ICI PAGE DE TITRE (Page de couverture)
ICI SOMMAIRE
Introduction (titre 2)
Le Web 2.0 est un concept dont on entend beaucoup parler de nos jours. Cependant, il est difficile d’en
trouver une définition claire et absolue a l’heure ou internet est un outil universellement utilisé et en
constante évolution, il parait nécessaire de s’interroger sur le Web du futur. Pour cela, nous allons d’abords
nous intéresser à son aspect concret et à son caractère communautaire. Après avoir décrit quelques
exemples d’applications de ce nouveau Web, nous nous pencherons sur les technologies permettant sa
mise en œuvre.
Ici aller à la page avec Ctrl + Entrée
Partie I (titre 1)
Aspect communautaire et concret du Web 2.0 (titre 2)
1. Définition du web 2 (titre 3)
Le concept de Web 2.0 fut utilisé pour la première fois par l’éditeur Tim O’Reilly. Même s’il n’existe
actuellement aucune définition officielle du Web 2.0, ce dernier en a élaboré une description détaillée. Le
principal mécanisme qui a abouti à l’apparition du phénomène Web 2.0, est son aspect communautaire.
L’objectif de cette technologie est donc de tirer parti de l’intelligence collective, l’utilisateur devient les
auteurs des ressources. Tous les visiteurs sont des codéveloppeurs et participent constamment et à
l’amélioration du contenu. Ce qui est important dans le Web 2.0 est la notion de partage. Une
caractéristique omniprésente est la création de tags, ces sortes d’étiquettes utilisées par les internautes
pour classer et référencer le contenu. Ici sauter des lignes en restant dans le même paragraphe avec
Maj+Entrée
Les applications du Web 2.0 doivent évoluer vers un pur produit Web. En effet, un tel service devra
s’utiliser directement en ligne, il n’y aura plus la nécessité de télécharger un programme puis de l’installez
sur la machine.
Un des points fort du Web 2.0 est également de capitaliser sur la richesse des données, celles-ci devant
être uniques et non répliqué.
Au niveau de la réalisation technologique, un logiciel Web 2.0 doit utiliser des technologies souples et
interopérables comme Ajax ou le RSS. En fait l’avantage de ces technologies est de permettre la
réutilisation et le couplage de modules
De plus, le Web 2.0 doit également viser à se libérer de l’ordinateur, les applications pourront être portées
sur des matériels différents tels que les téléphones mobiles ou la télévision.
Enfin, le Web 2.0 est fondé sur le principe qu’il faut toujours allez de l’avant, mettre en place un service
prêt à consommer.
2. Comparaison Web 1.0 ,1.5 et 2.0 : (titre 3)
Si l’on distingue le Web 1.0 du Web 2.0 on peut considère qu’il existe une sorte d’état intermédiaire, que
l’on désignera par Web 1.5
Web 1.0 :
Type de Web : statique (1994-1997)
Technologies associées : HTML, GIF.
Caractéristiques : les pages Web sont des documents statiques rarement mis à jour.
Web 1.5 :
Type de Web : dynamique (1997-2003)
Technologies associées : JavaScript, WHTML, PHP, ASP, CSS.
Caractéristiques : les pages Web sont construites à la volée à partir d’une ou plusieurs bases de données.
Web 2.0 :
Type de Web : collaboratif (depuis 2003)
Technologies associées : Ajax, XML.
Caractéristiques : l’utilisateur devient contributeur. Il publie des informations et manipule les données.
3. Exemple :
Vidéos : Youtube est le leader devant Dailymotion et Google Vidéo. Leurs services sont quasi identiques, ils
permettent une publication simplifiée de programmes et une participation des internautes avec ces
commentaires, des notes, choisissent leurs vidéos favorites. La technologie aidant, nous voyons apparaître
des sites de vidéos plein écran, certains dans une qualité divx qui fait concurrence à certains réseaux
d'échanges p2p.
Photos : Pour le partage des photos Flickr est le leader incontesté, même si Picasa rattrape en ce moment
son retard. Cette application permet d'importer toutes vos photos sur un compte Flickr, vous pouvez alors
les tagger, sa veut dire étiqueter, avec par exemple : famille, vacances, ..., créer des albums et les partager
soit avec le monde entier soit seulement avec vos amis. Flickr a même créer un mashup, c'est un mix de
Yahoo Maps et Flickr qui permet de déposer une photo sur une carte du monde ou une rue de Paris par
exemple pour préciser le lieu du shoot.
Musique : Le partage de musique est plus délicat avec tous les problèmes de téléchargements que l'on
connaît. Deux sites sortent quand même du lot : Le premier est Deezer qui permet d'écouter toutes les
chansons que vous désirez ou bien de choisir les playlists des utilisateurs, il s'agît donc d'une radio
personnelle qui utilise les chansons mis en ligne par les internautes.
Le second site est LastFM qui nécessite de télécharger un petit logiciel. LastFM permet d'écouter 30
secondes de n'importe quel artiste mais là où l'application se distingue c'est dans le "scrobbling" ; il s'agit
d'une petite application qui s'installe de manière invisible sur votre lecteur mp3 préféré comme itunes et
qui scanne ce que vous écoutez afin de vous proposer des radios qui correspondent à vos styles musicaux.
Types de sites communautaires (titre 3)
Les blogs
Le phénomène des blogs est de 70 millions dans le monde et plus de 3 millions en France. Les internautes
ont soif de prise de parole et de reconnaissance. Au-delà de l'aspect grisant de disposer de son propre
espace d'expression, la mise à contribution des internautes ne date pas d'hier : les sites d'opinions ont ainsi
fondé leur modèle économique sur la capacité des visiteurs à se transformer en contributeurs.
Les Forums
C’est un lieu de rencontre et d'échange qui peut être un site web à part entière, ou tout simplement un de
ses composants. Il offre les mêmes possibilités de discussion que les forums Usenet, mais sous la forme et à
l'échelle d'un site web. Un forum est avant tout un site d'échange, par le biais de messages, que ceux-là
soient disponibles sur Internet dont les discussions y prennent place sous la forme de « fils » de messages,
à publication instantanée ou différée ; cette publication est souvent durable, car les messages ne sont pas
effacés.
Les fonctionnalités offertes par les différents forums peuvent varier, et les forums peuvent traiter
différemment les messages : ainsi certains ne permettent que de répondre de manière globale à un sujet
de discussion, tandis que d'autres permettent de répondre à un message en particulier, ce qu’avait pas
avant le Web 1.0.
Les réseaux sociaux
Un réseau social est un ensemble d'entités sociales telles que des individus ou des organisations sociales
sont reliées entre elles par des liens créés lors des interactions sociales. Il se représente par une structure
ou une forme dynamique d'un groupement social. L'analyse des réseaux sociaux est basée sur la théorie
des réseaux, l'usage des graphes et l'analyse sociologique représente le domaine étudiant les réseaux
sociaux. Des réseaux sociaux peuvent être créés stratégiquement pour agrandir ou rendre plus efficient son
propre réseau social (professionnel, amical). Il existe des applications Internet aidant à se créer un cercle
d'amis, à trouver des partenaires commerciaux, un emploi ou autres. Il s'agit de services de Réseautage
social comme Myspace et Facebook.
Les Wikis
Un wiki est un logiciel de la famille des systèmes de gestion de contenu de site web rendant les pages
web modifiables par tous les visiteurs y étant autorisés, il facilite l'écriture collaborative de documents avec
un minimum de contraintes. Au milieu des années 2000, les wikis ont atteint un bon niveau de maturité ; ils
sont alors associés à ce qui est le Web 2.0 dont le wiki le plus visité est Wikipédia.
Effets de réseau et pertinence (titre 3)
L’effet de réseau est le mécanisme qui décrit le fait qu’un outil est apprécié différemment d’une personne
selon son nombre d’utilisateur. En effet, le réseau positif se rencontre par exemple pour un commerce : il
se développera d’autant plus quand il aura un nombre croissant de client . A contrario, l’effet de réseau
peut être négatif comme dans le cas d’un réseau routier si il est saturé. Dans le cas du Web 2.0, l’effet de
réseau est clairement positif : la quantité d’utilisateurs d’un outil Web est important, plus celui-ci pourra se
développer grâce aux retours, détections de bug. De plus, les plages recherchées arrivent en tête des
moteurs de recherche.
Impacts économiques (titre 3)
La définition de Paul Graham pour qui le Web 2.0 est un web débarrassé des scores de la bulle internet
dont le cas de Rob Hof de Business Week qui déploie une argumentation à deux niveaux.
1) Les coûts de lancement d'une startup Internet n'ont jamais été aussi bas, ce que Joe Kraus qui
explique de la manière suivante : les ordinateurs sont bon marché, les logiciels d'infrastructure sont
gratuits, la main d’œuvre est globale, le marketing Internet est très efficace pour les marchés.
2) Si les montants investis pas les sociétés de capital risque n'ont pas progressé lors des derniers mois, la
baisse des coûts de lancement signifie que le nombre de projets financés a nettement augmenté. De plus,
cette baisse de coût met le financement de startup à la portée d'investisseurs occasionnels non recensés
dans les statistiques.
Rob Hof remarque également que de nombreuses startups du Web 2.0 ne sont créées que pour être
vendues à court terme, sans chercher à ne proposer aucun modèle économique viable.
Après les gains apportés par la nouvelle économique, le web 2.0 a permis l’enrichissement très rapide de
quelques entreprises, comme cela avait été le cas lors du déploiement initial d’internet. Toutefois certains
s’étaient inquiétés du risque d’apparition d’une « bulle 2.0 » similaire à la première bulle internet.
De nombreux sites emblématiques du web 2.0 se retrouvent en difficulté suite à la crise financière de 2008.
Vu les difficultés de l’économie en général, certaines risquent d’avoir du mal à trouver des financements
par la publicité ou le capital-risque. Mais contrairement à ce qui a eu lieu pour la première bulle internet,
cette fois les activités internet ne sont pas responsables de la crise qui les menace.
Commentant l'évolution de l'informatique depuis ses origines, Tim O'Reilly fait le constat que nous sommes
progressivement passés d'une ère du « hardware lock in » où l'informatique était verrouillée par les
constructeurs d'ordinateurs à une ère de « software lock in » où les éditeurs de logiciels faisaient la loi pour
entrer avec Internet dans une l'ère du « data lock in ».
1 / 10 100%
La catégorie de ce document est-elle correcte?
Merci pour votre participation!

Faire une suggestion

Avez-vous trouvé des erreurs dans linterface ou les textes ? Ou savez-vous comment améliorer linterface utilisateur de StudyLib ? Nhésitez pas à envoyer vos suggestions. Cest très important pour nous !