L'Eucharistie est bien un Grand Mystère Divin, surnaturel....
Le 16 septembre 1941 à La Brardière, Mère Yvonne-Aimée de Jésus de Malestroit se
promène dans le parc, avec son ami par la sainte grâce de Dieu, le Père Labutte.
Ils ont emporté avec eux un appareil photographique Kodak et ont pris quelques
photographies sans importance, lorsque, brusquement, Mère Yvonne Aimée se met à gémir
car elle assiste en vision à une profanation d'Hostie. Elle est percée à l'aide d'un poinçon par
des individus démoniaques. Mère Yvonne-Aimée implore alors son Ange Gardien de
soustraire l'Hostie à cette terrible profanation et de la lui apporter.
Immédiatement un rayon de soleil illumine la clairière où ils se trouvent tous deux et l'Hostie
apparaît, posée verticalement sur sa tranche et saigne au milieu...
Le Père Labutte la prend sur une feuille de l'arbuste, dans ses mains, et elle reste toujours
posée debout sur sa tranche. Placée ensuite dans un cabanon situé à proximité elle reste
encore debout et saigne toujours. Le Sang ne coagule pas, reste frais.
Alors, devant eux, sur l'intérieur de la porte de la cabane apparaissent, l'une après l'autre, des
lettres formant à la fin la phrase : "Le Ciel a visité la terre".
Des photographies ont donc pu être prises avec l'appareil lors de ces phénomènes
miraculeux.
La nuit qui suit ces faits, Mère Yvonne-Aimée présente une fois de plus les stigmates avec
cette fois-ci, en plus, la plaie du cœur (en forme de coup de lance selon des spécialistes). Le
matin le Père Labutte lui donnera la Sainte Communion au Corps et au Sang avec cette
Hostie apportée miraculeusement.
Inutile de préciser que le Corps et le Sang de DIEU le Fils n'ont pas été reçus debout et dans
les mains ! (ce qui est un effroyable irrespect, plus précisément une abomination, puisque,
ne serait-ce seulement qu' au Saint Nom de JESUS, tout genou doit plier, au Ciel, sur terre
et sous terre .....alors recevoir Son Corps et Son Sang ainsi ! C'est quasiment le péc
ultime, l'offense la plus grande !) Lire ICI.
Aucun rapport, donc, avec l'actuel très malfaisant "mémorial du repas" des messes
modernes égarées post Vatican II qui mène les fidèles et leurs prêtres en Enfer ! C'est
un drame effroyable...
Le mot "hostia", "Hostie" veut dire "victime" et non pas "pain"...
La Sainte Hostie consacrée n'est pas "du pain" !
A elle seule, elle est devenue le Corps et le Sang
de DIEU le Fils (...uniquement lorsque le Très
Saint Sacrifice de la Messe est bien réel et honoré
comme il convient à un si grand Mystère. Ce
n'est donc pas le cas de la plupart des messes
dites catholiques.)
Lors de la Cène, le Seigneur n'avait pas encore
donné Sa Vie, et les Apôtres, même si l'ambiance
était tendue et angoissante et les paroles du
Seigneur terribles , ne comprenaient pas ce que
cela signifiait réellement. Ils ne pouvaient pas
comprendre "le Corps donné et le Sang versé".
Mais pendant les souffrances effroyables de la Passion tout au long de la nuit et de la
journée, la "Cène" a accompagné le calvaire du Christ jusqu'à Son Agonie et Sa Mort
et s'est donc transportée avec Lui sur le Golgotha, au pied de la Croix ruisselante de
Sang et à coté de la Très Sainte Vierge agonisante de douleurs extrêmes... L'Autel, lors
de la vraie Messe, devient le lieux du supplice du Sauveur, le Sang du Sauveur restant
invisible (sauf, pour notre Foi, dans des miracles comme celui-ci).
Nous savons maintenant comment le Corps et le Sang ont été donnés !
L'Eucharistie n'étant pas un repas mais le renouvellement d'un Mystère très
douloureux, rien ne doit venir troubler le silence et recueillement dans l'église pendant
un certain temps raisonnable.
Bossuet nous précise qu'après avoir reçu le Seigneur, nous devons rester un certain
temps au calme à Le goûter...
Nous devons donc rester agenouillés dans une
grande compassion et de saintes larmes, avant,
pendant et après avoir reçu l'Hostie (pour ceux qui
ont eu la Grâce extraordinaire de l'avoir reçue,
c'est-à-dire d'avoir communié au vrai rite)
Les photographies de la première page sont tirées du
merveilleux et gros livre :
Yvonne-Aimée de Jésus "ma mère selon l'Esprit",
témoignage et témoignages, par le Père LABUTTE
aux Editions François-Xavier de Guibert , 743 pages
plus quelques pages de photographies diverses. A lire
absolument par tout Catholique digne de ce nom. A
noter que le dossier de canonisation de Mère Yvonne
Aimée de Jésus posé au Vatican a été
définitivement rejeté, tout comme celui de Sœur Faustine. Les Evêques polonais ont travaillé
pour faire ressortir celui de ur Faustine qui a été finalement canonisée mais pour Mère
Yvonne Aimée de Jésus, rien n'a été fait ! DIEU merci, car de toute façon c'est Lui qui juge
et décide en fin de compte, elle est tout de même au Ciel parmi les plus grandes Saintes, que
cela plaise ou non au Clergé !
Vous pouvez visiter également le site de la Communauté de Mère Yvonne-Aimée ICI, et la
page "Eucharistie" du site Colère Divine ICI.
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