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1. l’alimentation et la nutrition
QUEST-CE QUE SE NOURRIR ?
Prélever dans un milieu extérieur des éléments (aliments) de manière à
construire son propre organisme et ses propres organes (grandir,
entretenir la structure, créer une descendance,…)
Nutriments + énergie.
Pour cela nous avons besoin d’un système digestif que tous les
hétérotrophes possèdent.
QUEST-CE QUE DIGERER ? QUELS SONT LES EVENEMENTS QUI SE PASSENT
PENDANT CE PHENOMENE ?
Il y a la décomposition mécanique (broyer) et la décomposition chimique
(sucs) qui vont permettre aux aliments de devenir solubles, de passer dans
le sang et de s’intégrer aux organes.
(Méthodologie cf. notes)
2. Le cœur, le sang, la circulation
LES CELLULES
Globules rouges (hématies) : minuscules disques biconcaves sans noyau au
cytoplasme lacuneux et entouré d’une membrane élastique. Le cytoplasme
permet de fixer l’oxygène de façon réversible (hémoglobine). Au terme de
leur vie elles sont désintégrées par le foie ou la rate.
L’hémoglobine : assure le transport de l’oxygène des poumons vers les
tissus.
Les globules blancs (leucocytes) : ils sont moins nombreux que les globules
rouges. Il en existe différentes variétés et sont de forme irrégulière. La
plupart d’entre eux sont des phagocytes qui ingèrent ou détruisent les
bactéries et les cellules mortes qu’ils entourent, absorbent et digèrent.
Ils défendent le corps, certains étant chargés de « reconnaître » les
corps étrangers et les toxines, d’autres étant chargés de secréter des
antipoison.
Les plaquettes : jouent un rôle important dans la coagulation du sang.
Le plasma : partie liquide du sang. Il transporte la nourriture digérée, le
gaz carbonique et les déchets.
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LA CIRCULATION
Le mouvement du sang renouvelle constamment le fluide baignent les
cellules qui roivent ainsi un apport permanent d’oxygène et de
nourriture. Ce mouvement empêche également les déchets toxiques de
s’accumuler.
A. Transport de l’oxygène depuis les poumons jusqu’aux tissus.
Suite à la haute concentration d’oxygène dans les poumons, l’hémoglobine
(de couleur rouge foncée) va se combiner à l’oxygène (= oxyhémoglobine,
de couleur rouge vive). Lorsque l’oxyhémoglobine atteint un tissu actif
utilisateur d’oxygène, elle se dégrade et libère de l’oxygène qui traverse
les parois capillaires pour rejoindre les cellules.
B. Transport du gaz carbonique des tissus vers les poumons.
Le gaz carbonique produit par la respiration active des cellules se répand à
travers les parois capillaires et se dissout sous le plasma. Le gaz est
ensuite libéré par les poumons, diffusé dans les alvéoles puis expulsé.
Transport des déchets des tissus vers les reins.
Les activités chimiques de l’organisme produisent des déchets toxiques qui
sont diffusés dans les systèmes capillaires et lymphatiques et
transportées par le plasma jusqu’aux reins où une large proportion de ces
déchets est rejeté et expulsée.
C. Transport de la nourriture digérée de l’iléon vers les tissus.
Les produits solubles de la digestion pénètrent dans les capillaires et les
villosités intestinales. Le plasma les transporte et ils entrent dans la
circulation générale après leur passage dans le foie.
D. Distribution des hormones.
Le plasma fait circuler les hormones à travers tout le corps, à partir des
glandes spécialisées qui les élaborent.
E. Répartition de la chaleur et thermorégulation.
L’activité musculaire et chimique libre de la chaleur. Le sang distribue au
corps entier la chaleur produite localement et régule ainsi la température
générale.
F. Formation de caillots
Lorsque le vaisseau est sectionné ou sa muqueuse endommagée, les
plaquettes et les tissus atteints sécrètent une substance chimique qi
transforme le fibrinogène en fibrine qui va organiser un réseau de fibres
tendues à travers la blessure. Un caillot se forme de manière à stopper
l’écoulement du sang et empêcher la pénétration de bactéries et de
substances toxiques.
G. Prévention des infections
Lorsque la peau est blessée et que les bactéries pénètrent dans la plaie,
une partie des globules blancs émigrent vers la lésion à travers les parois
des capillaires et encerclent, puis digèrent, les bactéries qui ont envahi les
tissus.
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SYSTEME CIRCULATOIRE
Les vaisseaux sanguins formant un système continu qui communique avec
toutes les parties vitales de l’organisme. Le sang y est propulsé (toujours
dans le même sens) par les contractions musculaires du cœur à travers
lequel le sang passe et repasse.
Les artères : canaux assez larges transportant le sang du cœur vers les
membres et les différents organes. Leur paroi épaisse, leur structure
épaisse de structure élastique leur permet de supporter les ondes de
pression produites par le sans qui sort du cœur. Les artères se ramifient
en vaisseaux plus petits (artérioles). Les artérioles se subdivisent en
vaisseaux encore plus petits qui s’infiltrent dans tous les tissus (les
capillaires).
Les capillaires : vaisseaux dont la paroi réduite à une assise unique de
cellules. Leur parois est perméable et se laisse traverser par l’au et les
substances dissoutes.
Les capillaires finissent par s’unir pour former des veinules qui se
rejoignent à leur tour pour former des veines qui ramènent le sang vers le
cœur.
Les veines : transportent le sang de la périphérie de l’organisme vers le
cœur. La pression y est régulière et plus faible que dans les artères.
LE CŒUR
Le cœur est un organe musculaire contractile. Il est partagé en 4 cavités :
2 oreillettes et deux ventricules séparés deux à deux par la cloison
longitudinale qui divise le cœur en une partie droite et une partie gauche.
(Suite cf. feuille) - lire est savoir expliquer en gros
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3. la respiration
Respiration = processus de libération de l’énergie avec l’utilisation d’oxygène
et production de gaz carbonique.
Différents phénomènes (mouvements, croissance, reproduction) entraînent
une dépense d’énergie.
Animaux rudimentaires : l’épiderme entier absorbe l’oxygène.
Animaux supérieurs : dotés de systèmes d’échanges spécifiques (poumons,
branchies) qui assurent généralement l’évacuation du gaz carbonique
excédentaire. L’oxygène se combine à l’hémoglobine du sang dans l’organe
respiratoire. (Transporté dans toutes les parties du corps => respiration
cellulaire).
A. POUMONS
Composé de 2 viscères élastiques aux parois fines situées dans le thorax.
Mouvements : gonfler/comprimer => air renouvelé (inspiré/ expulsé).
Communiquent avec l’atmosphère par la trachée qui s’ouvre dans le pharynx.
Structure du poumon :
Trachée se divise en 2 bronches qui se subdivisent en bronchioles qui elles se
subdivisent encore en alvéoles (masses de petits sacs très minces).
Les bactéries inspirée avec l’air sont arrêtées par a pellicule de mucus et les
mouvements des cils.
L’étouffement ou la toux = réaction reflexe pour évacuer les corps étrangers
introduits accidentellement dans la trachée ou les bronches.
Alvéoles ont des parois élastiques, minces, formées d’une assise unique de
cellules. Elles sont irriguées par un réseau capillaire très dense. Ces vaisseaux
transportent le sang désoxygéné expulsé par le ventricule droit, par
l’intermédiaire de l’artère pulmonaire.
B. ECHANGES GAZEUX
Les alvéoles ont une grande quantité d’oxygène qui se dissous dans la pellicule
humide du mucus pour traverse l’épithélium, la paroi capillaire, le plasma pour
arriver aux globules rouges où il se combine à l’hémoglobine.
C. RYTHME RESPIRATOIRE
16 respiration / minutes en moyenne.
Une zone du cerveau qui est extrêmement sensible au gaz carbonique dans le
sang contrôle inconsciemment le nombre de respirations par minute. Le
cerveau envoie automatiquement des impulsions nerveuses au diaphragme et
aux muscles intercostaux qui régulent la respiration.
Une activité intense provoque une élévation de la concentration de gaz
carbonique dans le sang => la respiration s’accélère de manière à évacuer le
CO2. On peut contrôler, la plupart du temps, son rythme de respiration.
L’expiration résulte principalement du relâchement des muscles intercostaux
et du diaphragme. Méthodologie cf. notes
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4. l’œil
Iris : partie colorée de l’œil.
Pupille : point noir qui se trouve au centre de l’œil.
Sclérotique : blanc de l’œil.
Cristallin : partie transparents de l’œil qui est une « loupe »puissante et
déformable.
Cornée : sorte de loupe qui recouvre l’iris et la pupille
Rétine : couche nacrée. Il s’agit de la seule couche sensible constituée de
cellules nerveuses. La lumière qui arrive en dernier lieux dans la rétine est
envoyée par celle-ci par un influx nerveux vers le cerveau grâce au nerf
optique.
Choroïde : couche noire se trouvant dans l’œil. Elle prend en charge la
nutrition de tous les tissus oculaires.
La choroïde n’est pas toujours noire. Elle ne l’est pas chez les animaux
nocturnes.
Cf. méthodologie dans les notes
5. les 5 sens
LE TOUCHER
Le sens du toucher siège dans la peau et comporte environ 4 millions de
récepteurs nerveux.
Il s’agit en majorité de dendrites.
Dendrites : elles logent dans la moelle épinière et sont très longues.
- Les expansions nerveuses libres (récepteur nerveux simple) elle se faufile
entre les cellules des couches de la peau et se retrouvent dans l’épiderme
(récepteurs de la douleur)
- Corpuscules (récepteur nerveux complexe) il sont dans une capsule.
(récepteur de température : froid et chaud). Ils se situent dans derme et
l’hypoderme.
L’OUÏ
L’oreille contient des récepteurs sensibles aux vibrations de l’atmosphère.
Structure :
Oreille externe : - Conduit auditif ouvert sur le côté de la tête.
- Pavillon qui concentre et dirige les vibrations + provenance
du son.
- Tympan.
Oreille moyenne :- Cavité crânienne remplie d’air.
- Trompe d’eustache qui permet de communiquer avec la
partie postérieure de la cavité buccale.
- 3 petits osselets qui relient le tympan à la fenêtre ovale.
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