Cet article est une traduction automatique légèrement révisée de l'original en anglais. SÉMINAIRE DE POLITIQUES PUBLIQUES, ÉTAT ET CITOYENNETÉ (Forum Social Mondial Mumbai) (Le Groupe du Réseau pour une Économie Solidaire GRESP a accepté la tâche de coordonner le Séminaire dans le cadre de l'Alliance pour un Monde Responsable, Pluriel et Solidaire. Mon intérêt est de trouver des orateurs de pays Asiatiques qui participeront à l'Événement.) ____________ Pourquoi un groupe qui travaille sur l'ÉCONOMIE SOLIDAIRE organise-t-il un séminaire sur les politiques publiques ? Tous les jours nous répétons et rappelons mutuellement qu'il ne sera possible de construire une économie solidaire que depuis le scénario local, d'en bas et de l'intérieur. Pourquoi, en effet, le sujet de politiques publiques devrait-il être introduit ? 1 C'est important de réaliser un cadre juridique adéquat parce que, même si les lois ne produisent pas de la solidarité, elles peuvent aider ou bloquer son développement. Certaines lois encouragent l'individualisme, d'autres encouragent la participation. Il y a des lois qui placent les citoyens dans une position compétitive. La faim et la pauvreté ne favorisent pas la solidarité. 2 Et quant aux citoyens ? Certains États sont construits de telle manière qu'ils découragent la participation active des citoyens. (Souvenez-vous du slogan: “Consommez, produisez et taisez-vous”). Nous devons reconnaître que la figure du faux citoyen nous est familière, le citoyen qui a seulement un but, parvenir à accord avec quelque ‘directeur' qui dirige l'État sur le bon chemin. Ce faux citoyen ne soulève pas de questions et n'a pas de réponses. Par conséquent, il ou elle ne questionnera pas les dirigeants du moment (les chefs de gouvernement, le président ou premier ministre) sur leur conduite éthique. Encore une fois, d'en bas et de l'intérieur nous devons trouver la force et les ressources pour réaliser des politiques publiques qui mènent à l'organisation d'un État avec un signe différent; un nouveau type de citoyen en mouvement. 3 Le mot clé est l'ÉGALITÉ. Cette caractéristique fondamentale dans la construction de la citoyenneté authentique devrait être réalisée dans le domaine social et culturel, mais aussi dans l'économique. Si la vraie égalité n'est pas réalisée cela n'aura aucun sens de parler de citoyens libres, et la seule voie qui mène à un tel développement désiré passe par l'égalité. a) En premier lieu, la collection de l'impôt doit être égale quant à cette égalité économique. C'est-à-dire, un système de contributions directes est nécessaire, un dont les critères impérieux sont “ceux qui ont plus paient plus”. Dans beaucoup d'États cela n'implique pas de créer de nouveaux impôts. Ce qu'il faut est un gouvernement capable d'obliger les riches à payer les impôts déjà établis. b) Si toute vie sociale est organisée depuis le centre, il devient impossible pour le citoyen ordinaire d'y participer. Par conséquent, nous devons lutter pour une décentralisation efficace. Cela commence par établir un équilibre entre les pouvoirs exécutif et législatif, dont le dernier est déterminant, avec un pouvoir judiciaire solide et indépendant. c) Cette qualité est ce qui l'on est venu à appeler la transparence, que nous exigeons de toute autorité publique. Une autre qualité, la participation, correspond aux citoyens. Ce sont les deux côtés de la même pièce dans le scénario national-local-mondial (GLONCAL). Dans ce scénario aucun citoyen ne peut être exclu, pas le nouveau né ou le citoyen à naître, quelle que soit son occupation, homme ou femme, quel que soit son âge et ses talents. d) Nous devons construire des sociétés qui combinent le bien-être total de tous les citoyens. L'administration harmonieuse de leur patrimoine donnera la priorité à la nutrition, le logement, la santé et l'éducation. Dans notre vision et par suite de cette égalité, et seulement ensuite, la citoyenneté libre évoluera. C'est dans le cadre de cette citoyenneté totale que les questions doivent être traitées, telles que l'intensification des armes inhumaines, les usages antidémocratiques des institutions internationales, ce que l'on appelle par euphémisme la dette extérieure, les accords commerciaux déformés entre les pays, le système de production prédominant désordonné et anti-écologique, l'accroissement chaotique de nos villes et sociétés, la privatisation de biens publics tel que l'air et l'eau. Dans tous ces questions la politique publique a un impact. Ces questions sont l'expression d'une économie perverse, que l'économie sociale solidaire oppose et à laquelle elle se présente en tant qu'alternative.