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L’INEPUISABLE
AMOINDRISSEMENT
La langue française,
les mathématiques et la religion
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PREFACE
J’avais à rédiger, pour le Yoga des lettres, et sous le titre de
« Quintessences et Transformations », des exercices de concentration et de
visualisation, des stances, fondées sur des mots clefs des qualités du corps, du
cœur et de l’esprit.
J’avais de ces textes une idée très précise, et tout le matériau, mais leur
écriture, à la vérité, m’échappa complètement.
Par une volonté plus forte que la mienne, le premier mot qui s’écrivait, au
commencement de chaque phrase, était Aum, la syllabe sacrée de l’Hindouisme
et du Bouddhisme,
et tous les textes en furent changés, dans la forme et le fond.
Ecrire autrement m’était impossible, et il m’était impossible de ne pas
douter.
A ce doute je cherchais une réponse, et celle-ci, me semblait-il, ne
pourrait venir que des mathématiques, le langage n’acceptant aucune faute,
aucune erreur, et par nature indépendant de la volonté.
Vérifier une écriture échappant à ma volonté, par un langage échappant à
la volonté, correspondait à l’application du principe algébrique « moins par
moins égale plus » :
donc, si chacun des textes, et leur totalité, contenaient des harmonies
numériques suffisamment nombreuses et significatives pour qu’elles dépassent
le simple hasard, le doute s’effaçerait de lui-même.
Suivant ce raisonnement, j’attribuai, selon l’ordre alphabétique et l’ordre
numérique, à la lettre A la valeur 1, à la lettre B la valeur 2, …à la lettre Z la
valeur 26,
et par ce tableau, je mesurais les mots, les expressions, les textes…,
cherchant des équations, des évidences,
et parallèlement, je calculais d’autres mots pouvant appartenir au même
registre, ou répondre à certaines questions.
Concernant les lettres en chiffres on peut trouver :
PAROLES = 86, NOMBRES = 86
LETTRES = 99, ECRITURE = 99, MESURER = 99
et dans un autre domaine, et pour exemple :
ESPACE, TEMPS, MATIERE = 193
PENSEE, PAROLE, ACTION = 193
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Ces harmonies, et beaucoup d’autres encore, avaient un intérêt, mais la
probabilité d’obtenir une équation entre deux mots simples était trop grande,
compte tenu du peu d’écart entre les chiffres de base. D’où la nécessité de
trouver un autre code, une autre preuve mathématique.
Un des mots clefs définissant le langage est le mot verbe.
VERBE = 52. En 52 sont deux fois 26, le nombre des lettres de l’alphabet.
D’où l’on peut déduire que le verbe, en sa totalité, se compose de deux
fois 26 chiffres,
et qu’il existe un deuxième alphabet, avec d’une part des lettres, et
d’autre part 26 chiffres.
A cette supposition, une seule possibilité :
convertir les chiffres en lettres, 1 devenant UN :
U la 21ième lettre, et N la 14ième.
Quand A = UN, B = DEUX… :
A = UN = U + N = 21 + 14 = 35 ; A = 35
B = DEUX = D + E + U + X = 4 + 5 + 21 + 24 = 54 ; B = 54
Z = VINGT SIX … = 124.
Par ce deuxième alphabet, certains mots, certaines expressions, déjà
calculés suivant le premier, devenaient des chiffres remarquables :
ESPACE, TEMPS, MATIERE = 1111
et certains, remarquables au premier :
VERBE DE DIEU = 100
BENEDICTION = 100
l’étaient aussi dans le deuxième :
VERBE DE DIEU = 789
BENEDICTIONS = 888
Aum, le premier mot qui s’imposait à l’écriture, appartient au langage
religieux. L’Occident étant d’abord chrétien, je mesurai des mots clefs du
Christianisme : RESURRECTION = 1000
La Résurrection fait suite au Vendredi Saint :
VENDREDI SAINT = 999
1000 + 999 = 1999 ; je découvris ces équations un vendredi : le vendredi 13
août 1999.
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Pour que la langue française en lettres chiffres et en deux alphabets soit
un langage au service de la religion, elle doit tenir compte de toutes les
religions, car les mathématiques sont un langage universel.
BOUDDHISME = 100
HINDOUISME = 117
JUDAÏSME = 82
CHRISTIANISME = 147
ISLAM = 54
100 + 117 + 82 +147 + 54 = 500
100 x 5 = 500
5 x VERBE DE DIEU = 500
5 x BENEDICTION = 500
S’il n’y avait pas eu l’énergie du doute, je n’aurais pas cherché de
réponse du côté des mathématiques,
et s’il n’y avait pas eu de bénédiction, je n’aurais pas trouvé, du côté des
religions, des harmonies qui serviront de base à l’écriture de L’Inépuisable
Amoindrissement.
Ainsi, la genèse de ce livre est un doute, et une bénédiction.
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