Resocialisation et métaphore des réseaux sociaux, co

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Resocialisation et métaphore des réseaux sociaux, co-construire la pertinence de la
relation à l’autre. Lien social et usage des technologies de la communication dans les
situations de vieillissement
Cette publication met l'accent sur la problématique de l’engagement relationnel. La ques-
tion posée porte sur la manière dont un individu impulse une interaction avec son envi-
ronnement social et crée son réseau relationnel. L’idée est d’agir à partir des probléma-
tiques d’isolement en étudiant les conditions de la dynamique relationnelle auprès d’un
public de personnes âgées. Notre cadre méthodologique s’appuie sur trois approches : la
sociologie de la dynamique relationnelle, les entretiens biographiques et la théorie de la
sémiotique situationnelle. Notre démarche se concentre sur le sujet en tant que porteur du
sens qu’il donne à ses relations « électives » pour aboutir à un modèle transposable tech-
niquement par les dispositifs de communication réticulaire en complément d’une inter-
vention d’accompagnement.
Problématique et enjeux
Les pouvoirs publics français, à l’instar de nombreux pays à l’international, se trouvent au-
jourd’hui confrontés à une problématique liée à l’augmentation des solitudes. Une étude
1
pour
l’Observatoire de la Fondation de France menée auprès de 2200 français constate que 5 mil-
lions de personnes, notamment les jeunes et les personnes âgées expriment un sentiment de
solitude.
En France, la notion de « personne âgée » commence à partir de 60 ans. Elle correspond à
l’âge de référence à partir duquel des problèmes de santé peuvent apparaître et justifier, selon
le droit social français, du versement d’une prestation d’aide à l’autonomie (APA).
Nous considérons que la situation de solitude des personnes âgées revêt un caractère particu-
lier, distinct de celle des jeunes, avec des causes, des conséquences et des formes différentes.
Les causes de la solitude de la personne âgée semblent dues à une moindre capacité de mobi-
lité et surtout à la perte progressive de l’environnement affectif avec la disparition de ses
proches (deuil des amis, conjoints, etc.) non forcément compensée par la présence des enfants.
Les conséquences de la solitude pour la personne âgée relèvent en grande partie du champ
médico-social puisqu’elles contribuent à la dégradation de l’état de santé. La CNAV (Loones
A., 2008) cite parmi les 8 facteurs de fragilité, le fait de ne pas recevoir de visites et de se sen-
tir seul.
Les personnes âgées qui expriment une souffrance liée à l’isolement appartiennent principa-
lement à deux groupes (Souêtre Rollin, 2006), l’un très âgé qui se sent isolé en raison de la
réduction de ses capacités physiques et d’un handicap, l’autre, plus jeune, qui se sent isolé
pour des raisons socio-économiques. A l’isolement affectif et social, s’ajoute le plus souvent
un isolement résidentiel. Il s’agit dans la plupart des enquêtes d’un isolement « objectif »
évalué par les professionnels sur la base d’un indicateur en nombre de contacts.
Sur cette base, les solutions envisagées, soit relèvent d’une logique de coordination de visites
effectuées par des voisins bénévoles
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, soit s’appuient sur des technologies relationnelles par le
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Etude : « Les solitudes en France » réalisée par l’Institut TMO Régions, juin 2013
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Projet VoisinAge de l’association Les Petits Frères des Pauvres
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biais de plateformes de télécommunication facilitant les échanges et les interactions. Ces dis-
positifs ont aussi l’avantage de contribuer à la sécurisation des personnes âgées vivant à do-
micile en détectant une absence de mouvement ou en diffusant des messages générant des
comportements adaptés de type prise de médicaments, ouverture de porte, rappel de visites,
etc.
Pourtant nous constatons qu’un aspect reste à prendre en compte. A l’isolement à des
causes objectives s’ajoute un isolement vécu ou ressenti, d’ordre subjectif qui re-lève du sen-
timent. L’étude de la Fondation de France indique que des personnes entourées (4.1%) peu-
vent aussi se sentir isolées même si ce sentiment est principalement ressenti par des personnes
objectivement seules (11,5%).
Ce qui est posé dans ce contexte est la valeur du contact ou plus spécifiquement de la relation
interpersonnelle. La sociologie de la dynamique relationnelle a mis en évidence la nécessaire
distinction entre des liens faibles et des liens forts. Le sentiment de solitude questionné sous
l’angle relationnel pose le problème de l’investissement relationnel entre plusieurs interlocu-
teurs et la mutation du réseau social selon les situations de vie.
Notre questionnement porte donc non pas sur les causes et les conséquences de l’isolement
mais plutôt la manière dont la personne instaure un processus relationnel.
Il s’agit d’envisager un modèle d’intervention qui permettrait à la personne de faire évoluer
son réseau relationnel. L’idée est de tenter d’élaborer une approche individualisée qui per-
mette à la personne une réappropriation de son rapport à l’autre.
Actuellement, les dispositifs relationnels sont établis sur la base d’une convergence de rela-
tions déterminées par les acteurs extérieurs (famille, voisins, professionnels, milieu médical,
etc.) vers la personne âgée. Nous envisageons de reformuler ce modèle en re-donnant à la per-
sonne la capacité d’impulser elle-même la relation.
Dans cette logique, nous considérons qu’il faut repenser l’usage des technologies de la com-
munication. Les dispositifs de téléassistance, voire de télémédecine, organisés sur la base
d’une formalisation des échanges et des modèles sémantiques programmés se limite à une re-
production succincte, un artefact de communication intersubjective bien éloignée de la dimen-
sion socio-affective du lien social et nécessaire à la personne âgée. Les conclusions de la re-
cherche élaborée peuvent orienter les modes d’utilisations des plateformes et faciliter une
mise en réseau adaptée à la personne.
La situation de la personne âgée est particulièrement riche d’enseignements. L’âge met en
perspective sur une longue durée les modulations formelles du seau social ou « capital so-
cial » au cours de la vie. Elle permet de déterminer la place des liens dans le processus de so-
cialisation mais aussi d’identifier leur teneur spécifique, notamment celle des liens forts
constitutifs de l’amitié, construits dans le temps, fortement marqués par leur dimension affec-
tive dont C. Bidart (Bidart, 2011, 16) souligne « l’épaisseur ». L’idée est de prendre en consi-
dération la dimension déstabilisante de la période de transition que représente l’avancée en
âge.
L’apparition de la vieillesse est marquée selon V. Caradec (Caradec, 2012, 87), par des chan-
gements et des interrogations liés au rôle social, aux capacités physiques, à des modifications
de repères notamment par des pertes affectives plus nombreuses, des transitions voire des dé-
sengagements, etc. Les professionnels identifient la tranche d’âge entre 79 et 83 ans comme
étant la plus intense en termes de changements par rapport à l’ensemble de la trajectoire de
vie.
Dans ce cadre, nous souhaitons mettre l’accent sur deux aspects particuliers de la relation à
l’autre. Il s’agit d’une part de la dimension identitaire qui se joue dans de la relation à l’autre,
et d’autre part de l’impact sécurisant du réseau social et sa capacité à réduire le sentiment de
vulnérabilité.
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C. Deloro (Deloro, 2009, 25) rappelle cette notion de l’autre, « l’Alter Ego », comme « mi-
roir » de soi posée par Husserl (1859-1938). L’autre est perçu à travers les projections per-
sonnelles du soi, mais aussi l’autre en tant qu’il appartient aussi au monde auquel il participe,
devient vecteur de connaissances sur soi. Merleau Ponty (Merleau Ponty, 1945, 5) écrit : « Le
monde n’est pas un objet dont je possède la loi de la constitution, il est le lieu naturel et le
champ de toutes mes pensées et de toutes mes perceptions explicites (…) l’homme est au
monde, c’est dans le monde qu’il se connait ». L’autre devient un « rapport » note C. Deloro,
dont la perception produit une « résonnance en moi ».
Pour C. Audibert (Audibert, 2008, 98) c’est dans la densité du lien amical qu’apparaît : « cet
espace de réflexivité sur soi qui nous permet d’exister aux yeux de l’autre » et nous offre
l’opportunité de vivre pleinement « notre part intime ». La relation affective et élective avec
une personne choisie permet une « solitude sereine » c’est-à-dire la liberté de « cultiver son
propre jardin solitaire». Dans cette perspective, la solitude n’est plus subie mais au contraire
nécessaire puisqu’elle permet à l’homme de renforcer sa part d’intimité. Ainsi la relation non
seulement renforce sa conscience de soi mais, par ce biais même, réconforte.
A cette notion de conscience de soi à travers la relation à l’autre, s’ajoute l’effet protecteur de
la socialisation. La socialisation permet à l’homme, en collaborant, d’assurer sa survie. Elle
s’élabore sur l’échange de pratiques mais aussi de paroles comme l’indique S. Tisseron (Tis-
seron, 2010) en référence aux travaux de l’anthropologue et biologiste, Robin Dunbar. Il rap-
pelle qu’à l’époque des chasseurs-cueilleurs, les hommes et femmes consacrent au cours de
leurs activités 25% de leur journée au « papotage». Selon lui, le langage participe au dévelop-
pement des liens au-delà de sa fonction de transmission d’informations.
Nous considérons que les réseaux sociaux et les technologies relationnelles ont un rôle à jouer
dans notre réflexion car ils contribuent à cette mise en relief du rapport à l’autre. Même s’ils
sont peu utilisés actuellement par les personnes âgées, ils sont symptomatiques d’un manque,
voire d’une stratégie de compensation, de la part d’une population plus jeune. Ils sont en ce
sens porteurs d’informations.
Bernard Stiegler (Stiegler, 2012, 14-17) en référence au philosophe Gilbert Simondon (Si-
mondon, 1997) considère que chaque individu connecté participe à une « individuation col-
lective », pour laquelle : « L’unité de vie serait le groupe complet et non l’individu isolé ».
Les réseaux seraient, selon lui, un artefact nécessaire à une resocialisation. S’inspirant des ap-
proches de Leroi-Gourhan, il considère que la technologie est une anticipation des besoins
inédits mais sous-jacents de la société. Il rejoint en cela les propos de M. Mac Luhan (Mac
Luhan, 1977, 71) qui écrivait : « Toute extension d’une faculté humaine est la réaction à une
irritation causée par l’environnement et qui vient sous forme d’exigences (…) Le nouveau
medium est un antidote destiné à sauvegarder l’équilibre dans l’organisme social ».
Or ce besoin sous-jacent est identifié par J. Rifkin (Rifkin, 2011, 33) comme « la cons-
cience existentielle de la vulnérabilité que nous partageons tous ». Ainsi la solitude des per-
sonnes âgées et l’usage des réseaux sociaux relèvent d’une même recherche qui trouve ses
origines dans les fluctuations, voire les dérives, de la société contemporaine et met en évi-
dence ce besoin inhérent à chaque individu d’être pris en compte, d’être reconnu.
La reconnaissance passe pour C. Delory-Momberger (Delory-Momberger, 2009, 45) : « par
trois sphères : lamour de ses proches pour la confiance en soi, l’appartenance à une commu-
nauté pour le respect de soi, et la contribution à la vie commune pour l’estime de soi ».
Objet et méthode
L’hypothèse de la recherche est d’envisager les moyens de réinstaurer la place de l’individu
dans le processus relationnel en instaurant une situation visant à l’émergence d’une « dyna-
mique relationnelle » singulière. Il s’agit ensuite de définir un modèle d’intervention à partir
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d’éléments ayant valeur de recommandations pour la mise en œuvre de solutions technolo-
giques.
L’objectif est d’étudier la manière dont la personne construit son environnement relationnel.
Nous considérons comme C. Bidart (Bidart, 2011, 17), que « les relations ont toujours une
histoire ». C’est pourquoi, nous nous employons à valoriser les perceptions individuelles et le
caractère intersubjectif de la relation et du réseau social. Il s’agit d’un travail de recherche qui
met en évidence méthodologiquement ce que sous-tend d’attentes, de besoins et de valeurs, la
construction d’une relation, pour la personne.
Entre janvier et mars 2013, nous avons procédé à une dizaine de recueils d’entretiens biogra-
phiques portant sur des histoires de rencontres et d’amitié auprès d’un public de personnes
âgées entre 65 et 95 ans. Nous avons sélectionné une population correspondant aux trois
groupes identifiés dans l’étude du Comi « Combattre la solitude » (Souêtre Rollin, 2006),
des personnes âgées, subissant un retrait de la vie sociale et en situation de handicap, des per-
sonnes plus jeunes isolées pour des raisons socio-économiques et des personnes âgées sans
problématiques particulières. Il s’agissait de deux couples, trois femmes seules et deux
hommes seuls.
Cette sélection a été en partie possible grâce au soutien actif de l’association « Les Petits
Frères des Pauvres ».
Les rencontres duraient 1h30 avec environ 45mn d’enregistrement de témoignages. El-les ont
eu lieu la plupart du temps au domicile des personnes.
Les enregistrements oraux ont fait l’objet d’une transcription écrite et d’une analyse qui a
permis l’élaboration d’un premier modèle en fonction de critères qui font partie du travail de
recherche.
Dans un second temps, nous envisageons d’expérimenter la méthode dans le cadre d’une ex-
périmentation territoriale faisant intervenir un dispositif technique de télécommunication.
Cadre théorique
La recherche se situe au sein de l’interdiscipline des Sciences de l’Information et de la Com-
munication (SIC), envisagée dans la perspective proposée par F. Bernard (Bernard, 2006) sur
la base de la « communication engageante »: articulant les questions de sens, de lien, du sa-
voir et d’action. Nous adoptons une approche constructiviste qui considère la réalité sociale
comme construite par les acteurs, avec toute la question des représentations sociales et des
interactions.
Ce cadre de recherche offre la possibilité de s’inspirer de domaines de recherche trans-verses.
Nous avons emprunté des théories à la sociologie et aux sciences de l’éducation. Le travail de
recueil d’entretiens biographiques et l’analyse des matériaux collectés se sont principalement
inspirés de la sociologie de la dynamique relationnelle et de l’approche de recueil d’entretiens
biographiques.
En effet, ces approches semblaient les plus adaptées pour rendre compte de la nature com-
plexe de la relation à l’autre, dépendante d’une variété de contextes culturels et sociaux,
d’histoires de vie et de ruptures biographiques, d’émotions et de motivations sous-jacentes
inhérentes à chaque individu.
La sociologie de la dynamique relationnelle telle qu’elle a été établie par C. Bidart, A. De-
genne et M. Grosseti (Bidart, 2011) prend la relation pour objet. Elle étudie la nature et les
systèmes relationnels inhérents à chaque individu avec son environnement. Elle considère
comme des relations, des échanges qui durent. C'est-à-dire des échanges qui ne se réduisent
pas à une interaction fonctionnelle ou ponctuelle. C. Bidart (Bidart, 2011,29) écrit : « qu’est-
ce qu’une relation sociale ? (…), cette expression désigne l’existence d’un lien qui dépasse la
simple interaction, qui s’est inscrit dans le temps, et s’est cristallisé au-delà des échanges
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ponctuels. ». L’étude de la composition des réseaux constitués par les individus permet de
mettre en évidence les perceptions individuelles, les besoins et les choix électifs. Elle peut
aussi souligner des changements liés à des étapes de vie notamment dans le cadre de
l’avancée en âge.
Elle permet de formaliser le processus de socialisation pour chaque personne par des graphes
à partir des relations avec les pairs, des ruptures, des interconnexions, de la densité des liens,
etc.
Pour compléter cette approche, nous utilisons la méthode des entretiens biographiques définis
par C. Delory-Momberger (Delory-Momberger, 2005).
L'approche des entretiens biographiques permet d'examiner l'action crite par le narrateur et
de percevoir le sens qu'il lui attribue. Il reflète son interprétation de ses expériences dans l'es-
pace social. Le récit met en lumière les événements et les pauses dans le temps et l'espace.
C. Delory-Momberger (Delory-Momberger, 2014, 7) explique ainsi le recours à la technique
scientifique des entretiens biographiques dans laquelle l’intervention du chercheur est minime
par rapport à l’utilisation de questionnaires plus formels : « Et sans doute voit-on bien que
ce modèle (questionnaires) fonctionne lorsque l’entretien, comme c’est souvent le cas, obéit à
une fonction d’illustration et de démonstration d’une (hypo)thèse posée de façon préalable et
qui cherche pour se soutenir elle-même les arguments concrets (…) Il en va tout autrement
lorsque le narrataire (et non plus le questionneur) a pour projet de laisser se déployer de la
manière la plus large et la plus ouverte possible l’espace de la parole et des formes
d’existence du narrateur (…) Si l’on tient jusqu’au bout cette position (d’épistémologie et de
méthode), on en vient à cette affirmation paradoxale : la question du narrataire ne peut venir
qu’après, son questionnement ne peut être qu’ultérieur ».
La méthode est construite en deux temps, d’une part le recueil biographique, d’autre part son
analyse. L’entretien est basé principalement sur l'écoute avec une intervention a minima du
chercheur. Les catégories d'analyse des entretiens portent sur les formes du discours, le plan
d'action, les motifs récurrents ou topoi, la gestion biographique.
Enfin, dans le champ des Sciences de l’information et de la Communication, nous nous ap-
puyons sur la sémiotique situationnelle et interactionniste définie par A. Mucchielli (Muc-
chielli, 2010).
L’idée est de rendre intelligible un processus d’échanges à partir de l’analyse d’une situation.
La perception d’un acteur est considérée dans sa subjectivité qui « produit une définition per-
sonnelle de la situation pour lui » dans un contexte spécifique. Mucchielli (Mucchielli, 2010,
170) pose la question du rapport à l’autre au sujet des identifications sociales, il écrit : « iden-
tifier l’autre, c’est le juger pour le définir, et ce jugement provient d’une mise en relation avec
les contextes. Identifier autrui c’est donner un sens à son être, c’est aussi le situer dans un en-
semble de contextes. ». Le sens pour l’action d’un individu se construit autour de différents
cadres ou contextes.
L’établissement de la grille de lecture des entretiens doit beaucoup aux travaux du chercheur,
qui propose la formalisation d’un tableau panoramique pour faciliter l’analyse de la situation.
Le tableau est composé en « cadres interprétatifs, des intentions et des enjeux de l’acteur, de
la culture et de ses normes de référence (des valeurs et des représentations de l’acteur), de ses
positionnements par rapport aux autres acteurs, de la qualité des relations entretenues, cadre
historique et temporel, cadre sensoriel.
Le caractère simplificateur du modèle n’échappe pas à A. Mucchielli (Mucchielli, 2010, 17)
qui remarque dans son introduction « la modélisation, n’est pas définie ici comme l’opération
de constructions de modèles, mais dans une perspective constructionniste, elle est finie
comme l’élaboration d’une représentation schématisée du fonctionnement des phénomènes
étudiés, représentation obtenue à partir d’une théorie et d’un modèle. ». Il cite Sinacoeur : « le
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