Des prélèvements de sang artériel (qui entre dans le muscle) et de

Des prélèvements de sang artériel (qui entre dans le muscle) et de sang veineux (qui sort du
muscle) sont effectués simultanément lorsque le muscle est au repos puis pendant que le
muscle est en activité. Ceci permet de mesurer à chaque fois la teneur en dioxygène et en
glucose du sang.
Représenter la manipulation réalisée, en complétant le schéma ci-dessous :
Pour cela :
Légender le schéma à partir des informations contenues dans le petit texte,
Représenter les lieux de prélèvements par une flèche.
Titrer le schéma.
Le document ci-dessous représente les consommations musculaires obtenues à partir des
mesures sanguines effectuées.
Exploiter le document ci-dessous, pour cela rédiger un texte dans lequel vous décrirez ou
vous interpréterez le document.
0
0.5
1
1.5
2
2.5
3
Repos Effort faible Effort mo
Consommation de O2
(L/min)
Consommation de
glucose (mMol/min)
Consommation de O2 (L/min)
Consommation de glucose
(mMol/min)
VARIATIONS DES CONSOMMATIONS MUSCULAIRES A L’EFFORT.
Variations des consommations musculaires à l’effort
NOM : Prénom :……………… Classe :
Evaluation du texte produit
Evaluation de
l’enseignant
Réussi
Non réussi
Réussi
Non réussi
Le texte est scientifiquement correct.
Le document est exploité :
- Les informations sont saisies en
utilisant des valeurs chiffrées.
Comparaison des données concernant la
consommation de dioxygène
Comparaison des données concernant la
consommation de glucose
- Conclusion en formulant les
connaissances nouvelles
L’exercice a été entièrement réalisé
dans le temps accordé.
Il n’y a pas de fautes de grammaire ni
d’orthographe.
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------
NOM : Prénom :……………… Classe :
Evaluation du texte produit
Evaluation de
l’enseignant
Réussi
Non réussi
Réussi
Non réussi
Le texte est scientifiquement correct.
Le document est exploité :
- Les informations sont saisies en
utilisant des valeurs chiffrées.
Comparaison des données concernant la
consommation de dioxygène
Comparaison des données concernant la
consommation de glucose
- Conclusion en formulant les
connaissances nouvelles
L’exercice a été entièrement réalisé
dans le temps accordé.
Il n’y a pas de fautes de grammaire ni
d’orthographe.
LES RESERVES DE GLUCOSE DANS L’ORGANISME.
Document 1 :
Le glucose est une molécule soluble transportée aux cellules par le sang. Il arrive dans le sang
après la digestion des aliments au niveau de la paroi intestinale. Le glycogène est une forme
de stockage du glucose dans les cellules. C’est une macromolécule constituée de nombreuses
molécules de glucose associées. Il est présent dans les muscles et dans le foie.
Document 2 : Evolution de la concentration en glycogène dans un muscle au cours d’un
exercice intense :
A l’aide de ces documents, mettre à l’épreuve l’hypothèse.
Pour cela :
- Exploiter chacun des documents individuellement.
- Effectuer la mise en relation des informations ainsi collectées.
- Conclure sur la validité de l’hypothèse.
- Rédiger un bilan.
LA DIFFUSION DU DIOXYGENE AU NIVEAU DES ALVEOLES PULMONAIRES
On peut évaluer la quantité de dioxygène qui diffuse des alvéoles pulmonaires vers le sang.
Elle dépend du pourcentage de dioxygène présent dans les alvéoles pulmonaires. Ce
pourcentage est proportionnel à la pression partielle de l’air alvéolaire en dioxyne (PO2) *.
La P O2 se mesure en millimètre de mercure (mm de Hg).
Au repos la P O2 alvéolaire est de 106,4 mm de Hg, elle peut augmenter jusqu’à
atteindre 120 mm de Hg lorsque la respiration s’accélère.
*Remarque :
La pression partielle d'un gaz dans un mélange est la pression qu'aurait ce gaz s'il occupait
seul tout le volume du mélange.
1 .Dites quelle est la quantité de dioxygène (en mL) fixée par litre de sang, au
repos et lors de l’effort.
Pour cela :
- Utiliser les informations apportées par le document et par la lecture rigoureuse de la
courbe.
2. Mettre à l’épreuve l’hypothèse.
Document : Quantité de dioxygène fixée par le sang en
fonction de la PO2 de l’air alvéolaire.
5
SPIROMETRIE
La spiromètrie est l’enregistrement en temps réel des volumes mobilisés dans les
différents mouvements respiratoires (inspiration et expiration).
Pour être aidé dans ces mesures, on utilise un ordinateur qui enregistre en temps réel la
variation des volumes respiratoires et trace la courbe sur l’écran.
Pour effectuer ces mesures réaliser les manipulations suivantes :
Poursuivre la manipulation.
Positionner, sur le capteur qui va enregistrer vos mouvements respiratoires, un
embout stérile.
Placer l’embout dans la bouche et respirer normalement.
Démarrer alors la manipulation, en cliquant sur la flèche rouge (en haut de l’écran).
Lorsque 30 secondes sont écoulées, réaliser des flexions pendant 30 secondes,
positionner à ce moment là un repère sur la courbe au début et à la fin des flexions. Pour y
arriver, cliquer sur repère (petit drapeau), et positionner le repère au bon endroit. Donner un
titre à la courbe ainsi tracée.
Respirer normalement jusque-là fin de la manipulation.
Appeler l’enseignant pour faire valider votre courbe.
Imprimer la courbe, uniquement si elle est valable.
ATTENTION : Pour que l’enregistrement soit valable, il faut respirer en permanence par la
bouche, sans pour autant forcer sa respiration, dans ce cas les valeurs se retrouvent faussées et
l’enregistrement n’a aucun sens. Pour ces mêmes raisons à aucun moment l’embout ne doit
être sorti de la bouche.
TP : Mesure de la fréquence cardiaque.
L’une des manières les plus simples de mesurer la fréquence cardiaque est de prendre le pouls au
niveau d’une grosse artère au poignet ou au cou (artères carotides). Le pouls correspond à une déformation de
la paroi des artères, sous l’effet de la pression du sang. Dans les grosses artères, cette pression n’est pas
constante : elle est maximale lorsque le cœur se contracte (systole) et propulse un flot de sang. Lors du
relâchement du cœur (diastole), le sang n’est plus envoyé dans les artères et la pression diminue. La paroi des
artères est élastique : elle est déformée par le flot sanguin puis revient à son diamètre initial. Les déformations
perçues au niveau du poignet ou du cou, traduisent donc bien la succession des contractions cardiaques et
permettent d’en mesurer la fréquence avec précision.
1 : Pendre le pouls au niveau du poignet ou du cou pendant une durée de 30 secondes.
2 : Calculer la fréquence cardiaque au repos (nombre de battements par minute) ; noter ce résultat dans le
cours.
3 : Effectuer 30 flexions complètes (en descendant au maximum).
4 : Dès la fin de l’effort, prendre à nouveau le pouls pendant 30 secondes.
5 : Calculer la fréquence cardiaque après l’effort.
6 : Présenter les résultats sous forme d’un tableau dans le cours.
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