La structure de l’alphabet français
Elle révèle plusieurs choses. Détail important : le 135 apparaît au tout début. Nous
savons qu’il est la grande clef du contrôle du Verbe par les Nombres.
Les voyelles, principes mâles en ce sens que sans leur son, l’alphabet entier demeure
imprononçable, sont toutes de valeurs impaires. Leur total fait 76, soit 13 en
réduction ; nombre dont la signification est la Lumière (3 ) divine (1 ) manifestée dans
la Matière (4 = 1 + 3 ).
Au centre nous avons MN = 27. Comme le A et le Z (AZ = 27 ), ils résument
l’alphabet et symbolisent la Mémoire du Monde, les archives akashiques, la Parole
par excellence, aussi bien celle qui a été dite, que celle qui ne l’a pas été et que celle
qui le ne le sera jamais.
Deux colonnes se forment, la première à gauche, constituée des lettres de valeurs
impaires et la seconde à droite, constituée des lettres de valeurs paires. L’une et l’autre
symbolisent respectivement les principes mâle et femelle inhérents à l’Univers, au
Verbe et à l’Homme.
Traçons un point de symétrie entre le S et le T (st = 39 ) et un autre entre le G et le H
et faisons la somme des lettres en tenant compte que la ligne MN sépare l’alphabet en
deux.
Nous trouvons par symétrie : MZ = 39 ; NY = 39 ; OX = 39 : PW = 39 ; QV = 39 ; RU
= 39, pour la moitié inférieure et ACE + HJL = 39 puis GLK + BDH = 39, pour la
moitié supérieure.
39 étant la valeur du nom DIEU, cela met en évidence le rôle de l’alphabet, qui outre
sa charge de relier l’Homme à ses semblables et à l’Univers, doit nous mener vers le
Divin, dont la présence est inscrite en tout et partout et en particulier dans l’alphabet !
Il y a beaucoup à dire !