Obéir ou ne pas obéir, c`est ça la question Jean 14 : 15

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Obéir ou ne pas obéir, c’est ça la question
Jean 14 : 15-31
Verset clé Jean 14 :21
« Celui qui a mes commandements et qui les garde, c’est celui qui m’aime. Celui qui m’aime
sera aimé de mon Père, moi aussi je l’aimerai et je me manifesterai à lui.
Si Andrew Murray est un serviteur du 19e siècle en Afrique du sud qui soulignait
l’importance de l’humilité et l’obéissance – il souligne aussi à la fin de son livre « Humilité et
obéissance » l’importance de la prière matinale, comme le fit ce célèbre théologien allemand,
Bonheoffer dans son livre intitulé « la vie commune de la communauté ». Dalla Wallad est un
serviteur contemporain qui souligne l’importance de l’obéissance en son terme préféré de la
« soumission ». Dalla Wallad cite justement Andrew Murray, qui disait : « la raison pour
laquelle le chrétien mène une vie si pénible, c’est qu’il cherche la bénédiction de Dieu tout en
vivant selon sa propre volonté ; comme je vis la vie d’un chrétien à mon gré, ne serai-je pas
joyeux ? »
Alors, qu’est ce que la soumission ? C’est de renoncer à sa volonté pour faire régner
dans ma vie la volonté de Dieu. Jésus était la personnification de cette soumission. Il renonça
à sa volonté et obéit absolument à la volonté divine. La soumission absolue se compare à
l’obéissance à l’ordre du commandant dans l’armée. Dans cette unité sociale, l’obéissance de
corps à âme est exigée. Alors on est garantie de la victoire dans l’éventuelle guerre. Par
exemple, si un ordre du commandant concernant l’entrainement de chasse au matin puis
courir l’après-midi, alors si un soldat pense que la journée doit commencer par le jogging et
que celui-ci se traine sans trop de volonté et s’absente, c’est évidant qu’il sera puni bientôt,
son motif étant révélé.
Le noyau du message de Murray concernant l’obéissance est très simple. La croix de
Jésus se tient debout pour résoudre le problème le plus grave de l’homme : la désobéissance.
Il se pose la question : y a-t-il au commencement ces mots : foi, humilité ou amour ? Non,
mais il y a cet ordre d’obéissance. L’obéissance est un problème vital de l’homme. Adam et
Eve ont désobéi à l’ordre de Dieu et ils entrèrent dans une phase catastrophique de tourment
de l’âme. La vie errante de toute la vie de Caïn nous en dit long.
Jésus est venu et mourut pour nous sauver de nos péchés bien sûr. Mais il le fit pour
nous montrer comment, par l’obéissance absolue, l’homme qui aurait désobéi autrefois et en
qui le sang de désobéissance donnant l’effet permanent de l’angoisse et le trouble, circulant
toujours, peut être guéri et rétabli dans la paix absolue de Dieu. C’est la puissance
d’obéissance.
Ainsi la désobéissance n’est pas un problème moindre. Une désobéissance mène
l’homme à un trouble invisible mais existant sans doute. C’est un dilemme de l’homme. Le
meilleur exemple de cet état d’âme misérable serait les Pharisiens. Ils étaient remplis de leur
propre justice. Ils avaient cette assurance inébranlable qu’ils faisaient quelques choses à Dieu
par leurs propres actions. Mais leurs âmes étaient sans cesse dans un trouble inconnu. Ils
étaient des malades troublés toujours d’une sorte de malaise, si bien qu’ils avaient l’habitude
de dire : jusqu’à quand nous laissera-tu en suspens ? C’est à dire que leur âme est celle d’un
acrobate dans le cirque qui joue sur le fil.
Or, si nous en venons à savoir que quelle que désobéissance que ce soit conduirait
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notre âme dans cet état d’âme misérable, nous donnerions beaucoup plus d’attention à
l’importance de l’obéissance dans notre vie ! Donc vérifiez si un quelconque message ou une
quelconque lettre concernant l’obéissance vous parvient dans la journée ! Et si vous êtes
honnête pour le discerner et corriger votre réaction, si vous vous trouvez désobéissant, alors
vous serez dans la bonne voie, celle qui vous mène à la paix divine. Il est certain que cette
trouvaille quoique moindre me semble-t-il, du côté du dérangement de l’ennemi si fréquent et
intense est une action de Saint Esprit tout puissant.
Regardez les versets 15 et 16. Si on résume en un mot, le Saint Esprit est donné à ceux
qui sont obéissants. « Si vous m’aimez, vous garderez mes commandements, et moi etc... etc
... » Dieu est un Dieu relationnel. Dieu répond et réagit à l’homme qui agit. C’est pourquoi si
quelqu’un cherche la bénédiction sans qu’il ne donne pas la contrepartie, il dupe lui-même.
Dieu se réjouit de ce que son enfant l’aime et lui obéit. Il l’aimera et le bénira certainement.
Remarquez l’accouplement de ces mots aimer et écouter c’est à dire obéir, car on peut obéir
sans aimer et on peut aimer sans obéir. Les deux vont ensemble et s’il en est ainsi, Dieu bénit
l’homme et lui envoie le Saint-Esprit.
Dieu est donnant donnant dans cette affaire, comme l’homme l’est. Les gens disent à
Bon Dieu ! C’est à dire, même s’ils commettent les erreurs et les péchés et sont indifférents à
Dieu, celui-ci les bénirait en tout état de cause par sa miséricorde incommensurable. Puis ils
agissent comme leur semble bon. Mais notre Dieu est le Dieu de donnant donnant, comme
nous le sommes. Quant à moi, si mes fils m’aiment et m’obéissent, je suis heureux et j’ai
envie de les bénir. Mais s’ils me désobéissent, je les aime quand même, mais pourtant j’ai
moins d’envie de les bénir. C’est la même chose pour notre Dieu. Surtout, si nous aimons
quelqu’un et lui obéissons en écoutant sa Parole, nous pouvons nouer une relation avec lui. Et
celui-ci sans tarder nous aimera et priera pour nous bénir comme Jésus le fit devant Dieu.
Notre vie est dans la bonne voie de la bénédiction. Pensez-y. La désobéissance n’est pas
uniquement une affaire vis-à-vis de Dieu. Elle est une affaire de toute la relation humaine.
Vous pouvez choisir chaque instant l’obéissance ou la désobéissance. Mais comme Murray
ou Wallad a dit ; « Nous pouvons les choisir (obéissance ou désobéissance), mais nous ne
pouvons pas choisir la conséquence que nous donne la désobéissance dans notre âme. »
Comme je vous ai dit : angoisse et tribulation dans vos âmes. N’est-ce pas horrible d’y
penser. Mais en général les gens ne prennent pas si au sérieux ce choix.
J’ai parlé tout à l’heure de deux vocabulaires qui vont ensembles : aimer et obéir.
Vous vous souvenez de ce que dans un de mes messages derniers Tom Holiday (collaborateur
de Rick Warren) a dit que si le pardon est instantané, la confiance est dans le temps. Je dirai
que c’est la même chose pour ces 2 vocabulaires. Si l’obéissance est instantanée, l’amour est
dans le temps. Laissez-moi vous citer un passage de Wallad qui me parait très significatif. En
écoutant le verset clé de notre texte d’aujourd’hui, « Celui qui a mes commandement et qui
les garde, c’est celui qui m’aime. » Il dit à peu près ceci ; même si nous ne savons pas tout ce
dont le Seigneur nous a parlé, nous pouvons commencer par sa Parole. Celui qui veut
assimiler sa volonté à celle de Dieu commence toujours par sa Parole. Accepter la Parole
n’est pas si difficile que cela. Maintenant décidons donc à y obéir. A notre insu, cela nous
amènera à un éveil spirituel profond, sans parler d’arriver à la connaissance suffisante de la
volonté que Dieu a pour nous (fin de citation).
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Une fois décidé d’y obéir, nous entrons du coup dans le monde profond de l’amour.
Le chanteur coréen d’antan a chanté : « l’amour est le grain des larmes. » C’est vrai que
l’amour humain engendre la tristesse et la séparation. Mais l’amour divin a un tout à fait autre
domaine. Il est comme cette atmosphère si fraiche du printemps après que la pluie tombée
arrose la terre aride. Imaginez naître un amour dans vos coeurs, cela sera vraiment un
sentiment inexprimable de gaieté et de félicité. Vous aurez l’accès à cet état d’âme, dès que
vous décidez dès maintenant à obéir à la parole divine et à la parole des hommes. L’amour
nait et se propage, en sorte que toute votre âme s’y plonge. C’est la plus grande beauté qu’on
puisse éprouver dans la vie. C’est l’état que celui qui a surmonté l’orgueil du coeur peut
atteindre. Alors, ce terrain de coeur est si pur et si chaste qu’il est prêt à recevoir le don du
ciel. Alors, Dieu envoie son Esprit.
Alors qui est le Saint Esprit ? L’Esprit Saint est décrit Consolateur. Comme 2ème
Corinthien le dit, notre Dieu est le Dieu de consolation. Donc, il nous envoie le consolateur. Il
ne laisse jamais ses enfants dans la tristesse et les afflictions. Il ne rate jamais de venir à nous
consoler, afin que nous puissions consoler aussi les autres. Une personne m’a dit : je ne dis
pas cela pour être consolée. Elle est si fière qu’elle ne veut pas être consolée, du moins
qu’elle ne veut pas paraître faible qui a besoin d’être consolée. Mais, l’homme humble reçoit
la consolation que Dieu et les hommes donnent. Mais la vraie consolation vient par la
repentance. Quand un pécheur se repent, c’est la joie du ciel. Si bien que tous les anges se
lèvent pour chanter Gloria. Mais sachons-le. Le 1er bénéficiaire de la repentance est celui
même qui se repend. Une âme repentante reçoit une profonde consolation.
Ces jours-ci, Dieu a travaillé si puissamment parmi nous. Il travaillait si
gracieusement à travers le Pain Quotidien. D’abord, depuis le début de l’année, Dieu a donné
la biographie de George Muller puis la bonne santé à notre pasteur. Et quand celui-ci sert de
tout son coeur le sermon matinal, le Saint-Esprit commença à agir dans le coeur des
participants. Qui sert de tout son cœur le sermon matinal, le Saint-Esprit commença à agir
dans le cœur des participants. Un frère s’est repenti de son cœur haineux envers son collègue
de travail. Mais quand il accepta le conseil du serviteur, Dieu lui a donné la force de
surmonter son sentiment et la situation relationnelle aggravée s’est fortement renversée si
bien qu’il se sente maintenant dans sa peau au sein de son travail.
Quand une sœur s’est repentie de son égoïsme par lequel elle n’a pas partagé tous ses biens
avec son enseignante, à qui elle a décidé désormais de s’humilier, Dieu lui donna non
seulement la réussite de son concours et de son embauche, mais elle a ce bonheur de
comprendre la volonté divine de faire d’elle une source de bénédiction pendant son voyage
dans son pays et elle est partie heureuse.
Quand un frère se repent de ce qu’il était attaché à sa chair, et qu’il restait faible dans la
recherche du travail, Dieu lui a donné la vision d’obtenir un travail par lequel il deviendra
une source de bénédiction.
Quand une servante s’est repentie de sa tendance vers l’amusement du monde, Dieu lui a
donné une grande délivrance, si bien que quand le serviteur lui a indiqué sa faute, peut-être
s’est la première fois dans sa vie me semble-t-il, elle ne laissa pas sa fierté féminine être
blessé, mais comme cette syrophénicienne, qui se moquait de la moquerie de Jésus, n’est-ce
pas, car il disait qu’elle était une chienne sous la table, elle lui a rétorqué avec une parole de
joie et d’assurance.
Notre Dieu est le Dieu de consolation. Il envoie le Saint-Esprit comme un autre consolateur et
il travaille puissamment quand une âme s’est repentie. Peut-être un des mots les plus durs
serait pour les hommes la repentance. Mais quand à ce sujet, il me parait opportun de cité le
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verset de Romain 8 :18 « J’estime qu’il n’y a pas de commune mesure entre les souffrances
du temps présent et la gloire à venir qui sera révélée pour nous. » Vraiment après cette
souffrance de la repentance, nous atteindrons cette terre si riche, fertile, gracieuse de la gaieté
et de la félicité. Elle est à la portée de ceux qui sont assez humbles pour l’écouter et y obéir.
Deuxième appellation du Saint-Esprit, est l’Esprit de vérité. La postmodernité est caractérisée
par les chemins de tout azimut. Par un simple clic, nous pouvons recueillir toutes les données
de l’orient à l’occident. Mais le problème, c’est que l’homme perd facilement le repère suite à
cette abondance et affluence de données de toute part. L’homme ne sait plus où aller. Quand
le Saint-Esprit est appelé Esprit de vérité, cela implique fortement qu’il s’agit pour nous d’un
chemin de la vie. Avec toute la confusion des systèmes, on perd la direction. On se perd
facilement comme l’écume de la mer dans cette postmodernité. Alors que faire ? Jésus dit
précédemment : « Moi, je suis le chemin et la vérité et la vie » Sans Jésus, la vie est perdue.
La vie de l’homme sera une éternelle errance. Dans la désobéissance, il vit une désobéissance
semblable à celle de Caïn qui confessa une fois, je serai errant, tremblant sur la terre. Puis
dans la constante peur intérieure, il disait : si quelqu’un me trouve, il me tuera. Donc sa vie
est un éternel vagabondage. Et l’homme a beau voyager ici et là (à tout à l’heure l’animatrice
à dit qu’elle aime voyager ici et là) car le soulagement ne sera nulle part au rendez-vous avec
lui dans le monde. Cette vie est tragique. Mais si l’Esprit de vérité rend visite à une âme, c’est
un monde tout à fait différent qui s’ouvre devant lui. Elle goûte un éternel bonheur qui
commence à circuler en elle. C’est un miracle.
Le verset 17 parle d’une sorte d’étanchéité. Il existe cette inexorable étanchéité entre le SaintEsprit et le monde. Le monde cherche une preuve, et demande une preuve pour démontrer
l’existence de Dieu parce qu’il ne le voit pas. Mais celui qui reçoit le Saint-Esprit, perçoit
Dieu quoi qu’il ne le voie pas. Il perçoit le monde spirituel, il perçoit le monde de SaintEsprit. Il perçoit le monde de mauvais esprits. Il sait dominer sur le monde de mauvais esprit
et il accueille et se réjouit du monde spirituel du Saint-Esprit. Il connaît personnellement
Jésus-Christ, le Fils, et Dieu le Père. Les Mahométans rejettent le Saint-Esprit car ils ne
croient pas en la trinité. Comment un seul Dieu peut avoir trois personnes ? Mais il est une
personne réelle qui existe et qui communique avec l’homme. Il est prêt de l’homme pour le
consoler et le conduire. Puis, il demeure en lui, en sorte que l’homme ne se sente plus
orphelin, abandonné mais il est toujours guidé, conduit, protégé par lui. Donc ce n’est pas la
peine de parler ou de dire que je suis abandonné.
Yan Mark, au niveau chronologique, je dirai, nous avons lieu de noter une légère différence
entre ces 2 nominations entre le consolateur et l’esprit de vérité. Après la croix, alors que le
second vient déjà avant la croix bien qu’il soit la même personne. Malgré l’immaturité
spirituelle, Jésus reconnut que les disciples connaissaient l’esprit de vérité car il était prêt
d’eux. Dès qu’il laissait tout et commencèrent à le suivre et qu’ils ouvrirent le cœur devant la
parole de Jésus, cet esprit était auprès d’eux. Il conduisait leur vie afin qu’ils grandissent et
mènent une vie spirituelle. Mais c’est après la mort et la résurrection, qu’ils recevront le
consolateur. C’est comme si c’est après la repentance des péchés que la vraie consolation
vient auprès de nous. Donc l’esprit de vérité ne suffit pas. Nous devons attendre la visite du
consolateur par l’expérience de la passion du Christ. Alors notre connaissance de Jésus-Christ
et de Dieu sera complète. A ce moment, Jésus dit : nous connaîtrons que Jésus est dans le
Père et nous en lui et lui en nous. C’est comme la relation qui s’approfondit à mesure que le
temps passe, vous voyez… La puissance de la vérité est telle que, dès que nous l’acceptons,
nous pouvons voir le chemin à prendre. Mais ce n’est pas tout. La grâce viendra
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profondément à travers la rencontre personnelle avec Jésus mort et ressuscité. Paul dit donc :
« Lorsque j’étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je
raisonnais comme un enfant ; lorsque je suis devenu homme, j’ai aboli ce qui était de
l’enfant. » L’amour dans la phase de ‘l’Esprit de vérité’ est enfantin. Mais l’amour dans la
phase de ‘consolation’ est mûr. Nous avons grandit dans l’amour à cause de cette relation
ferme, solide venant de la croix de Jésus-Christ. En ce qui concerne le monde, par la force de
cette relation d’amour personnel avec Dieu, nous pouvons le vaincre.
Jude, non pas l’Iscariot dit à Jésus : « Seigneur, comment se fait-il que tu doives te manifester
à nous et pas au monde ? » Jude voulut se faire valoir dans le monde. Mais à cette question,
Jésus ne donna pas de réponse claire. Il parla de nouveau de l’amour et de l’obéissance. Celui
qui ne m’aime pas, ne gardera pas mes paroles. Mais si quelqu’un m’aime, il gardera ma
parole, et mon père l’aimera. Nous viendrons vers lui et nous ferons notre demeure en lui.
Dans Galate 6 :14, Paul dit : Par la croix de notre Seigneur Jésus-Christ, le monde est crucifié
pour moi et comme je le suis pour le monde. Ainsi Paul était en quelque sorte pour le monde
divisé ou étanche du monde quoi qu’il vive dans le monde. Combien le monde est-il attirant
pour nous, comme il l’était certainement pour Jude. Mais la Bible dit : N’aimez pas le monde.
Celui qui aime le monde l’amour de Dieu ne demeure pas en lui. Or quand nous aimons Dieu
et lui obéissons, nous voyons le Père avec son Fils et son esprit entrer en nous et y demeurer.
Par cette relation intime, précieuse, nous pouvons vaincre le monde.
Un serviteur en vint à se loger tout seul dans une chambre d’hôtel. Il fut étonné dans ce pays,
qu’un si humble hôtel fut équipé d’une télévision à grand écran, avec une grande variété de
chaînes. Un moment il fut attiré par une chaîne charnelle. Personne ne l’aurait vu. Mais ce
serviteur se courba au pied de son lit et la grâce de Dieu envahissait son âme. Il fut délivré de
cet attachement mondain. C’était vraiment une étrange expérience. Il est évident que c’était
l’action de Saint-Esprit par laquelle le Père vint en lui et demeurer en lui. Quand il ouvrit la
télé de nouveau, il tomba dans une chaîne chrétienne où il put voir un pasteur qu’il avait
rencontré autrefois dans une conférence et avec qui il avait put converser. Il était en train de
parler de son temps gracieux de quiétude matinale. Ce serviteur qui s’était logé, était si
joyeux de le revoir à l’écran et voulut s’affermir dans ce chemin que Dieu lui avait montré au
début de l’année pour la quiétude matinale. C’était pour lui un grand encouragement de la
part de Dieu. Le grand bénéfice de celui qui obéit à la parole de Jésus est la paix.
Regardez le verset 27 : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Moi, je ne vous donne
pas comme le monde donne. Que votre cœur ne se trouble pas et ne s’alarme pas. » Selon le
dire des marins, le courant du fond de la mer est très calme à la différence du courant à la
surface de la mer. Puis, le courant du fond de la mer coure à l’opposé de la direction du
courant de surface de la mer. C’est la paix de Dieu. Aucune tribulation du monde extérieure
ne peut troubler celui qui se confit en l’Eternel. Au fait comme Jésus le dira plus tard dans le
verset 30, le monde est gouverné par qui ? Par son prince, son prince appelé démon. La
plupart des gens qui ne connaissent pas le Saint-Esprit, sont conduit par ce prince. Celui-ci
prend le gouvernail de la vie de l’homme et le conduit comme lui semble bon. Il fait
trébucher, trembler sans cesse des âmes faibles par divers évènements et vicissitude de la vie.
Pour elle, un moindre souffle suffit pour renverser leur foi cumulée pendant peut-être
quelques années. Mais celui qui aime Jésus plus que tout, et qui obéit à sa parole, ce prince
sera devant un roc solide, un adversaire imbattable. Quand nous dépendons du Saint-Esprit
que Dieu est prêt à donner à ceux qui lui obéissent, peuvent largement vaincre sa force si
redoutable soit-elle. Lisons le verset 21 « Celui qui a mes commandements et qui les garde,
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c’est celui qui m’aime. Celui qui m’aime sera aimé de mon Père, moi aussi je l’aimerai et je
me manifesterai à lui. »
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