Contact presse :
Blandine GUYON : 01 56 22 92 50 : blandine.guy[email protected]
COMMUNIQUE DE PRESSE
Date 14/02/2011
TEUM-TEUM
SAISON 2
Samedi 5 mars 2011 à 15h
Dimanche 6 mars 2011 à 23h00
Présenté par JUAN MASSENYA
Une production : Téléparis/ Cool’ups avec la participation
de France Télévisions
Format : 52’
Diffusion : Mensuelle le samedi à 15h
Deuxième saison et nouvelle
formule pour « Teum-Teum ».
Désormais, l’émission s’articule autour d’un thème central.
L’émission va à la rencontre des personnes qui incarnent cette
thématique.
5 ou 6 rencontres emblématiques composent l’émission. L’idée étant de
répondre aux questions d’actualité sur la banlieue en donnant la parole
aux premiers concernés : les habitants.
« Teum-Teum » se rend à chaque émission dans des quartiers
différents pour recueillir expériences et points de vue variés à l’image de
la réalité de la diversité des banlieues.
Chaque mois, une personnalité est choisie pour son regard et son
engagement liés avec la thématique abordée et est présente dans une
séquence spécifique : débats, échanges, conseils, contradictions
Juan MASSENYA, ambassadeur fil rouge, est le maître d’œuvre
de l’émission. Véritable guide dans la présentation des habitants
et des thématiques, il lance et relance les débats.
Contact presse :
Blandine GUYON : 01 56 22 92 50 : blandine.guy[email protected]
Pour ce nouveau numéro diffusé samedi 5 mars à 15h sur
France 5, « Teum-Teum » s’intéresse au thème :
« Nouveaux convertis :
en quête de spiritualité ou d’identité ? »
Dans cette émission, Juan Massenya part à la rencontre d’un Imam qui
témoigne du phénomène des nouveaux convertis à l'Islam puis du père Michel
Franco de Grigny, en banlieue depuis toujours, qui raconte pour sa part le rôle
nécessaire de la religion dans le quartier. Autre témoignage avec Fatima et
Nourah, musulmanes d’origine, qui se sont converties au christianisme
évangélique. Elles pratiquent leur nouvelle religion à la Casbah évangélique
qui, avec ses allures de mosquée, leur permet de ne pas renoncer à leur
culture orientale.
Chemins de foi
A Nanterre, Samir, converti à l’islam depuis quatre ans, membre de
l’association des Nouveaux Musulmans de Paris, évoque son parcours et son
sentiment d’avoir ainsi trouvé une éthique et une discipline. Depuis Marseille,
c’est le rappeur Akhenaton qui parle de son chemin jusqu’à la conversion.
La banlieue aurait-elle retrouvé la foi ? Ou une façon d’affirmer une identité, de
répondre à un besoin d’appartenance à une communauté exigeante,
rigoureuse. Pour certains chercheurs, la religion serait une réponse à l’inactivité
forcée des jeunes. Les sentiments d’exclusion, le manque d’espoir en l’avenir
qu’offre la République laïque auraient ouvert la voie au prosélytisme de tous
bords. Frédéric Lenoir, directeur du Monde des religions, insiste sur un point :
Les nouveaux convertis sont très pratiquants.
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