une tâche complexe afin d’essayer de comprendre :
* que la terre et la mer sont intimement liées, et ce, pour le meilleur comme pour le pire. Il est
vrai que lorsqu’on pollue sur Terre, ceci a un impact sur les océans, puisqu’il a été démontré que
80 % de la pollution marine vient de la terre. De plus, il suffit qu’un déchet soit jeté hors des
poubelles pour qu’il ait de fortes chances de partir au large ou d’échouer sur une plage, chassé
par les rivières ou par le vent. Ainsi, un petit sachet plastique de bonbons oublié a toutes les
chances de terminer dans un cours d’eau et de finir sa course dans l’océan. A l’aide de l’exemple
traité en classe, à savoir celui des tortues marines, qui mangent des sacs plastiques qu’elles
prennent pour des méduses, les élèves ont pu constater que les animaux marins ont du mal à
vivre au milieu de la pollution engendrée par l’Homme, que cela perturbe leur milieu de vie et
entraîne à brève échéance leur mort.
* que la réduction de notre pollution peut être bénéfique pour tous les milieux naturels ainsi
que pour les espèces proches de nous mais aussi pour ceux situés plus loin. Dans la mesure où
toute pollution a des répercussions sur l’ensemble de la planète.
* que c’est en agissant à terre, en ramassant les déchets et en les triant, que nous pourrons
aider la mer à être moins polluée. C’est ce que l’on appelle avoir une attitude éco-citoyenne.
Dans un second temps, les élèves, par le biais de Latitude 21, ont bénéficié d’une intervention
sur le thème de la protection de la nature.
• Le but de cette intervention était de les sensibiliser au développement durable en abordant
notamment la notion de biodiversité en comprenant les actions entreprises pour sa protection.
En effet, cette intervention leur a permis de :
comprendre les différents modes de protection d’une espèce animale menacée à savoir la
Girafe du Niger.
découvrir les méthodologies de recensement.
aborder le suivi scientifique d’une espèce.
appréhender les enjeux économiques et environnementaux.
identifier les menaces et trouver ensemble des solutions durables à l’utilisation des
ressources naturelles.
faire un parallèle avec nos sociétés.
Suite à une prise de contact avec l’intervenante, il a été décidé de mener un comparatif entre le
lac Wégnia et le lac Kir.
Les élèves ont donc été amenés à travailler sur des articles de journaux expliquant la situation
du Lac Wégnia au Mali et du Lac Kir à Dijon. Cette étude s’est faite par le biais d’un didapage
comprenant des articles en provenance des deux pays.
Comparatif qui a permis aux élèves :
d’approfondir les notions abordées lors des deux premières séances en permettant aux
élèves de faire le lien entre les actions menées sur le lac Kir et celles menées sur le lac Wégnia