Regardons le verset 22. « Pendant qu’ils mangeaient, Jésus prit du pain, et
après avoir dit la bénédiction, il le rompit et le leur donna en disant : prenez, ceci est mon
corps. » C’est le début de l’institution du repas du Seigneur, appelé cène. Jésus dit que le pain
qu’il distribua était son corps. A chaque cène, les catholiques disaient d’un dogme appelé
transsubstantiation, c’est-à-dire la transformation des matières du pain en le vrai corps de
Jésus-Christ. Mais si c’était ça, cette cène est ironique, car Jésus est en train de prendre son
propre corps, à moins que ce dogme s’applique seulement à la cérémonie après la mort de
Jésus. En tout cas, la théologie chrétienne et protestante s’oppose à cette théorie. Jésus dit que
nous le célébrons en guise du mémoire. Nous devons nous souvenir de sa mort à chaque
institution de la cène, à voire à chaque repas de la maison, comme le fit par la fraction du pain
les chrétiens primitifs.
Regardez les 23-24. Lisons-les. « Il prit ensuite une coupe, et après avoir rendu grâces,
il la leur donna, et ils en burent tous. Il leur dit : Celui est mon sang le sang de l’alliance, qui
est répandu pour beaucoup. » Le verset 25 continue. « En vérité, je vous le dis, je ne boirai
plus du fruit de la vigne, jusqu’au jour où j’en boirai du nouveau, dans le royaume de Dieu. »
Le vin représente le sang de Jésus. Il est le sang de l’alliance. L’alliance que Jésus fit avec
nous est l’alliance de sang. Cette alliance est forte, car elle était scellée par le sang de Jésus.
Lors du mariage, le marié et la mariée échanges leur alliance, pour un scellement du
commandement de Dieu, « ce que Dieu a noué, l’homme ne pourra pas le séparer. » De
même, cette alliance est une union de deux parties : Jésus et l’homme. Or, Jésus a donné son
sang pour l’homme pour le pardon de ses péchés, car l’homme fut vendu par ceux-ci. Par
conséquent, l’homme est appelé à lui rendre par sa vie.
Cette efficacité est grande. Le sang efface tout. Il efface la tâche. Il rend l’homme
blanc, plus blanc que la neige. La Bible dit, « Sans effusion du sang, il n’y a pas de pardon. »
Dès qu’un homme lève les yeux et regarde le sang de Jésus, tout son corps se lave de toute sa
souillure. Il n’y a plus de tristesse du péché. Péché après péché, l’homme n’a pas d’espoir de
se voir blanchir. Mais le sang de Jésus le rend possible. L’homme est complètement dégagé
de la puissance du péché. L’homme qui vivait une vie corrompue et adultère se met à vivre
une vie glorieuse cherchant la sainteté de Dieu. L’homme qui vivait une vie égoïste se met à
vivre une vie toute à fait altruiste et pleinement sacrificielle pour Dieu et pour les autres. Le
cas de saint Mattieu nous en dit long. Il n’était pas depuis le début si saint. Il était un
collecteur d’import surnom d’un renégat national. Mais Jésus appela cet homme
anciennement Lévi en disant, « Suis-moi. » Lévi se leva et le suivit. La grâce envahissant son
cœur, il fit un grand festin, pour la première fois de sa vie et invita toutes sortes de pécheurs
pour le partager. Il fit de grosses courses pour acheter des approvisionnements de viandes et
légumes. Un de nos ados dit qu’il n’avait jamais vraiment confessé les péchés, car il en avait
honte. Mais une nuit récente, il décida de confesser tous ses péchés et Dieu lui donna la force.
La mort d’un frère le fit voir l’importance de comment vivre sur la terre, car à la fin des jours,
chacun sera traité sans pitié les brebis étant séparé des boucs. Ainsi la pieuse crainte le frappa
et quand il confessa tous ses péchés, Dieu le rendit blanc, non seulement cela, Dieu le rendit
fort dans sa prière. Autrefois, il trainait ses pas, mais maintenant il se sent envoler dans l’air à
force de ce qu’il crie, « Oh ! Le sang de Jésus m’a libéré ! »
Chaque matin, quand j’entre dans le centre à 6h moins 10, je sens le rayonnement de
soleil à cause du sourire d’une de nos sœurs. Autrefois, elle était une femme triste, mais le
Seigneur Jésus a changé son cœur par le sang de Jésus. Alors son foyer commence à briller de
joie et les visages de ses enfants aussi. « Dans mon âme un beau soleil brille, son rayon doux
et joyeux Répand un éclat qui scintille : C’est la sourire de Dieu. Oh quel beau soleil dans