c. La répartition de la densité de puissance.
Plus on s’éloigne du centre de la
pièce et plus la densité de
puissance est importante. On
constate donc que la répartition
de la densité de puissance
résultes de celle des lignes de
champs. En effet, plus dans une
zone on a une concentration de
lignes de champs importantes
plus les courants induits sont
importants et plus la valeur de la
puissance est importante.
d. La puissance dissipée dans la charge.
Les courants auxquels on donne le nom de courants de Foucault, provoquent un échauffement, par effet
joule, de la charge. La chaleur dégagée correspond à une puissance liée à la fréquence et à la tension
d’alimentation ainsi qu’à la nature de la charge. Si on étude l’influence de la tension d’alimentation on
constate que plus elle est importante et plus les courants induits ont une amplitudes élevées et donc la
puissances est aussi plus importantes.
On trouve au niveau de la charge une puissance engendrée par le phénomène de l’induction
électromagnétique de 62W. On comprend donc qu’une machine électrique fabriquée avec un rotor en un
seul bloc serait porté au rouge en peu de temps. Feuilleter l’induit est donc nécessaire dans le cas des
machines par contre notre four aurai du mal a chauffé une pièce feuilletée.
e. L’inductance des inducteurs.
On trouve une inductance des conducteurs de 1.8*10^-7 Henri.
f. Le schéma électrique équivalent du four.
On a modélisé le four vu de ses deux bornes d’alimentation. Ce
modèle via la résistance et l’inductance tient compte du
caractère à la fois inductif et résistif du système.
Il ne se produit aucune perte dans une pièce de fer traversée
par un flux qui ne change ni d’intensité ni de direction. Ainsi,
lorsqu’un électro-aimant est excité à courant continu, il se
produit des pertes dans le cuivre de la bobine seulement ; il n’y
a en a aucune dans le fer du noyau.
Par contre, des pertes se produisent dans les parties en fer où le
flux varie en grandeur ou en direction. C’est le cas de notre
application où le flux est alternatif.
Les pertes fer sont attribuables au phénomène d’hystérésis et
aux courants de Foucault. Dans le cadre de notre application
nous n’allons pas modéliser les pertes fer donc on ne tient pas
compte des pertes fer dans nos résultats.