l’entrée de l’atmosphère pour réchauffer une colonne
d’air atmosphérique au m²
8 - Quel est le rôle principal du dioxyde de carbone, ou CO2, dans la vie terrestre ?
a – gaz à effet de serre ?
b – gaz qui joue un rôle dans la production de nourriture humaine et dans la végétation en
général ?
9 – Quelle est votre vision sur l’énergie actuelle et avenir ?
Essayez d’abord de répondre vous-même à ces questions et ensuite, comparez vos réponses avec les résultats suivants qui sont la suite d’une étude assez élaborée en la matière.
On a pris l’habitude de ne plus s’interroger sur cette question, c’est devenu évident que le
CO2 est un gaz à effet de serre et qui provoque un réchauffement climatique, et c’est tout.
Mais est ce vraiment « TOUT » ?
Personnellement en ayant travaillé comme responsable d’un bureau d’étude, durant quelques dizaines d’années, spécialisé dans le climat sous serre, des serres professionnelles
dont il y a ± 25 000 ha repartis dans le monde entier, en collaboration avec d’autres
thermiciens, ingénieurs agricoles, informaticiens et producteurs, j’ai trouvé les résultats ci
dessous.
1 – Le réchauffement climatique supposé, est basé sur des mesures qui Il y a cent ans étaient
effectuées avec des thermomètres non calibrés et posé de façon anarchiques, a seulement
une centaine d’endroits repartis sur les continents et non pas sur les océans. Et n’ont par
conséquent pas donné des informations crédibles. Depuis les années cinquante les mesures
sont devenues plus sérieuses mais même actuellement les résultats sont discutables, on
avance tout de même le rehaussement à 0,6 °C, une valeur plutôt hypothétique
On a constaté une augmentation de teneur en CO2 qui était ± 280 ppmv en 1890 et actuellement environ 370 ppmv donc une augmentation de 90 ppmv en extrapolant en supposant
que le CO2 est principalement responsable de la température terrestre, ce qui est le cas pour
le GIEC (voir son rapport de 2007) et on trouve une augmentation de ± 2,5 °C, mais ceci est
1
selon une méthode de calcul développé par moi-même et confirmé par des résultats des
mesures du CNRS, l’ENS et d’autres instituts (ci-dessous) un peu trop simple et scientifiquement pas acceptables.
Il faut savoir que la Terre qui est enveloppée dans son atmosphère, et voyage autour du
Soleil dans le système Solaire, le système Solaire se déplace dans la voie Lactée, et la voie
Lactée à son tour dans l’Espace. Il parait que la Terre se déplace avec une vitesse de 620
km/sec par rapport à un point donné. Et que l’atmosphère terrestre est réchauffée par le
Soleil avec une température de environ 6000 °C à sa surface, et refroidie à l’opposé par
l’Espace ou la température approche les – 273 °C, soit un ∆ t de 6 273 °C, donc une variation
de 0,6 °C ou 0,095 ‰ à la surface de la Terre. Une augmentation de 0,6 °C en cent vingt
ans, cela ne s’appelle pas un réchauffement climatique mais une variation climatique
naturelle.
2 - La serre réelle, professionnelle, n’à rien à voir avec « l’effet de l’atmosphère » ni avec le
petit abri en verre de M. Arrhenius (1857 à 1927) chimiste Suédois, qui a constaté, qu’aux
premiers rayons solaires la température y montait assez vite et la température y était tenue
plus long temps. Il a cru que les verres sont opaques aux rayons infra rouges et cela devrait
être aussi le cas pour le CO2. Voila l’origine de lier le CO2 avec la température terrestre et de
l’appeler l’effet de serre.
Dans des serres réelles on constate que les rayons infrarouges traverseront et retraverserons les vitres, dans certains spectres notamment les rayons rouge et Infra Rouge (IR) de 0,5
à 2,4 µm, jusque à 96 % mesuré dans des laboratoire spécialisées, mais aussi les IR à 10
µm constaté avec une caméra infrarouge. Ceci contredit formellement l’idée de M .Arrhenius
et donc l’effet de serre. (Le rayonnement solaire est une matière très complexe mais inévitable pour
comprendre le fonctionnement du climat).
3 – Quand il n’y a pas d’effet de serre, c’est évident, il n’y a pas des gaz à effet de serre non
plus. En revanche il y a des gaz à effet d’atmosphère qui protégent la Terre contre, (le trop)
des rayons solaires et le refroidissement vers l’espace, provoqué par la réémission infrarouge (vers le – 273 °C) par le mouvement de la Terre dans l’Espace (avec une vitesse de
620 km/sec.).
La Terre se déplace dans une zone ou règne apparemment une température de – 230 °C, car
c’est aussi la température à la face opposé au Soleil sur la Lune, il est à noter que la Lune
tourne en moyenne à la même distance que la Terre autour du Soleil et reçoit par conséquent la même quantité d’énergie solaire et effet de refroidissement. La différence est que la
Lune n’a pas d’atmosphère.
4 – La masse atmosphérique est de 5 100 000 milliards de tonnes, la pression atmosphérique
est 1 kg/cm² soit ± 10 000 kg/m². Voir tableau ci-dessous.
5 – La réponse va un petit peu plus loin que la question, le tableau indique également les
valeurs énergétiques que représentent les différents gaz composant l’atmosphère mais aussi
la température que garantit chaque gaz dans notre climat.
Tableau de caractéristiques des gaz atmosphériques
Composition
ppmv
masse kg/m²
O2
20,95 %
2 322,36
N2
78,11 %
7 568,80
Ar
0,93 %
122,56
H2O (variable)
0,35 %
16,32
CO2
0,037 %
5,60
CH4
0,01 %
0,01
Total
10 035,65
énergie %
21,13
77,86
0,63
0,32
0,04
0,01
Wm² /∆t 33°C
19 656
72 800
584
299
42
0
92 569
°C
spectre d’abs.
6,99
759/767 nm
25,69
/
0,21
/
0,11
8/15 µm
0,0145 15/45 µm
0,0033
/
33,022
/
1 nm= 1/10-9m, 1 µm = 1/ 10-6 m
2
Les gaz représentés dans le tableau absorbent chaque jour l’énergie solaire infrarouge dans
des différents spectres, et l’énergie capté la journée est réémise la nuit vers l’espace, l’été la
Terre absorbe et stocke tous les jours un peu d’énergie, mais est réémis l’hiver de façon que
la température moyenne à la surface de la Terre soit de 15 °C ou 288 K.
Le tableau est une approche thermique d’une colonne atmosphérique de 1 m², que j’ai établi pour comparer et comprendre ce qu’avance le modèle Arrhenius/ GIEC* pour justifier leur
réchauffement climatique. Il sert de modèle pour répondre aux questions ci dessous. (L’IPCC
et GIEC en France « Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat »)
6 a Les résultats par calcul thermique, le tableau ci-dessus donne les valeurs d’une façon
précise. La chaleur spécifique de l’air atmosphérique est officiellement 1000 J/kg/K soit 0,277
Wh/kg.K, le total dans le tableau donne ce même résultat.
6 b Toutes les matières solides ou gazeuses sans exception exposées aux rayons électromagnétiques solaires ont un spectre d’absorption dans l’infrarouge proche et / ou lointain,
c'est-à-dire qu’il y a une transition énergétique par la vibration des molécules, mais dans des
spectres différents selon la matière.
Je me permes d’expliquer à ma façon une matière extrêmement complexe aux non initiés en
quelques mots. Qu’est que c’est l’émission électromagnétiques solaire ? Le soleil émet tous
ses rayons électromagnétiques avec une vitesse de 300 000 km/sec., c’est uniquement la
fréquence qui varie, les rayons portent des photons qui réchauffent la matière solide et des
gaz, qui se trouvent dans les spectres de 0,78 µm à 3 µm, appelés rayons infrarouges. Audelà de 3 µm le soleil émet encore des IR (jusque à 30 µm) mais l’intensité est extrêmement
faible dans ces spectres selon Pierre Pédelaborde*. La Terre réémet à partir de 10 µm !!
Par exemple pour l’oxygène (O2) les spectres d’absorption sont de 0,759 et 0,767 µm* cela
veut dire que les photons dans ce spectre (à ± 3 542 °C), réchauffent les 2 322 kg/m² d’oxygène directement. (* Selon des mesures effectuées par l’appareille de mesure de la diode laser de
« Vaisala » site www.vaisala.fr)
Ceci doit être aussi le cas pour le 7 569 kg/m² d’azote (N2), dont je n’ai pas encore trouvé le
spectre mais qui doit ne pas être loin de celui de l’oxygène. Je me permets cette supposition
car, vu l’énergie notamment 72 800 Wm² naissescaire pour qu’un thermomètre qui mesure
l’ensemble des gaz atmosphérique, (et non seulement les GES) indique 15 °C doit absorber
dans les rayons IR hautement énergétique. L’absorption et réémission de l’azote dans les
spectres de 4 à 14 µm est très faible. (Voir les mesures de M. Jaques Gentilly de l’ENS de Lyon)
Dans le tableau l’O2 et l’azote (N2) représentent 99 % dans la masse atmosphérique et en
énergie, absorbent et réémettent 92 456 W/m² et garantissent 7 + 25,7 = 32,7 °C sur le ∆t de
33°C, qui est celle de la Terre.
Les spectres d’absorption et réémission du H2O en tant que gaz atmosphérique sont entre
2,7 et 6,3 µm (187 °C) et plus faible jusque à 15 µm (-79 °C) et représentent en masse16,32
kg/m², absorbent et réémettent 299 Wm² et garantissent 0,106 °C dans le bilan des
températures. Mais le H2O comme vapeur d’eau sous forme de nuage peut rabaisser la
température 6 à 8 °C, le H2O est donc un régulateur climatique très important.
Remarque ; L’H2O absorbe et réémet donc de 2,7 et 6,3 µm et à partir de 15 µm, (selon André
Berger « le Climat de la Terre ») et est donc réchauffé directement par le soleil et presque pas par
la rémission IR de la Terre. La Terre réémet entre 10 et 11,3 µm (-18 à 15 °C), et le H2O n’est
donc même pas un (gaz à effet de serre) dans le modèle du climat GIEC. (Voir annexe).
Ensuite le dioxyde de carbone CO2 a une masse de 5,6 kg/m² dans le tableau, et absorbe et
réémet que 42 W/m², et représente seulement 0,0145 °C dans le bilan climatique.
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Il ne serait pas prudent de se fier à un seul résultat, j’ai cherché confirmations dans les
résultats des laboratoires spécialisés qui confirment les valeurs du tableau, et l’ENS de Lyon
publie que le CO2 absorbe et réémet à 4,2 µm (417 °C ou 690 K) et à ±15 µm (- 80°C). Ceci
signifie que selon l’ENS la Terre qui réémet des rayons infrarouges entre 10 et 11,3 µm, le
CO2 n’absorbe pas dans ses spectres et n’est donc même pas un (gaz à effet de serre) dans
le modèle GIEC.
L’ ACMG, (Centre expérimentale Climat de la filière Fruits et légumes du bassin du Grand
Sud-Ouest) ont trouvé que le CO2 absorbe et réémet 8 W/m² à +/- 10 µm donc à environ 15
°C. Si la surface de la Terre émet des rayons infrarouges c’est à ±10 µm. L’effet de serre
selon l’ACMG serait de 8 W/m², et ne produit même pas l’énergie d’un bougie de gâteau.
Des chercheurs du CNRS dans les services météorologiques notamment Mr. Bernard Legras, Jean Dufresne et Gérard Megie qui répondent a une question en 2003 : Ceci explique
que le doublement du gaz carbonique de 350 à 700 ppmv ne conduit qu’à un apport
d’énergie supplémentaire de 4 Wm² * alors que l’effet actuel (350 ppmv) est d’environ 50
W/m². »
Constatation : Quatre sources différentes indiquent que les ± 370 ppmv de CO2 absorbent et
réémettent 42 à 50 Wm² dans l’atmosphère et l’ACMG et le CNRS ont précisé d’avantage et
disent 8 et 4 Wm² dans le 10 µm. Aucune des sources indique, comme constatée dans les
serres, la présence de l’énergie qui justifie l’effet de serre du modèle Arrhenius/ GIEC.
Selon le formule de Stefan notamment « E = σ T4 = 0,56 cal/cm²/min. (T =273 K)» soit 389
W/m² c’est l’énergie réémise en rayons infrarouge à partir de 10 µm et au delà, par la surface
de la Terre vers le -273 °C, et selon les données de l’ ACMG, (389 – 8) = 381 W/m², et (3890,00) = 389 W/m² selon l’ENS, traversent l’atmosphère vers l’espace sans avoir un impact
énergétique sur le climat terrestre,. Donc toujours pas de trace de l’effet de serre.
Le modèle de l’effet de serre d’Arrhenius/IPCC/GIEC ; Comme dans les serres on n’a pas
constaté l’effet de serre, ni dans les données ci-dessus, il est difficile d’expliquer quelque
chose d’inexistant, donc je cite l’explication de Mr. Laurent Li du CNRS chargé de recherche
du Laboratoire Météorologique Dynamique à Paris, dit a propos de l’effet de serre basé sur
des données du GIEC ;
« Il est intéressant de noter ici que l’atmosphère n’est pas directement chauffée par le soleil
venu du haut, mais plutôt par la surface (de la Terre) » et ensuit il écrit : « l’azote 78 % et
l’oxygène 21% n’ont pratiquement aucun rôle dans le bilan énergétique de la Terre ».
Gardons cette idée comme interprétation moderne de l’effet de serre modèle Arrhenius/
GIEC.
M. Laurent Li du CNRS dit en autres mots, que l’atmosphère est réchauffe par la réémission
de l’énergie infrarouge de la Terre et que l’azote et l’oxygène, qui représentent tout de même
99 % de la masse atmosphérique ne jouent aucun rôle dans le climat. !?!?
Avec ce qui est établi en 6b, on constate que O2 et le N2 sont chauffés directement par le
soleil et le soit disant effet de serre l’IPPC/ GIEC est donc en réalité 0,00 ou 4 ou 8 W/m², et
représente aux maximum 0,002 °C dans le bilan climatique.
En admettant que le taux de CO2 a cause de l’émission industrielle double dans les 100 ans
à venir, ce qui n’est pas sûr du tout, le réchauffement « catastrophique » de 2,4 à 6 °C
annoncé par M. Al Gore en collaborant avec le GIEC (prix NOBEL en 2007), sera probablement
l’erreur scientifique du 21 ème siècle. Et provoquera un dégât économique considérable en
récupérant et stockant le CO2 industriel, une mesure coûteuse et absolument inutile.
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7 – L’énergie pour réchauffer l’atmosphère. Dans le tableau on peut lire que pour réchauffer
et maintenir la colonne d’air atmosphérique de 10 000 kg/m² de – 18 à 15 °C, c’est la
température moyenne admise en général à la surface de notre planète, doit être ≥ 92 569
W/m².
8 – Le gaz CO2 comme indique le tableau ci-dessus et selon les autres informations ne joue
pas un rôle mesurable dans le climat. En revanche le gaz CO2 joue un rôle indispensable
dans la végétation, par exemple pour produire 1 kg de blé il faut que les feuilles des plants
extraient ± 5 kg de CO2 de l’air atmosphérique par la procédure de la photosynthèse, sans
CO2 il n’y a pas de végétation et pas de vie ni sur les continents ni dans les océans.
Conclusion : Le CO2 ne joue pas un rôle mesurable dans la température terrestre en tant que
gaz. En revanche une augmentation du taux de CO2 accroît la végétation, on a constaté dans
une serre une croissance de production jusque à 30 %, et en Amérique du Sud on a
constaté que les arbres poussent plus vite et la production du blé et maïs ont augmenté
depuis une vingtaine d’années. Ceci dit qu’une augmentation du taux de CO2 augmente la
végétation et abaisse l’albédo et donc en principe la température terrestre.
9 – La priorité de mon étude n’est pas seulement de démontrer que le CO2 n’est pas un gaz a
effet de serre, mais surtout de faire savoir que tous les gaz composant l’atmosphère, sans
exception, sont réchauffés par le soleil, et de toute évidence c’est le cas, ceci signifie que à
l’extrême de l’atmosphère le soleil doit au moins produire l’énergie pour réchauffer l’atmosphère notamment 92,5 kW/m². ou 333 MJ/m²/h
Ceci a une importance absolue pour l’avenir humain, l’ère de l’énergie fossile s’approche de
la fin et l’énergie renouvelable actuelle ne répond pas à la demande humaine mondiale,
l’énergie solaire dans l’hémisphère nord avec un ensoleillement de 55 à 70 heures par mois
en hiver, les panneaux solaire thermique et photovoltaïques durant ces mois n’est qu’un feu
de paille. L’énergie éolienne est dans les régions venteuses une solution à moyen terme intéressante, mais ne répondra jamais à la demande énergétique totale, loin de la.
L’énergie nucléaire par fission en attendant, répond mieux à la demande mondiale, et est
une solution à moyen terme acceptable sous condition que les exploitants respectent et
améliorent les mesures de sécurité et maîtrisent le traitement des déchets nucléaires mieux
que actuellement. Et on n’en parle plus, des guerres comme au 20 ème siècle causeraient des
dégâts dans tous les domaines quasi insurmontables.
Mon avis sur la situation énergétique actuelle, je précise, n’est qu’un avis personnel, et, vu
l’enjeu énorme énergétique mondial, à lire avec réserve ! Pour ce qui est avancé ci-dessous
je m’engage davantage, et pourrait être la réponse définitive sur le défi énergétique mondial.
Aux USA et Japon ils ont développé des projets de captage de l’énergie solaire en altitude
avec des panneaux photovoltaïques, même placés sur la Lune, car le transport par microondes semble une solution pour le transport de l’énergie électrique applicable, d’ailleurs sur
l’île de la Réunion il y a déjà une réalisation française de transport de l’électricité de ce genre,
timide, mais réelle.
Mais les projets sont restés dans un tiroir car on pense toujours que la Constante Solaire à
l’extrême de l’atmosphère, selon C.G. Abbot et d’autres, n’est que 1,95 cal/gr/cm²/min. soit
1,358 kW/m², et donc pas suffisamment pour l’exploiter. Personnellement j’ai constaté 1,56
kW/m² à la surface de la Terre. En opérant à l’université de Montpellier M. Hansky en 1897 à
trouvé 3,4 cal/gr/cm²/min. soit 2,368 kW/m² aussi à la surface de la Terre en ayant traversé et
en réchauffant la colonne d’air atmosphérique de 10 000 kg/m². Donc on a intérêt à penser
que le 1, 358 kW/m² d’ Abbot ne peu pas être juste.
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Admettons que c’est donc le 92,5 kW/m² qui est une réalité, dans ce cas nous avons notre
source d’énergie renouvelable, inépuisable, et non polluante. En captant l’énergie solaire
photovoltaïque en altitude avec un panneau de 600 km² et un rendement de 20 % on peut
répondre à la demande mondiale d’énergie actuelle. Cet exemple est bien sûr hypothétique
et uniquement pour se faire une idée ce que représente cette source d’énergie inépuisable et
exploitable
Bien sûr le panneau photovoltaïque qui capte 20 % de 92,5 kW/m² soit18,5 kW/m² n’existe
pas encore mais même avec un rendement moindre, l’énergie solaire en altitude c’est exploitable et on a déjà des expériences photovoltaïques dans l’espace avec les vaisseaux
spatiaux, et le transport de l’énergie électrique par micro-ondes existe.
Le projet ITER, la fusion nucléaire à Cadarache, qui a le mérite à mon avis d’être essayé,
mais le résultat de réussite est beaucoup moins sûr que le projet de l’énergie photovoltaïque
en altitude, car finalement ce qu’on tente de faire à Cadarache, le soleil l’a déjà fait.
Au titre d’information en faisant l’étude dont sont extraites les données ci-dessus j’ai tenu
compte des lois et formules physiques de Stefan, Kirchhoff, Planck, Wiener etc., qui n’ont
pas tenu compte de la masse atmosphérique et donc, pas, ou seulement partiellement
applicables dans le climat terrestre.
L’auteur, Jean de Bloois
Annexe 1
Spectre d'absorption et émission du CO2 et H 2O
IR 8 à 15 µm
T= °C
CO2/ Wm²
160
H20/ Wm²
140
120
100
80
60
40
20
zone
d'émission de
la Terre
0
-20
-40
-60
-80
Ce graphique est composé avec des données (voir 6 b) et met en évidence les valeurs de l’absorption
et l’émission des rayons infrarouges dans le spectre ou la Terre les émet, notamment entre – 18 et 15
°C les barres rouge représentent le CO2 et les jaunes le H2O, on constate clairement que ni l’un ni
l’autre intervient ou produit l’énergie qui réchauffe le climat. La réémission en rayons infrarouges de
la Terre passent sans encombrement vers l’espace.
La zone d’émission de la Terre est aussi ce qu’appel le IPCC/GIEC la zone du soi-disant « effet de
serre » ou devrait se produire le réchauffement climatique de 2,4 à 6 °C à cause du CO 2 industriel.
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