b) R(x) = x
P = x (12 –
x) = 12x –
x2
donc
2) a) La limite en +
d’une fonction polynôme est égal à la limite du monôme de plus haut degré en +
donc
f(x) =
–
x2 = –
car –
< 0 et
x2 = +
b) f est une fonction polynôme définie et dérivable sur [0 ; + [ et f ’(x) = –
2x + 12
soit f ’(x) = – x + 12 f ’(x) est de la forme ax + b avec a = – 1 < 0 et – x + 12 = 0
x = 12
On en déduit le tableau de signes de f ’(x).
c) Sur [0 ; 12[, f ’(x) > 0 donc f est croissante. Sur ] 12 ; +
[, f ’(x) < 0 donc f est décroissante.
On en déduit le tableau de variations de f.
f(0) = –
0² + 12
0 = 0 et f(12) = –
12² + 12
12 = –
+ 144 =
= 72
3) a) D’après la question 2), la fonction f admet un maximum pour x = 12 et ce maximum vaut 72. Or, la
fonction f est la fonction R donc la recette est-elle maximale pour 12 objets vendus.
b) La recette maximale s’élève à 72 euros.
Partie B
1) Le bénéfice est égal à la différence entre la recette et les coûts de production
B(x) = R(x) – C(x) = –
x2 + 12x – (
x3 – 6x² + 36x – 50) = –
x2 + 12x –
x3 + 6x² – 36x +
50
Soit
2) a) La limite en +
d’une fonction polynôme est égal à la limite du monôme de plus haut degré en +
donc
g(x) =
–
x3 = –
car –
< 0 et
x3 = +
donc
b) g est une fonction polynôme de degré 3 définie et dérivable sur [0 ; + [
et g’(x) = –
3x2 +
2x – 24 donc
.
g’(x) est un polynôme du second degré. Pour étudier son signe, on calcule le discriminant et on cherche
les éventuelles racines. = 11² – 4
( –1)
(– 24) = 121 – 96 = 25 = 5²
donc g’(x) s’annule pour x =
=
= 8 et x =
=
= 3 et g’(x) est du signe de a = – 1
donc négatif à l’extérieur des racines. On en déduit le tableau de signes de g’(x).
c) D’où les variations de la fonction g.