
2013/2014 Tutorat UE 7 – Correction Colle 4 / 8
QCM n°15 : A
A. Vrai.
B. Faux, tertiaire = baisser la gravité et les conséquences (autres que biologiques) des problèmes de
santé.
C. Faux, le dépistage est une action de prévention secondaire
D. Faux, il est mis en place dans l’objectif de diminuer l’INCIDENCE de l’obésité : prévention primaire.
E. Faux. Il a un champ d’actions qui comporte de la prévention primaire, secondaire et tertiaire.
QCM n°16 : D, E
A. Faux. Les différences entre ces deux notions sont subtiles mais importantes à comprendre. La
promotion de la santé est basée sur une approche participative alors que la prévention est basée
sur une approche éducative et informative des populations.
B. Faux. La SP a quatre fonctions, il manque la prévention et la promotion de la santé !
C. Faux. Triple devoir : légal, moral et social.
D. Vrai.
E. Vrai. Attention on tient aussi compte de la qualité de vie.
QCM n°17 : B, C
A. Faux. C’est la définition d’un déterminant.
B. Vrai.
C. Vrai.
D. Faux. La procédure de signalement permet justement la rapidité, en situation d’urgence. Il y aura
quand même la procédure de notification par la suite.
E. Faux. Attention ce n’est pas la même chose, tout médecin doit signaler les MDO, mais les médecins
sentinelles rapportent aussi les cas d’autres maladies (ex : grippe)
QCM n°18 : B
A. Faux. Au contraire, dans notre société, avec le développement massif des nouvelles technologies à
l’hôpital (hyper-technicité), la multiplicité des examens, la personne malade perd sa place centrale : on
oublie l’importance de la clinique.
B. Vrai. Dans notre société, la lutte contre la maladie a laissé place à un système de soin centré sur la
recherche de la santé du plus grand nombre : c’est la SANTE PUBLIQUE qui cherche à préserver la
santé des populations et non plus de l’individu.
C. Faux. Même si chaque individu peut trouver un intérêt dans le dépistage, la plupart des personnes
dépistées ne sont pas atteintes, c’est une mesure prise dans l’intérêt des populations.
D. Faux. L’asymétrie de la relation est du au fait qu’on a d’un côté un malade dans le besoin, qui ne sait
pas comment se débrouiller seul, et de l’autre un médecin qui sait comment gérer la maladie. Il y a la
demande du malade, et l’offre du médecin.
E. Faux. La relation est considérée comme asymétrique car elle est fondée sur l’autorité du médecin.
Cette dissymétrie est nécessaire pour que la relation fonctionne.
QCM n°19 : F
A. Faux. Hippocrate accorde une importance au principe de bienfaisance et non malfaisance, mais
l’autonomie du patient n’est pas prise en compte à cette époque. Par contre, le principe d’autonomie
énoncé par Beauchamp & Childress est ben réaffirmé par la loi Kouchner.
B. Faux. C’est l’inverse : la morale définit ce que l’on doit faire alors que l’éthique consiste à questionner
nos actes.
C. Faux. Ceci s’explique par une différence de genre, donc faire une différence sociale et pas biologique.
D. Faux. D’après Parsons, le malade peut avoir des motivations déviantes (car être malade libère
l’individu de certaines obligations). Le rôle de la médecine et de l’hôpital est de resocialiser le patient.
Pour lutter contre ses motivations déviantes, l’hôpital est un lieu de déshumanisation pour motiver le
malade à guérir.
E. Faux. Un patient atteint d’une maladie chronique maitrise parfois mieux sa maladie que les
professionnels de santé. Le principe prépondérant est donc l’autonomie du patient dans le cadre d’une
relation pluridisciplinaire.