Mondialisation et interdépendances
Biblio : Doc photo : La mondialisation en débat n°8037
Le Monde dossiers et documents n°350 sur les migrations (fév. 2006)
Le Monde dossiers et documents n°347 sur les délocalisations (nov 2005)
Le Monde dossiers et documents n°340 sur drogues et mondialisation (mars 2005)
Le Monde dossiers et documents n°334 sur l’altermondialisation (sept 2004)
Intro : qu’est ce que la mondialisation ?
La mondialisation est le fruit d’un processus d’extension du Ksme occidental ds l’espace
mondial, qu’on peut dater des Gdes Découvertes (mise en relation de plusieurs continents). La
mondialisation est la mise en relation généralisée des différentes parties du monde, d’abord
par les échanges puis par l’internationalisation de la production qui multiplie les flux de tte
nature.
Plusieurs étapes : internationalisation (flux d’exportation depuis le XIXe), transnationalisation
(depuis 45 avec essor des IDE et des implantations à l’étranger), et globalisation depuis les
80’ (réseaux m/x de production et d’information). C’est dc un système de plus en plus ouvert,
où la mise en concurrence des territoires s’accélère, et ce d'autant plus depuis la conversion de
la Chine à l’éco de marché ds les 80’ et le fin du communisme. Depuis les 50’, la
mondialisation prend des formes nv, qui touchent à l’éco, au po et au culturel. Système monde
qui s’articule en ss ensembles ss le modèle centre périphérie, Nord/ Sud. A ne pas
confondre avec globalisation qui désigne plus les carac spécifiquement éco et fi de la
mondialisation, qui est un processus plus global, même si les économistes associent les deux
mots. Les géographes définissent la mondialisation comme le rapprochement des individus,
des lieux et des sociétés au niveau mondial, avec l’accroissement des flux (d’hommes, de K,
d’idées, de m/ses), notamment grâce à une maîtrise de plus en plus importante de la distance.
On peut désormais être très éloigné topographiquement et en même tps très proches en termes
de niveau de vie, de centres d’intérêt (Internet). Comment se traduit spatialement la
mondialisation ?
I/ Des flux de plus en plus nb
C’est la combinaison de ts les flux qui entraîne la dynamique de la mondialisation
A/ Flux financiers et commerciaux
Comment expliquer la forte augmentation et la mondialisation des flux financiers et
commerciaux ?
L’essor des échanges internationaux est continu : en 2002, les é/ges de m/ses s’élèvent à 6400
milliards de dollars et celui des services à 1500 milliards, soit 25% du PIB mondial. Dps
1990, les trafics aériens et maritimes ont augmenté de 40%. Réduction distance-tps grâce aux
progrès technique : gros porteurs aériens, porte-conteneurs (le coût du transport devient
presque négligeable ds le coût final du produit). Cet essor des é/ges s’explique par une hausse
importante de la pop m/le et par une amélioration généralisée des niveaux de vie dans le
monde.
Marché financier planétaire car syst de communication qui relie les places fi 24h sur 24
(Tokyo, HK, Singapour, Londres, Francfort, Paris, Zurich, NY et Chicago). Logique
spéculative qui domine la mondialisation. Sur le marché des changes, le volume des é/ges a
été multiplié par 7 depuis 1985 pour atteindre 1500 milliards de dollars par jour en 2005. Les
K circulent essentiellement entre les pays du N. Moins du quart des IDE parvient aux pays du
Sud (en fait une dizaine de pays qui en concentrent 70 % dont 25 % pour la Chine. Les IDE
des FMN nécessitent des volumes de K très importts qui vont être sollicités par ts les moyens
(épargne des particuliers, excédents financiers des pays de l’OPEP qui ont placé la moitié de
ces excédents ds des banques occidentales (pétrodollars)
DOC 1 p 18 : peut-on établir un lien entre diaspora et IDE ?
Voir livre
B/ Flux migratoires
Doc 1 , 2 et 4 p 14-15 : répondre aux questions 1, 2,4 du livre
Mobilité croissante des hommes fav par la multiplication des moyens de transport. Extension
mondiale des flux migratoires, ce qui entraîne une cosmopolitisation des métropoles. Flux de
main d’œuvre qualifiée (brain drain) ms aussi réfugiés (flux S/S). Selon le fonds des Nations
Unies pour la pop, le nb de pers vivant ds un autre pays que leur pays natal serait passé de 75
M en 1965 à 150 M en 2000. Il s’agit de 2 % de la pop m/le, une proportion qui n’a pas bcp
changé depuis la seconde guerre mondiale. Sur ces 150 M, les 9/10e auraient migré pr des
raisons éco, le 1/10e pr des raisons po. Parmi les migrants, les WM manuels font place aux
personnes qualifiées et les femmes st de plus en plus nb (la moitié environ). Importance de
cette émigration car la valeur totale des transferts financiers des émigrés vers les PVD a
atteint 80 milliards de dollars en 2002, soit le double de l’aide accordée par pays riches. Les
expatriés contribuent pour 10 à 20% au revenu annuel de la Yougoslavie, de la Jamaïque, de
l’Albanie ou du Nicaragua. Le boom des industries de pointe à Bangalore doit bcp aux
expatriés qui, après avoir accumulé de l’expérience ds la Silicon Valley en Californie, ont
réinvesti une fois rentré au pays.
HCR créé en 1950 pr réinstaller les 400000 réfugiés européens d’après la 2e GM. En 2005, le
HCR compte 15 M de personnes ss sa compétence. Un réfugié est un individu qui craint
d’être persécuté. Les Afghans st actuellement le flux de réfugiés le plus important ds le
monde : ils st 4 M . Les pays d’émigration st l’Asie du SE et de l’E, surtt Chine et
Philippines ; Mex, Cuba et Haïti ; Maroc, Turquie et Yémen ; Europe centrale et orientale.
Deux groupes de nations exercent une puissante attraction planétaire : Am du N : les EU
accueillent 35 M de migrants et Europe de l’O. Attraction régionale pr le Japon, l’Australie et
l’Arabie Saoudite.
Flux S/S, qui s’opèrent contre la volonté des pays d’immigration. Ils st dus à des guerres, des
cata naturelles, à la crise éco. 1M de pers déplacées au Rwanda par ex, opp au Soudan entre le
nord islamisé et arabisé et le S christianisé (100000 Soudanais au Tchad). Le nombre de
travailleurs étrangers ds les pays de l’OPEP est passé de 1,7M en 1975 à 10 M auj (ils
viennent d’Egypte, du Yemen, de Jordanie, d’Inde, du Pakistan et des Philippines). Les 4,7 M
de travailleurs philippins ont transféré plus de 90 M de dollars entre 1995 et 2003. Les
Philippines fournissent plus de 600000 marins aux flottes du monde entier. Migrations qui
témoigne des inégalités de dévt.
P 20-21 : répondre aux questions du livre et corrections livre du prof.
Le tourisme de masse, désormais à l’échelle de la planète, est passé de 25 à 750 M de
personnes entre 1950 et 2002. Ms seulement 8% de la pop mondiale est concernée : l’Europe
et l’Amérique du N fournissent l’essentiel de la clientèle du tourisme international et plus des
2/3 des destinations. Multiplication des pays émetteurs cpt : Japon, dragons et tigres d’Asie,
pays émergents d’Europe de l’Est et d’Am du Sud. Nv destinations : Chine, péninsule
indochinoise, Cuba, Af du Sud. Les recettes touristiques st essentielles pour bcp de pays du S
ms elles st fragiles car à la merci d’attentats comme à Louxor ou à Bali.
C/ Flux immatériels ou flux d’informations
Rappelez ce qu’est un flux immatériel ? Questions 1 et 2 p 31
Ce st les flux d’idées, culturels et médiatiques, flux de communication.
Les câbles ss-marins en fibre optique fin des 80’ permet d’étendre la portée des
communications et de réduire leur coût (le px des communications téléphoniques à été divisé
par 100 entre 1970 et 2000. Trafic téléphonique qui a augmenté de 500% depuis 1990.
Diffusion d’Internet sélective, fracture numérique : un quart de la pop m/le n’a pas accès à
l’électricité et la moitié aux lignes téléphoniques. Le coût de la connexion à Internet décuple
au fur et à mesure qu’on s’éloigne des centres hyper- connectés. La chaîne de l’information
(soutenue par le foisonnement technologique : satellites, internet) reste contrôlée par un
oligopole de qq entreprises situées ds la Triade (Sony, Murdoch, AOL-Time Warner,
Microsoft). Près de ¾ des images diffusées ds le monde st d’origine US grâce à l’Associated
Press (1e agence de presse m/le). Le 11 sept illustre bien la mondialisation de la
communication, après la guerre du Vietnam et la guerre du Golfe.
La m/dt° ne se réduit pas à des flux et des réseaux ms aussi comme l’interaction d’acteurs de
plus en plus nb
II/ Qui participe à la mondialisation ?
A/ Les Etats
La mondialisation est née de choix po et de stratégies éco faites par les autorités des Etats
Kstes les plus puissants. L’Etat assure encore la défense de ses intérêts ms doit faire face à des
réseaux dt le champ d’action n’est pas limi par les frontières. Les Etats se livrent à des
surenchères pour attirer des FMN (zones franches). Développement de politiques de
promotion des territoires pour inciter les entreprises à s’y implanter : AFII en France (agence
française pour l’investissement international créée en 2001 et dépendant de la DATAR qui a
pr mission d’attirer les investisseurs étrangers en France). Les Etats se retrouvent à jouer un
rôle de gulation et d’encadrement (garantit le respect de la loi, assure sa fonction sociale,
oriente les gds choix éco). Par rapport aux EU, les autres Etats participent plus modestement à
la mondialisation. Certains s’intègrent ds la coop régionale (UE, Mercosur). D’autres se
transforment en pays ateliers.
B/ Les organisations internationales
Les orgt° internationales st nées du besoin des Etats de coopérer pour régler des pb communs.
L’OMC œuvre à la libéralisation des échanges, ds la continuité du GATT (general agreement
on tarifs and trade : accord général sur les tarifs douaniers et le commerce). Négociations qui
doivent fav au max le libre-échange. Les tarifs douaniers appliqués sur les é/ges de produits
manuf par les pays industrialisés st passés de 40% en 1947 à 5% auj. G8, OECE. Très
puissantes, ces org peuvent imposer des décisions à l’ens des pays de la planète (PAS,
contrôle de l’endettement des Etats) Certaines OI à vocation internationale (ONU), à
compétence spécifique (FMI, OMC, OMS, FAO, OIT), à vocation régionale (UE, ASEAN,
OPEP, OTAN). 1er pas vers une gouvernance mondiale ?
Nv cycle de négociations ouvert en nov 2001 à Doha intitulé « prog de Doha pr le dévt » et
qui doit insérer au mieux les pays du Sud ds les é/ges. Cycle qui doit s’achever en 2004. Ms
po à deux vitesses : les pays les plus pauvres se heurtent à des barrières douanières 4 fois plus
élevées que celles que les pays riches doivent franchir. Le coût global de ces barrières
équivaut au double de l’aide au dévt. Et puis obstacles non tarifaires (normes, réglements adm
pointilleux) pour les secteurs qu’on veut protéger de la concurrence. L’adhésion à l’OMC est
la condition indispensable pour accéder aux marchés des pays riches, même s’ils st contraints
d’ouvrir leurs frontières.
C/ Les FMN
Doc 1 p 27 + dossier p 36-37 : préparer à la maison étape 2
Une FMN peut-être définie comme une entreprise qui contrôle des actifs productifs à
l’étranger et qui dégage un chiffre d’affaire d’au moins 500M de dollars. Elle est constituée
d’une maison mère siégeant ds le pays d’origine et de filiales à l’étranger.
Les 75000 firmes transnationales st les principaux agents de la mondialisation, 820000
filiales. Elles réalisent les 2/3 du commerce m/l et emploient 75 M de salariés. La production
des 100 1e représente 20% du PIB mondial. Ces firmes transnationales gardent un ancrage
national décisif car les centres décisionnels et productifs, la recherche et l’innovation restent
ds le pays d’origine. Mobilité des unités de production ds le cadre de la DIT (qui dissocie
production et direction : unités de prodt° au S, commandement et conception au N) :
délocalisations. Les FMN mettent en concurrence les territoires et les salariés à la périphérie
des pôles de la Triade (Asie orientale pour la Japon, Mexique pour les EU, Europe centrale
pour l’UE). Les IDE st des investissements au moyen desquels une entreprise crée une filiale
à l’étranger ou prend le contrôle d’une société étrangère en acquérant au moins 10 % de son
K. Multiplication des IDE car multiplication d’opérations de fusions et d’acquisitions entre les
firmes des pays dév. Ds les 90’, la progression la plus forte d’IDE ds les services, notamment
la distribution de l’eau et de l’électricité, les transports et les communications. Doc 2 p 52 :
comment expliquer la répartition des IDE ? Les pays dév st à la fois les px émetteurs et les
px recepteurs des IDE. Zones franches d’exportation (espace délimité permettant à des m/ses
d’être importées, transformées et réexportées ss avoir à payer de droit de douane) mises à
profit par les FMN pr utiliser une main d’œuvre bon m/é. La Triade concentre 85% du stock
mondial d’IDE et les EU st le 1er fournisseur et le 1er pays d’accueil des IDE. Une partie
croissante des importations des pays dév provient des filiales étrangères de firmes nationales.
Un Etat protectionniste pénaliserait ainsi ses propres entreprises qui ont délocalisé.
Alliance aussi entre des gds groupes pour être présents ds la Triade (General Motors- Toyota,
Ford- Honda, Siemens- Fujistsu et Hitachi, Lufthansa ac United Airlines et Thaï Airways
International)
D/ Les ONG
Pas de déf précise : entités privées ne relevant pas de la volonté des gvts et regroupant dc
assoc, syndicats, entreprises, Eglises, centres de recherche univ, etc…180 au début du XXe
siècle, elles st plus de 10000 auj. Deux gds types d’org : - puissants réseaux associatifs
multinationaux, spécialisés ds l’humanitaire svt (Croix-Rouge, Médecins du monde) ds la
défense des droits humains (Amnesty international) ou ds la protection de l’environnement
(WWF, Greenpeace), au niveau sportif (FIFA, CIO).
- soit des groupes plurinationaux engagés contre la m/dt° libérale et qui se préocc moins de
récolter des fonds que de participer à des manif de rue. ATTAC (assoc pr une taxation des
transactions fi pr l’aide aux citoyens) née en France en 98 et auj présente ds plus de 50 pays.
Contrepoids à la dérégulation de la mondialisation. Elles visent à pallier les carences de l’Etat.
Le PNUD, la CNUCED, l’OIT st plus sensibles aux exigences de dév des pays du Sud, ms
peu de pv réels. Elles nouent des solidarités transnationales pr pallier les carences des Etats et
pr limiter la portée de la m/dt°. Cpt ces ONG svt instrumentalisées par les Etats (financées à
hauteur de 15% en France, de 80% ds les pays scandinaves) ou par les FMN car ils st fi par
ces derniers. Leur budget total en 2002 représenterait qd même 600 milliards de dollars en
2002. Exemple d’OXFAM (Oxford Committee for Famine Relief) : 4500 salariés, 30000
volontaires ds plus de 100 pays : multinationale de la solidarité, budget de 500 M d’euro.
Oxfam avait fait du blues des cotonniers africains l’emblème du commerce injuste à Cancun
en 2003.
E/ Les acteurs illégaux
Dossier p 84-85 : répondre à la question de synthèse.
Réseaux illicites qui forment une puissante éco parallèle qui échappe aux Etats : contrefaçon,
ventes d’armes, drogue, immigration clandestine, prostitution. Ces activités illicites utilisent
les mêmes outils que la mondialisation légale (méthodes sophistiquées de production et de
vente, transports rapides, NTIC) et génèrent des lieux propres elles pv exercer, comme les
paradis fiscaux (prélève peu ou pas d’impôts et secret des opérations bancaires : îles Caïman,
Lux, Liechtenstein, Monaco, Singapour, HK) elles blanchissent l’argent sale (selon les
estimations du groupe d’action financière sur le blanchiment de l’argent, les opérations de
blanchiment représentent 1000 milliards de dollars par an). Des espaces de non droit juridique
optimisent la production et la gestion fi des FMN : 15 micro-Etat accueillent 57 % de la flotte
mondiale, 70 paradis fiscaux servent de relais à plus de la moitié des flux de K internationaux
et 3000 zones franches mobilisent 43 M de salariés. Le nb des paradis fiscaux a augmenté de
1400% ces quinze dernières années. Pavillons de complaisance pour Panama qui enregistre
par ex 5300 bateaux (permet de rogner sur les salaires des marins, d’éviter des législations
contraignantes en matière de sécurité).
La drogue représente le 1er marché agricole m/l et le 1er poste d’exportation pour de nb pays
du Sud. En Colombie, la culture de drogue relaie le café (qui a vu ses cours baisser de 70%
entre 1970 et 2002). Auj, la drogue représenterait 60 % des exportations du pays.
III/ Quels sont les lieux de la mondialisation ?
Doc 4 p 27 : la m/dt° a t-elle profité à ts ?
A/ Des localisations privilégiées
1) La Triade
Triade qui concentre l’essentiel des décisions et des flux mondiaux. 86 % de la capitalisation
boursière, 72 % de l’industrie, 85 % de la recherche, 80 % des IDE, 81 % du PIB m/l pr
seulement 20% de la pop m/le. Les gds ports m/x sur les façades maritimes de la Triade ainsi
que ds les NPI (HK, Singapour) : Voir doc 1 p 25. Les pays de la Triade se spécialisent surtt
ds les produits à très forte VA qu’ils exportent surtt entre eux. Ils abandonnent les industries
de main d’œuvre aux pays émergents. Cette concentration du commerce mondial au profit des
pays le plus dév s’explique par le poids croissant des prod manuf ds les échanges, aux dépens
des produits primaires. Les lieux peuvent dc être mis en concurrence pour l’accueil du siège
social d’une entreprise, d’une usine ; les Etats, régions ou villes doivent dc savoir valoriser
leurs potentialités (infrastructures, main d’œuvre, fiscalité, cadre de vie).
Les EU en tête du commerce m/l, accumulent des déficits commerciaux gigantesques ac leurs
partenaires, financés par des flux de K européens et jap. L’UE est la 1e zone commerciale du
monde. Les é/ges intra-communautaires représentent 60 % du commerce extérieur des pays de
l’UE. La progression de l’Asie impressionnante : le commerce intra-zone asiatique, dominé
par le Japon, représente presque 50 % des é/ges commerciaux des pays de la zone. Capacité
ds la Triade à produire des modèles qui s’imposent au reste du monde, qu’il s’agisse de
l’architecture, de l’équipement des ménages, de l’alim, du sport, de la culture et des loisirs.
Triade hiérarchisée car nettement dominée par les EU. Cpt dév des NPI qui représentent en
2005 24% du commerce mondial.
2) Les délocalisations
Avantages ? Inconvénients ?
Pour les économistes, les délocalisations st positives car elles créent des emplois ds les pays
pauvres et favorisent leurs croissances. Elles pousseraient les pays riches à chercher des gains
de productivité et à chercher des emplois plus qualifiés. Seuls 5% des entreprises françaises
délocaliseraient ds des pays à bas coûts de main d’œuvre et seuls 5% des licenciements
seraient dus à des délocalisations. Les délocalisations profitent aux consommateurs qui pv
acheter des produits moins chers, ce qui augmente leur pouvoir d’achat. L’idée est que les
industries ferment ms les services accueillent du monde : les ouvrières d’une usine textile
pourront travailler ds la gde surface qui ouvre à la place par ex.
Marges aggravées par les entreprises sur les px disent les opposants aux délocalisations.
Réglementation du travail peu respectée ds ces pays.
Centres d’appel par ex comme en Inde : fourniture de prestations informatiques (,
programmation informatique, relations clients, facturation, vente en ligne). Les salariés du
même niveau st rémunérés deux à trois fois plus ds les pays dév. Le pays espère créer 1 M
d’emplois ds ce secteur d’ici 2008. Ms ces pays commencent même à se spécialiser ds la
recherche-développement.
B/ Archipel métropolitain mondial
Doc 1 et 2 p 46 : expliquer AMM ? Comment la métropolisation place t-elle les villes au
cœur de la m/dt° ?
AMM : ens de villes en réseau qui contribuent à la direction du monde. Comme les îles d’un
archipel, ces métropoles st à la fois proches, par leur fctt et leurs liaisons, et autonomes. A la
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